La rédaction
Démocratie Participative
23 septembre 2023
Orban a fait beaucoup de choses positives, notamment à partir de 2015 quand Angela Merkel a jugé nécessaire de repeupler l’Europe de syriens d’Afghanistan, ou plus récemment sur l’Ukraine en tentant de freiner la machine de guerre juive.
Cependant, pour avoir un tableau plus exact de la réalité, il faut également parler de ce qui se passe à côté. Sa gestion ressemble fortement à la façon dont le régime gaulliste opérait en France dans les années 1960. D’un côté une sorte d’autonomie nationale affirmée, de l’autre des affairistes qui importent le tiers-monde pour générer des devises.
La Hongrie d’Orban importe « légalement » un nombre croissant d’étrangers pour faire face au départ à l’étranger d’au moins 700,000 travailleurs hongrois.
Euronews a fait un reportage ironique sur le sujet :
L’islam, le patronat hongrois sait s’en arranger.
Cette distinction entre immigration légale et illégale sur laquelle insistent les boomers de droite ne fait aucune différence sur le temps long : votre pays est quand même démographiquement tiers-mondisé.
Le choix de migrants d’Asie du Sud-Est limite les nuisances auxquelles nous sommes accoutumés avec les noirs et les arabes. Cela n’en reste pas moins le début d’un repeuplement progressif du pays, même encore embryonnaire.
Le patronat hongrois veut généraliser le processus dans toutes ses entreprises en Europe, pas seulement en Hongrie.
Dans un système ouvert, les gens s’enfuient vers les lieux d’accumulation du capital. Dans un système comme le système européen, le capital est à l’ouest.
Ces pays à la démographie déjà sinistrée se vident progressivement de leur sang à cause de l’émigration. Pour compenser ces départs, le patronat exige et obtient une immigration légale qui finit toujours par devenir permanente. Cette immigration légale empêche les salaires de monter, ce qui encourage durablement les jeunes autochtones diplômés à émigrer.
La spirale de la mort raciale est alors en place. C’est le cocktail dysgénique par excellence : l’élite raciale s’évapore, le peuple en question entre état de léthargie, faute de chefs de qualité, des colons allogènes de qualité raciale inférieure s’installent en masse, le processus d’abâtardissement du sang commence.
Dans le cas ukrainien, avec la guerre, c’est encore plus catastrophique. Ce pays est déjà détruit par ce processus létal de « génocide » par l’émigration.
On ne peut pas dire qu’Orban ne fait rien contre la dénatalité, mais tant que le système est ouvert, cela ne jugule pas le problème.
La démocratie libérale ne pourra jamais générer autre chose que la domination totale du capital et celle de ceux qui contrôlent ses circuits, c’est-à-dire les juifs.
Au bout d’un moment, des mesures autoritaires, nationalistes et socialistes, doivent être prises pour stopper l’émigration. Le bien à long terme de la race doit primer le rafistolage à court terme pour contenir les effets de l’intégration dans ce système libre-échangiste. Les cercles financiers sont mus par le profit, pas par de telles considérations.
Nous avons subi cette politique depuis 60 ans et la France est en bonne voie de devenir le Brésil, le Liban et l’Afrique du Sud, l’ex-Yougoslavie. À terme, l’économie française sera irréversiblement paralysée par le coût de cette politique raciale.
Le profit à court terme aura rendu impossible la prospérité à long terme.
Sans remettre la race et le peuple au coeur du système social et politique, le capital dictera l’orientation générale et cette orientation, à l’heure des transports de masse et de l’internet, peut détruire une nation en 20 ou 30 ans.
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