La rédaction
Démocratie Participative
28 février 2023
Cet homme est votre ami
Viktor Orban a de la suite dans les idées.
Après les révélations de Seymour Hersh sur l’implication des États-Unis dans la destruction du gazoduc Nord Stream 2 reliant la Russie à l’Allemagne, le chef hongrois a indiqué à demi-mots que Washington fomentait un projet similaire contre les gazoducs présents dans le sud de l’Europe.
Tass :
La Hongrie considère l’acte de sabotage du gazoduc Nord Stream comme une attaque terroriste et unira ses efforts à ceux de la Serbie pour prévenir de tels incidents sur les pipelines traversant l’Europe du Sud, a déclaré lundi le Premier ministre hongrois Viktor Orban.
Dans son discours d’ouverture de la session de printemps du Parlement, il a abordé les problèmes de sécurité énergétique et a souligné que l’explosion du Nord Stream était un acte de terrorisme. Il a promis que les autorités hongroises, en collaboration avec leurs partenaires serbes, prendraient des mesures pour empêcher de tels actes de sabotage sur le « gazoduc du sud », faisant évidemment référence à la branche de Turk Stream qui passe par la Bulgarie et la Serbie et alimente la Hongrie en gaz russe.
Le gouvernement hongrois a déclaré précédemment que le pays avait reçu 4,8 milliards de mètres cubes de gaz par cette voie l’année dernière. Maintenant que Nord Stream est désactivé, cette route est la principale pour la Hongrie.
Les juifs ont depuis longtemps Orban dans leur viseur, d’abord pour son opposition déterminée au Grand Remplacement qu’ils organisent. Avec son refus de soutenir leur guerre en Ukraine, leur haine contre lui a décuplé.
La solution des juifs consiste à placer la Hongrie sous embargo économique pour susciter une révolution de couleur dans le pays, se débarrasser d’Orban et imposer un gouvernement fantoche à la botte de la juiverie.
Couper l’approvisionnement en gaz russe placerait immédiatement la Hongrie en état de dépendance de Bruxelles. Von der Leyen s’assurerait qu’Orban ne reçoive rien jusqu’au déclenchement de la crise politique par les réseaux de Soros à Budapest.
Pour réaliser une telle opération, il faut frapper en Bulgarie ou en Mer Noire. Les Bulgares rampent aux pieds de Washington, ils laisseraient ces juifs faire ce qu’ils veulent sur leur territoire.
Les goyim vont découvrir comment fonctionne la démocratie quand un état indépendant refuse de suivre les projets de guerre de la finance internationale.
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