La guenon antiblanche Whoopi Goldberg sommée d’implorer le pardon des juifs après avoir dit qu’ils étaient des Blancs attaqués par d’autres Blancs durant l’holocauste

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 février 2022

Le nègre découvre que ses dreadlocks ne le protègent pas de l’omnipotence des juifs

Whoopi Goldberg est une actrice et animatrice noire américaine avec un nom juif.

Elle a un nom juif parce que dans les années 70, elle se disait qu’en envoyant son CV avec un nom juif aux producteurs juifs de Hollywood elle obtiendrait des auditions et qu’une fois sur place, elle pourrait obtenir les rôles grâce à la discrimination positive.

Et ça a marché.

Whoopi est une sorte d’icône du racialisme noir aux Etats-Unis qui dit régulièrement tout le mal qu’elle pense des Blancs sur les grands médias US, dans la droite ligne de la victimisation dont les noirs médiatiques vivent grassement dans ce pays.

Et puis Whoopi a déclaré que les Nazis n’étaient pas racistes à proprement parler parce que les juifs et les Allemands étaient des Blancs.

Les juifs ont vraiment très mal pris cette notion qu’ils ne sont pas une race et qu’ils n’ont pas été victimes de racisme raciste, ce qui les prive, en tant que Blancs, du privilège victimaire.

Ces nègres sont stupides. Leur cerveau primitif les fait associer les juifs aux Blancs, ils se laissent à dire des trucs sur les juifs de la même façon qu’ils le font d’ordinaire sur les Blancs et se font ensuite écraser par la toute puissance juive.

Whoopi a corrigé le tir en invitant le boss de la LICRA américaine, le juif Greenblatt, pour qu’il explique pourquoi les juifs sont une race mais ne sont pas une race.

Après une sévère mise à l’amende, elle a eu un pardon rabbinique.

J’apprécie profondément que @WhoopiGoldberg m’invite à @TheView aujourd’hui pour avoir une discussion importante sur l’importance de l’éducation sur l’Holocauste. Whoopi est une alliée de longue date de la communauté juive et de la @ADL et ses excuses sont les bienvenues.

« Ok, goya, nous sommes totalement persécutés parce que nous sommes totalement une race, et en même nous ne sommes pas une race parce que les races n’existent pas, ce qui confirme que les racistes (blancs) sont des haineux et des menteurs. »

C’est typiquement une situation pile je gagne, face tu perds.

Les juifs disent très régulièrement qu’ils ne sont pas une race, mais si vous dites qu’ils ne sont pas une race et que cela remet en cause en leur monopole victimaire, vous êtes bon pour de très gros problèmes.

Les juifs veulent se laisser toutes les options ouvertes dans les sociétés qu’ils infiltrent.

Ils veulent être considérés comme des Blancs quand ça les avantage et comme des non-Blancs quand ça les avantage.

La réalité objective n’intéresse pas les juifs, ce qui les intéresse c’est leur pouvoir dans la société qu’ils parasitent à un moment donné. Tout leur art du mensonge sert cet objectif. Ils changent constamment de discours selon les circonstances pour défendre leur position sociale ou la renforcer au détriment des autochtones.

C’est la raison pour laquelle le nomade juif déteste la notion de nationalisme, parce qu’elle lui rappelle que la terre entière ne lui appartient pas.

Naturellement, quand le juif arrive en Palestine, il adopte la position radicalement inverse, cite d’interminables citations de sa torah pour justifier ses titres de propriété foncière millénaires et chasser les autochtones.

Les juifs veulent pouvoir être n’importe quoi, n’importe qui, n’importe quand.

Ils ont besoin de ce camouflage pour tromper les goyim.

La seule caractéristique invariable du juif est sa nature de parasite. Une fois que l’on a compris que le juif est un parasite inassimilable, peu importe le mimétisme social qu’il emploie pour se dissimuler aux yeux des autochtones d’un pays, on a compris l’essence du juif.

Par exemple, ces derniers temps, les juifs ont inventé une femme « imame » : la juive Kahina Bahloul.

Avec leur culot de bluffeurs habituel, ils ont vraiment essayé d’en faire un « truc » sous le nez des Blancs et des musulmans.

Je suis musulmane, goy. Crois-moi.

Le juif, pour parasiter, s’acharne à prendre le contrôle de la société qu’il veut mettre en coupe réglée. Ce caméléon procède en adoptant l’apparence de sa victime. Une fois au cœur du pouvoir, il détruit l’ordre social pour affaiblir le peuple qu’il vampirise, jusqu’à l’anéantissement complet.

Le véritable crime de Whoopi Goldberg est de priver les juifs d’options en les enfermant dans la catégorie raciale blanche.

Dans les pays blancs, toute la stratégie de domination juive consiste à créer l’image d’un homme blanc diabolique éternel dont le juif serait la victime principale, ce qui lui offrirait un droit de préséance sur toutes les autres « victimes » de cet homme blanc diabolique inventé par sa propagande.

Outre qu’être estampillé « Blanc » prive les juifs du bonus racial offert par toute démocratie multiculturelle antiblanche, c’est placer les juifs dans la catégorie raciale qu’ils désignent en permanence comme cibles à leurs golems.

En 2022, personne ne veut être classé médiatiquement comme un « Blanc ».

Quand une noire médiatique passe à la télé en disant que les juifs sont dans la boîte raciale blanche, les juifs commencent vraiment à paniquer parce qu’ils savent que les noirs ne sont pas des intellectuels.

Si les juifs ont créé la machine antiblanche qu’est l’antiracisme, ce n’est pas pour devenir la principale incarnation du suprématisme blanc.

Mais cela peut-être un mème très drôle.

On peut dire qu’Israël est en fait un état suprémaciste blanc. Si l’idée finissait par passer ici et là, tous ces noirs et ces racisés finiraient par se demander pourquoi il est interdit de critiquer le principal état suprémaciste blanc de la planète.

Je vous rappelle que le QI moyen des noirs d’Afrique présents en France est de 70 et que celui des maghrébins est de 80. Si vous ajoutez à cela le fait qu’ils sont constamment drogués ou ivres, vous avez une petite idée de ce que ce concept de juifs suprémacistes blancs peut produire culturellement.

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