Captain Harlock
Démocratie Participative
08 septembre 2018
L’armée française est désormais touchée par le cancer lipido-féministe. Et comme de juste, ces grosses traînées s’empressent d’appeler les activistes homo-sidaïques et les métèques à l’aide, sous l’oeil attentif de la presse judéo-communiste.
Voir une verrue en surpoids se répandre en seaux de morve pour exciter la crasse gauchiste en sa faveur contre un capitaine est vraiment un spectacle repoussant.
Dans un état tenu d’une main de fer, une seule tentative d’agitation de cette nature aurait entraîné un châtiment exemplaire, comme la privation de tous les droits à la retraite pour collusion avec des éléments subversifs.
Mais la France étant désormais une dystopie anarcho-marxiste, c’est bien évidemment l’officier qui sera persécuté au profit d’une secrétaire civile, de la négraille et bien sûr, des fiottes.
Nous sommes sur le point d’avoir au sein de l’armée des soviets de bicots, de sodomites et putes à nègres encadrés par des commissaires politiques rouges qui mettront crosse en l’air à la première occasion.
Regardez-moi la gueule de Tintin :
Et le programme est clair.
Pro-Sida, pro-bougnoules, pro-juifs.
Et pro-verrues adipeuses ménopausées.
La réaction de la hiérarchie militaire ne s’est pas faite attendre.
L’Armée, qui prend ces accusations très au sérieux, a lancé une enquête approfondie. Aucune sanction n’a encore été prise mais les plus hautes instances militaires étudient l’affaire de près.
Joint par téléphone, le colonel Pierre-Emmanuel Trouvé, directeur de l’établissement du Service national Nord-Est se dit « préoccupé par l’ensemble du personnel du centre et en particulier la victime », Mme. Gellens.
Il dit souhaiter que « tout un chacun puisse de nouveau travailler dans l’ambiance de sérénité nécessaire à l’accomplissement de la mission du centre de Lille. Je serai amené à prendre les décisions qui permettent de ramener cette sérénité. »
Qu’il s’agisse de Rosette Gellens ou du syndicat, tous tiennent en tout cas à rappeler que cette affaire ne concerne qu’un individu et refusent tout amalgame avec le reste de l’Armée.
Avec une ménagère inculte à la tête du ministère des Armées, ce processus de désintégration est inévitable. Il est d’ailleurs agressivement mis en oeuvre par les médias judéo-communistes en étroite concertation avec des agitateurs infiltrés dans les rangs.
Rappelez-vous du faux scandale de Saint-Cyr orchestrés par les juifs.
Macron, de son côté, y voit le moyen de briser une institution qui est encore un peu rétive à la finance juive qu’il sert.
Cette démoralisation de l’armée est la phase terminale de sa judéo-démocratisation et de sa maçonnisation, le point d’orgue du processus entamé sous le régime républicain et considérablement intensifié par l’axe gaullo-communiste en 1944 puis en 1962. Et enfin, en 1981.
L’armée démocratique en cours de formation n’aura plus qu’une fonction : tirer sur les autochtones pour le compte de la banque juive le moment venu. Et pour s’assurer qu’elle fasse son oeuvre, elle doit être rééduquée selon les principes de l’idéologie juive officielle en la recomposant de métèques, de pédés, de gouines, de gauchistes patentés.
Nous ne devrions plus tarder à voir les syndicats communistes être admis en son sein, pour parachever cette entreprise de sémitisation.
Une fois terminée, l’armée française n’aura plus rien à envier à celle des pédales de Suède.