Démocratie Participative 卐 Le site le plus censuré d'Europe 卐
Capitaine Harlock
Démocratie Participative
05 avril 2018
Honnêtement, si l’armée française ne se révolte pas face à une grosse putain féministe ménopausée en charge de sa liquidation, elle est finie. Terminée.
« Tolérance zéro. Il n’y a pas de place pour le sexisme dans nos armées. » La ministre des Armées, Florence Parly, a annoncé une série de sanctions contre des élèves et des cadres de la prépa militaire de Saint-Cyr, mercredi 4 avril à l’Assemblée nationale, après des révélations sur des cas de harcèlement au sein de l’établissement.
Les élèves impliqués seront exclus et les cadres concernés seront remplacés après les examens et les concours, qui débutent dans quelques jours. Par ailleurs, la ministre a décidé d’interdire le redoublement dans les classes préparatoires pour les éléments perturbateurs (à partir de la 2e minute).
Dans son édition du vendredi 23 mars, Libération publié les témoignages d’anciennes étudiantes des classes préparatoires du lycée militaire de Saint-Cyr l’Ecole, censées préparer au concours de l’Ecole spéciale militaire. Elles y faisaient part des insultes, des humiliations et du harcèlement qu’elles subissent de la part des « tradis », un groupe d’élèves masculins, catholiques ultra-conservateurs, proches de l’extrême-droite, homophobes, misogynes et donc hostiles à la présence de femmes dans l’armée.
« Bien sûr, a déclaré Florence Parly, je ne laisserai pas quelques articles ternir l’enseignement militaire », en soulignant que seule « une minorité » était concernée mais qu’elle salissait « notre institution ». Cette « minorité rétrograde n’a sans doute pas encore compris que nous étions en République française en 2018″. La ministre des Armées a également annoncé le lancement d’un plan de lutte contre les discriminations, afin de rendre « leurs lettres d’or » aux lycées militaires, qui doivent rester « des lieux ouverts à tous et à toutes ».
Traînée, tout le monde a compris que nous étions sous la botte de la république juive. Il n’y a pas un jour qui passe sans que ce régime vérolé ne nous vomisse son sémitisme au visage.
Ce n’est pas un hasard si Macron a mis une ménagère à la tête de ce ministère. C’est pour faire le ménage politique, pour détruire l’armée pour le compte des juifs, de la finance juive et la remplacer par une garde prétorienne mulâtre dont la fonction sera de menacer le peuple français en permanence.
Comme je l’ai déjà expliqué, il s’agit d’une offensive juive visant à subvertir la dernière institution encore imperméable, dans les grandes lignes, à l’idéologie judéo-communiste qui domine la république française. Tout le reste a déjà été détruit : école, justice, médias.
Ce qui est visé ici est, par définition, le pilier de l’armée française : le soldat français. Par extension, l’homme français. Le but est détruire le corps des officiers sur la base de la lutte des races et des sexes, bref sur une base judéo-marxiste.
Si des officiers capitulent devant cette putain et ses donneurs d’ordre juifs, ils se retrouveront cernés de lesbiennes, de pédés, de métèques et d’islamistes. Ils se feront tirer dans le dos le moment venu, des agitateurs rouges, nègres et musulmans s’infiltreront partout, hâtant l’hallali.
Cette juiverie et ses laquais craignent l’armée.
Ils veulent détruire l’armée.
Définitivement.
Il n’y aura pas de retour en arrière possible.
Les officiers doivent agir et vite. Ceux qui ont encore autre chose que leur retraite à l’esprit, c’est-à-dire les plus jeunes, ceux qui seront amenés à risquer leurs peaux. Il y a des millions de gens qui sont prêts à applaudir un énorme coup de poing sur la table.
C’est une guerre révolutionnaire et si l’armée est démantelée, les islamistes auront la voie libre grâce aux éléments juifs et marxistes infiltrés au plus haut niveau de l’état.
