La grosse Garrido déboule au festival (juif) d’Avignon pour beugler contre l’air chaud en sandales Santorini à 700 euros

La rédaction
Démocratie Participative
18 juillet 2023

 

La gauche caviar, un mème aussi vieux que l’Union Soviétique.

Et dire que Corbière a commencé comme obscur militant trotskiste chez Boussel-Grinberg (dit « Lambert »). Le gauchisme juif, ça paye.

Cette esquive de merde :

Ce ne sont pas les sandales à 700 euros qui m’ont le plus choqué.

C’est la statue toltèque montée dessus et ses immondes poteaux.

Mais qu’est-ce que c’est que cette race ?

Et surtout qui peut ne pas avoir de sens de l’autocritique pour ne pas réaliser le spectacle effrayant que représente cette vaste panse agressivement portée au devant du passant, la ceinture aggravant encore l’effet.

Oui, elle coule une bière.

Cette autre esquive de merde :

« C’est mes filles ». Auxquelles elles donnent du cash pour faire ses achats tranquillement.  En tout cas, ses groles ont mangé. Vu le poids à supporter, ce n’est pas étonnant.

Tout ce festival est construit sur ça.

Avignon est une ville maghrébine toute l’année sauf durant le festival où elle devient une ville juive. Tout Capharnaüm descend de Paris, ou remonte de Saint-Tropez, pour y délirer collectivement sur fonds publics.

Cela coûte chaque année 13 millions d’euros au contribuable, soit 130 millions par décennie. Aucune obligation de résultats en termes de fréquentation ou retombées économiques, uniquement les juifs du Paris-coco payés par le ministère de la Culture pour lutter contre le fascisme au moins de juillet. Et récemment le « réchauffement climatique ».

Le mois précédent, c’est Cannes.

La France républicaine a son calendrier précis des rites et transhumances réservées aux bandes de parasites internationaux qui dévorent vif le bétail blanc.

Le Forum EELB sera prochainement de retour