La Gendarmerie patriarcale obligée de s’excuser après avoir intimidé la lycéenne qui avait recadré Macron, le protecteur des violeurs

La rédaction
Démocratie Participative
11 juin 2022

 

 

Désormais, 50% de la population française disposant d’un vagin peut non seulement recadrer un président de la République, mais aussi intimider la Gendarmerie.

Pour rappel : une goule « lycéenne » paraissant avoir 29 ans a alpagué Macron pour lui demander des comptes à propos de ses nominations récentes accusées « de viol » par des putes random.

Macron bafouillait.

Une pute qui accuse n’importe quel mec de n’importe quoi n’a plus rien à prouver. C’est la « parole des femmes » – autrement dit le droit pour toute créature avec un vagin de mentir en toute impunité.

Cela ne fait pas débat, tout le monde l’a acté et ceux qui résistent encore un peu le font du bout des lèvres, parce que la législation n’intègre pas encore ce droit de veto des putes mythomanes sur toute décision politique ou professionnelle.

Quelqu’un au ministère de l’Intérieur a voulu faire du zèle. Mal lui en a pris.

Le Parisien :

S’adresser à Emmanuel Macron dans la rue peut-il avoir des conséquences ? Laura, 18 ans, a en tout cas reçu ce vendredi la visite de gendarmes à son lycée, moins de 24 heures après avoir interpellé le président de la République au sujet de ses ministres accusés d’agressions sexuelles. Si cet échange n’était pas l’objet de cette « rencontre », assure la gendarmerie de Gaillac (Tarn) au Parisien, ce n’est pas la version de la jeune fille qui réfléchit à une éventuelle suite.

Jeudi, la jeune fille avait interpellé Emmanuel Macron alors qu’il était en déplacement dans le Tarn. La vidéo a depuis été vue des millions de fois. Face au président de la République, Laura dénonce : « Vous mettez à la tête de l’État des hommes qui sont accusés de viol et de violences pour les femmes (les ministres Gérald Darmanin et Damien Abad sont tous les deux accusés, le premier étant le seul faisant l’objet d’une enquête pour laquelle le parquet a requis un non-lieu) , pourquoi ? » Ce à quoi Emmanuel Macron brandit alors la « présomption d’innocence », aucun de ses ministres n’ayant été condamné.

De cet échange, Laura pensait en avoir terminé, jusqu’à la journée de vendredi. « J’étais en cours d’espagnol quand autour de 11h30, la proviseure adjointe est venue me chercher pour parler. À l’extérieur du cours, elle m’a demandé si j’acceptais de parler à des gendarmes », explique Laura au Parisien, ce vendredi soir.

En marge de son échange avec Emmanuel Macron, la veille, la lycéenne avait avoué avoir été victime d’une agression sexuelle dans le RER il y a 4 ans, sans avoir porté plainte. « Ils m’ont demandé si je voulais porter plainte, mais ça a été très bref », explique-t-elle. Et la jeune fille de raconter ensuite un tout autre échange, plus proche selon elle de l’« intimidation » et qualifiant une visite « ambiguë ».

« On est rapidement venu à l’échange avec Emmanuel Macron. Ils m’ont demandé ce que j’avais voulu faire, alors je leur ai dit que je voulais poser telle question, etc. Puis la gendarme m’a dit : C’était pas à faire. Son collègue a ajouté que si j’avais voulu interpeller le président de la République, alors j’aurais dû passer par des voies hiérarchiques, en écrivant à l’Élysée », assure Laura. Elle a l’impression, raconte-t-elle, que les gendarmes sont ici « à la demande de quelqu’un ».

« Je me suis évidemment demandé si j’avais fait quelque chose de mal, raconte la jeune femme. Évidemment que c’est intimidant de voir les gendarmes débarquer au lycée. » Laura s’étonne aussi : « Ils auraient pu trouver mon adresse finalement plutôt que d’aller au lycée. Il y a deux mois, car j’étais en voyage scolaire pour les élections, j’avais fait ma procuration à la gendarmerie ! »

Contactée avant notre échange avec la jeune fille, la commandante de la gendarmerie de Gaillac Laura Barbuto a assuré que la visite des forces de l’ordre dans l’établissement scolaire ne partait pas d’une mauvaise intention : « On s’inquiétait qu’elle puisse avoir été victime (d’agression sexuelle) et qu’elle n’ait pas pu porter plainte. » L’échange avec Emmanuel Macron n’était pas « l’objet » de cette visite, assure-t-elle. Et la commandante de gendarmerie de signaler, d’ailleurs, qu’il n’y a « aucune infraction » dans l’interpellation d’Emmanuel Macron par la lycéenne.

Laura et ses parents, « offusqués », ont contacté un avocat ce vendredi. Laura réfléchit aux suites qu’elle pourrait donner.

Les flics ont toujours cherché à intimider n’importe qui ose dire un truc qui déplaît à un président de la République. Si vous le faites, vous êtes immédiatement fiché et placé sous surveillance politique, à vie.

Du moins, c’était le cas avant l’avènement de la vaginocratie totale.

Aujourd’hui, la société française vit sous la menace perpétuelle d’une crise d’hystérie ovarienne sur les réseaux sociaux.

Les gendarmes ne sont pas encore pleinement formés sur ce sujet, contrairement à la défense des allogènes.

La correction devrait intervenir prochainement.

Les flics vont apprendre à RESPECTER les femmes fortes et indépendantes qui dirigent désormais la société française. Au moindre mot de travers, ce sera l’accusation de viol. Ils n’ont aucune chance, d’autant plus qu’ils persécutent les racisés pour les tuer, comme le rappelle Jean-Luc Mélenchon, le futur boss de l’opposition française.

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