La garce à juifs Eugénie Bastié recase sa belle-soeur gogole après un écœurant numéro de chantage victimaire

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 septembre 2020

C’est à vous faire regretter le paradis des musulmans

J’ai toujours détesté les tradasses pseudo catholiques de la presse juive avec leur ton pédant et leurs jacassements de pie insupportables.

Elles se comportent de manière encore plus obscène que des lesbiennes de gauche aussi endurcies que Caroline Fourest ou Caroline de Hass. Ces femmes-là ont au moins pour elles d’être authentiques dans leur lesbianité castratrice. En revanche, les pétasses réacs du Figaro ou de Valeurs Actuelles prétendent jouer les Sainte Geneviève alors que ce sont les pires catins du (((marché médiatique))).

Toutes ces traînées souffrent du syndrome de Jeanne d’Arc. Toutes. Elles se croient élues par Dieu au point de s’imaginer pucelles en dépit d’un kilométrage effrayant et pensent avoir du talent parce que les juifs les font venir sur leurs plateaux télés. Pire, ces bourgeoises prétentieuses sont convaincues d’avoir le capital moral nécessaire pour sermonner tout le monde parce que leurs fanboys versaillais acceptent de se comporter comme leurs serpillières pendant qu’elles couchent avec des plumitifs ashkénazes.

Dans le lot, cette garce à juifs d’Eugénie Bastié incarne ce qui se fait de pire. Vraiment de pire. Aucune actrice porno ne peut approcher un tel niveau d’indécence. Dans sa franchise, Brigitte Lahaie est bien plus digne que cette péronnelle.

Bastié vient d’exhiber toute la laideur de son âme sur Twitter.

Quelle écœurante manipulation misérabiliste.

Les femmes agissent toujours comme ça : elles se mettent faussement en scène en situation de faiblesse pour abuser émotionnellement de leur cible afin d’extorquer un gain matériel. Le tout en prétendant agir par vertu.

Cette créature sans scrupules du Figaro n’agit pas différemment de ces autres resquilleurs adeptes de la discrimination positive qui tentent de justifier privilèges et passe-droits au prétexte de leurs tares. Bastié s’insère parfaitement dans cette méritocratie inversée qu’est la démocratie dysgénique juive.

Donnez une parcelle d’influence ou de pouvoir à une de ces traînées parvenues et aussitôt elle se met à se servir de sa position pour recaser les rejetons dégénérés de la bourgeoisie sous le masque de la charité.

Ce simulacre de vertu qu’est le moralisme transactionnel est aux antipodes de l’antique civilité française. La vieille France catholique ne se livrait pas à pareil exercice de mendicité exhibitionniste pour obtenir un avantage matériel. On cachait stoïquement sa misère pour la dépasser plutôt que d’en faire le motif d’un passe-droit. Un tel numéro de passage en force aurait fait crever de honte n’importe qui en aurait été témoin.

Mais nous vivons désormais dans la France séfarade où l’on s’enrichit en tirant les larmes du goy crédule.

Il est facile d’identifier la culture du chantage qui inspire Bastié.

Je peux vous dire que lorsque les juifs auront définitivement quitté la France, ce genre de bourgeoises traversera un grand moment de solitude et de détresse psychologique. Tout spécialement ces Catholiques réformées qui s’identifient totalement à la race geignarde d’Abraham. Pour ces gourdes obsédées, le juif est l’Alpha et l’Omega, le rabbin universel dont on accepte sagement les sentences. Bite coupée miraculeuse et nouvelle Lourdes.

La seule perspective d’arracher le petit youtre imaginaire du cœur de ces connes enamourées et superstitieuses, tel un prêtre aztèque, me rend la quête antisémite encore plus exaltante.

Qui ne voudrait pas ruiner leurs vies comme on ruine totalement la fête de privilégiés pour qui tout va trop bien ?

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