La rédaction
Démocratie Participative
23 mai 2023
La diplomatie fronssaise
La France n’est pas un pays sérieux.
«La lutte contre les crimes, contre l’impunité fait partie des valeurs de la diplomatie française», a souligné Catherine Colonna, alors que Bachar el-Assad fait son grand retour sur la scène du monde arabe.
La ministre française des Affaires étrangères s’est dit favorable mardi à un procès du président syrien Bachar el-Assad, rappelant «les centaines de milliers de morts» et «l’utilisation des armes chimiques» imputés à son régime durant la guerre civile déclenchée dans le pays en 2011.
Les chambres à gaz volantes de Bachar al Assad.
C’est un film qui a plus de dix ans.
Ils le diffusent encore en France ?
À la question d’un journaliste de France 2, souhaitez-vous qu’il soit jugé? Catherine Colonna a déclaré : «la réponse est oui». «La lutte contre les crimes, contre l’impunité fait partie des valeurs de la diplomatie française», a-t-elle souligné. «Chaque fois que j’ai à m’exprimer sur la question syrienne, dans nos priorités, il y a cette lutte contre l’impunité», a-t-elle insisté.
C’est le problème quand on met une femme blanche à un poste de responsabilité : elle veut jouer la maîtresse d’école.
Sauf que le monde réel ne fonctionne pas comme fonctionne le cerveau d’une femme.
Nous allons bouder en attendant de « juger » imaginairement un président en fonction reconnu par le monde arabo-musulman, la Chine, l’Iran, l’Inde, la Russie et en fait tout le monde. Après dix ans d’une guerre qu’il a remportée contre tout ce qui pouvait être utilisé contre lui.
Curieusement, l’intéressé n’a pas l’air inquiet des menaces de cette femme blanche.
C’est en tout cas le niveau de la diplomatie gay hexagonale.
Vouloir mettre au coin un chef d’état.
Le président syrien, Bachar el-Assad, a fait son retour sur la scène régionale, en participant vendredi au sommet de la Ligue arabe après en avoir été exclu pendant plus d’une décennie. Pour autant, la France n’entend pas changer sa politique vis-à-vis de Bachar al-Assad. «Il faut se souvenir de qui est Bachar el-Assad. C’est un dirigeant qui a été depuis plus de dix ans l’ennemi de son peuple», a déclaré Catherine Colonna.
Étonnamment, les seuls dirigeants qui peuvent sérieusement être qualifiés d’ennemis de leur peuple sont ceux des démocraties.
Ce sont les seuls à les remplacer physiquement par des millions d’étrangers hostiles, à les piller et à les faire mourir dans des guerres d’agression partout dans le monde.
D’après la femme Colonna, Bachar al Assad est méchant parce qu’il n’est pas aux ordres des démocraties.
Du coup, il serait seul depuis douze ans dans sa capitale contre l’entièreté de son peuple. On ne sait pas exactement comment il reste le président du pays tout seul, mais c’est ce que dit la femme Colonna.
Bachar al Assad est beaucoup plus populaire que Macron ne pourra jamais l’être.
La ministre française a souligné que la levée des sanctions européennes n’était «certainement pas» à l’ordre du jour, de même que le changement de position de la France vis-à-vis du président syrien. «Tant qu’il ne change pas, tant qu’il ne prend pas des engagements de réconciliation, de lutte contre le terrorisme, de lutte contre la drogue, (…) qu’il ne respecte pas ses engagements, il n’y a pas de raison de changer d’attitude à son endroit», a-t-elle également estimé. «Je pense que c’est à lui à changer, ce n’est pas à la France de changer son attitude», a-t-elle conclu.
Après avoir armés tous les djihadistes de la planète pour renverser Bachar, les juifs de Paris dont Colonna répète les insanités se lancent donc dans des sermons de lutte « anti-terroristes » contre ce pays.
Heureusement, personne ne se soucie de ce que dit la France.
Ce serait quand même mieux pour tout le monde si elle la fermait.