La rédaction
Démocratie Participative
15 novembre 2023
La France juive fait du zèle.
Elle se ridiculise par la même occasion.
Bachar al-Assad dans le viseur de la justice française. Des plaignants ont annoncé, mercredi 15 novembre, qu’un mandat d’arrêt international a été émis mardi contre le président syrien, accusé de complicité de crimes contre l’humanité pour les attaques chimiques perpétrées à l’été 2013 en Syrie.
Les mandats d’arrêt internationaux n’existent pas.
Un état peut seulement émettre un mandat d’arrêt national et l’indiquer aux autres états. Il leur appartient ensuite de faire ce qu’ils veulent de cette information.
Ici, en l’espèce, il ne se passera rien. Les grands pays sérieux ne le permettront pas.
Le plus probable, au vu du discrédit complet de la France macroniste sur la scène mondiale, c’est que personne ne remarquera l’existence de ce mandat.
Une source judiciaire a confirmé l’émission de quatre mandats d’arrêt pour complicité de crimes contre l’humanité et pour complicité de crimes de guerre pour ces attaques au gaz sarin, qui avaient notamment fait plus de 1 000 morts dans la Ghouta orientale le 21 août 2013, selon les renseignements américains.
Les sources des renseignements américains sont très fiables, surtout en Syrie où ils ont essayé pendant dix ans de renverser Bachar al Assad.
C’est le genre de « sources » qui fera l’unanimité, c’est sûr.
Ces mandats visent également le frère redouté de Bachar al-Assad, Maher, chef de facto de la Quatrième division – unité d’élite de l’armée syrienne – ainsi que deux généraux, Ghassan Abbas, directeur de la branche 450 du CERS, et Bassam al-Hassan, officier de liaison et chef de la sécurité.
Des juges d’instruction du pôle crimes contre l’humanité du Tribunal judiciaire de Paris enquêtent depuis avril 2021 sur ces attaques chimiques perpétrées en 2013 en Syrie et imputées au régime de Bachar al-Assad.
L’enquête avait été ouverte après une plainte avec constitution de partie civile par le Centre syrien pour les médias et la liberté d’expression (SCM), Open Society Justice Initiative (OSJI) et Syrian Archive.
Ces investigations, menées au titre de la « compétence extraterritoriale » de la justice française, portent également sur les attaques perpétrées dans la nuit du 4 au 5 août à Adra et Douma – 450 blessés.
Ces gens à Paris se décrètent « compétents » dans tous les pays du monde. Ces juges ne sont même plus compétents pour gérer la criminalité ordinaire en France.
C’est grotesque.
« Cette décision constitue un précédent judiciaire historique. C’est une nouvelle victoire pour les victimes, leurs familles et les survivants, ainsi qu’un pas vers la justice et une paix durable en Syrie », a réagi dans un communiqué Mazen Darwish, fondateur et directeur général du SCM.
Il rappelle que la plainte était accompagnée de « témoignages de première main venant de nombreuses victimes », d’une « analyse approfondie de la chaîne de commandement militaire syrienne », ainsi que « de centaines de documents, parmi lesquels des photos et vidéos ».
Cette histoire de Nuremberg du pauvre pour juger les chambres à gaz volantes de Bachar al Assad est vraiment un truc de mauvais perdant. Mais aussi de juifs.
Quel sens du timing que ces poursuites pour « crimes contre l’humanité » fabriqués de toutes pièces au moment où la France soutient officiellement tous les crimes des juifs en Palestine.
Ces juifs n’ont toujours pas digéré la victoire de Bashar al Assad et de la Russie contre leurs djihadistes. Son soutien à la résistance palestinienne rend encore plus agressive cette juiverie infernale.
Contre la censure
Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.
Ou utilisez un VPN.