Captain Harlock
Démocratie Participative
25 avril 2019
Les (((démocraties))) sont inquiètes, des Blancs continuent de respirer, ici et là.
Après la diffusion en ligne de l’attentat de Christchurch, plusieurs dirigeants et patrons d’entreprises numériques se réuniront autour d’Emmanuel Macron et de la première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern, le 15 mai à Paris. Le but de cette réunion sera de forger un accord nommé «l’appel de Chistchurch» entre les gouvernements et les entreprises technologiques visant à éliminer les contenus terroristes et extrémistes violents en ligne. «Nous devons tous agir et cela implique que les réseaux sociaux assument davantage la responsabilité du contenu de leurs plateformes», a déclaré Jacinda Ardern à des journalistes mercredi.
Ah.
J’ai la vague impression que cet « appel » ne sera pas bienveillant vis-à-vis de l’homme blanc.
Le 15 mars dernier, un suprémaciste blanc d’origine australienne a tué 50 personnes dans deux mosquées de Christchurch et a diffusé le massacre en direct sur Facebook, dans une vidéo longue de 17 minutes. Il avait alors fallu 12 minutes avant qu’elle puisse être retirée et ce, seulement après le signalement d’un internaute. entre-temps, le document s’était propagé sur de nombreux sites, notamment YouTube (propriété de Google), Instagram (propriété de Facebook) et Twitter dans son intégralité ou via des extraits.
En réalité, au seul plan technique, ce délais 12 minutes représente une prouesse compte tenu du volume de vidéos, d’images et d’informations diverses que droit traiter un réseau mondial comme Facebook.
Mais 12 minutes, ce n’est pas assez. Ni même 6 minutes ou 1 minute.
Ce que veulent ces politiciens qui sont mis au pouvoir par la finance juive pour importer des dizaines de millions de migrants du tiers-monde, c’est qu’il soit impossible de télécharger quoique ce soit qui diverge d’un iota de l’idéologie judéo-globaliste.
Ce n’est pas la violence en elle-même qui dérange ces gens. Si c’était le cas, ce serait la fin des reportages de guerre et même des films à caractère violent.
Ce qui dérange ces gens, c’est que la vidéo de Brenton Tarrant a fait le tour du monde en quelques minutes parce que des millions de gens – de toutes les races – ont absolument adoré le contenu. Parce que ces chiens de musulmans sont haïs de la terre entière, à juste titre, pour être une engeance absolument ignoble.
C’est aussi simple que ça.
Rappelez-moi le nombre d’attentats commis par des Blancs contre des pagodes ?
Et cette attaque, en elle-même, n’est qu’une goutte d’eau par comparaison à l’océan de sauvagerie musulmane qui se déverse sur la planète.
Brenton Tarrant, contrairement à ce que nous disent les médias juifs, n’est pas sorti de nulle part.
Raw footage showing the aftermath of blasts in Sri Lanka pic.twitter.com/W7IuAT57ex
— Wignat LGBTQ Representative (@WignatLGBTQ_Rep) 23 avril 2019
De l’Inde à la Chine en passant par les Philippines ou l’Europe, plus personne ne peut supporter cette vermine islamique fanatisée et assoiffée de sang.
Le monde en a simplement assez.
Or, quand ces démocraties juives passent l’année entière à expliquer que la secte du Bédouin est la source d’un bienfait inépuisable pour les nations blanches, vous ne pouvez pas tolérer que le peuple visionne en boucle une vidéo de carnage de bougnoules en riant à gorge déployée.
De toute façon
Tout ça est une excuse.
Ce n’est pas internet qui crée le « terrorisme », peu importe ce que ça veut dire.
Il n’y avait pas d’internet quand l’IRA ou l’OLP montaient leurs opérations.
C’est un prétexte pour empêcher la jeunesse blanche de se rebeller contre l’oppression judéo-financière.
Et les juifs ont fait avaler ça à ces Boomers.
Seuls des Boomers peuvent croire qu’on peut rendre totalement étanche internet. Vous avez tous ces vieux cons de 60 berges totalement soumis aux juifs qui demandent à des trentenaires américains de contrôler l’internet.
Il suffit d’une adresse email et d’un serveur aux USA pour rendre accessible cette vidéo puis de la diffuser des dizaines de plateformes différentes. Il suffit d’un VPN ou de Tor pour contourner tout blocage.
Et surtout, quand la technologie BlockChain sera vraiment au point, tous ces efforts seront effacés.
La rencontre se tiendra le même jour que la réunion Tech for Humanity («technologie pour l’humanité») des ministres du numérique du G7 à Paris, qui est présidée par la France. Cette dernière aura pour objectif de «réfléchir aux exigences et aux valeurs qui doivent prévaloir en matière d’innovation numérique et au rôle que ces technologies peuvent jouer au service de la lutte contre les inégalités». Le 15 mai, aura également lieu la deuxième édition du sommet «Tech for Good» (mettre la technologie au service du bien commun) où Emmanuel Macron rencontrera plusieurs dirigeants de l’industrie des nouvelles technologies.
Cette boursouflure de Macron, incapable de tenir sa propre rue, veut faire des nouvelles technologies créées par des nations étrangères, USA et Chine principalement, un outil pour réaliser l’utopie judéo-communiste française et l’étendre au monde entier.
Oui.
Non.
Les Chinois ne sont pas intéressés. Ils foutent leurs mahométans en camp de concentration.
En fait, personne n’est intéressé par cette idée bizarre de tailler des pipes à des crouilles puants du Pakistan ou d’Algérie.
Cela ne peut intéresser que des pédés parisiens ou des crouilles et des nègres députés En Marche. Ce qui fait tout de même léger au plan planétaire.
Lors d’une conférence de presse mercredi, Jacinda Ardern a déclaré qu’elle avait déjà discuté avec des dirigeants d’entreprises comme Facebook, Twitter, Microsoft et Google. «La réponse que j’ai reçue a été positive. Aucune entreprise technologique, comme aucun gouvernement, n’aime voir l’extrémisme violent et le terrorisme en ligne», a-t-elle expliqué. Elle a ajouté qu’elle en avait parlé directement à Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook qui a récemment appelé à un «rôle plus actif» des pouvoirs publics pour réguler Internet. Un porte-parole du réseau social a d’ailleurs déclaré que la société souhaitait collaborer avec des experts du gouvernement néo-zélandais, de l’industrie et de la sécurité sur un cadre de règles très clair. «Nous évaluons actuellement le meilleur moyen de soutenir cet effort et de déterminer qui, parmi les plus hauts dirigeants de Facebook sera présent», a-t-il déclaré.
« Extrémisme violent ».
« Zuckerberg ».
Je suspecte comme un biais.
Les juifs, aidés de Blanches en hijab, vont donc définir ce qu’est « l’extrémisme violent ».
Je peux déjà dire que cela n’inclut pas le fait d’exécuter de manière extra-légale des arabes à la frontière israélienne.
Les juifs vont pouvoir continuer d’alimenter des tonnes de pages et de comptes célébrant la chasse à l’arabe en Palestine.
Chez nous, simplement ne pas vouloir disparaître sur nos terres suffira pour être censuré. Un « terroriste par destination ».
Jacinda Ardern n’a pas précisé ce qu’elle et Emmanuel Macron envisageaient de demander aux réseaux sociaux de faire. Elle a expliqué que l’accord inclurait «des attentes spécifiques vis-à-vis des gouvernements et des entreprises Internet», mais qu’il ne comprendrait pas de nouvelles réglementations. Après cette annonce, plusieurs analystes ont averti que tout accord ne précisant pas les conséquences d’un manquement à mettre fin au contenu extrémiste aurait peu de chances d’altérer le comportement de ces entreprises de manière significative.
L’Australie, de son côté a récemment fait voter une loi très répressive contre les réseaux sociaux à laquelle l’industrie de la technologie est vivement opposée. Avec cette loi, ces derniers devront payer une amende correspondant à 10% de leur chiffre d’affaires annuel s’ils ne suppriment pas assez rapidement des contenus violents liés à des «actes terroristes». Cela concerne aussi les meurtres, tortures, enlèvements et viols. De plus, les cadres dirigeants des réseaux sociaux encourent une peine d’emprisonnement de trois ans en cas de manquement. En Australie, plusieurs organisations ont critiqué cette nouvelle loi qu’elles jugent trop sévère vis-à-vis des plateformes. En Europe, la Commission a récemment présenté un projet de règlement obligeant les grandes plateformes à supprimer les contenus faisant l’apologie du terrorisme en moins d’une heure. Il doit encore être examiné par les députés européens.
Je doute que Netanyahou soit censuré en moins d’une heure pour avoir légitimé le bombardement de mosquées.
Ces « démocraties » ont un monopole sur le terrorisme.
Lors de sa déclaration, Jacinda Ardern n’a pas laissé entendre qu’elle envisageait d’adopter une réglementation semblable au modèle australien. Par ailleurs, face aux inquiétudes quant à la violation de la liberté d’expression, elle a affirmé que l’accord qu’elle préparait avec Emmanuel Macron ferait spécifiquement référence aux activités terroristes. «Il ne s’agit pas de liberté d’expression, mais d’empêcher l’extrémisme violent et le terrorisme en ligne», a-t-elle expliqué.
Oui, bien sûr.
Macron offre toutes les garanties en matière de liberté d’expression.
« La députée Laetitia Avia déposera dès le mois de mai une proposition de loi pour lutter contre la haine sur internet », annonce Emmanuel Macron au dîner du Crifhttps://t.co/hm3kGtHf1t pic.twitter.com/z4Jhu6n1OP
— franceinfo (@franceinfo) 20 février 2019
Facebook est de toute façon un truc de Boomers ou d’arabes. FB tourne en rond et la censure qui s’annonce via la loi « Avia-Lippoutou » va l’achever.
Pour nous, il ne s’agit pas de toucher des Boomers mais des jeunes et pour toucher les jeunes, d’autres plateformes existent. Les jeunes iront toujours chercher le contenu qu’ils veulent.
Mais tout ceci, bien sûr, ne doit pas nous empêcher de maudire les juifs pour essayer de priver les Blancs de parole.
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