La rédaction
Démocratie Participative
17 mai 2024
Les droitardés ont applaudi des deux mains le déploiement de l’armée et des flics en Nouvelle-Calédonie par Macron, ainsi que la proclamation l’état d’urgence.
Ils ont oublié qui sont ces flics, quel est ce régime, et ce malgré l’affaire de Crépol.
De nouvelles images sortent de la manifestation d’hier soir à #RomansSurIsère, on y voit ici des policiers protéger la cité avec de jeunes locaux à côté d’eux.
La république maçonnique et la racaille ensemble. 👏#Crepol #cnews #Monnaie
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— Kim Jong Un ᵖᵃʳᵒᵈⁱᵉ (@KimJongUnique) November 26, 2023
Ils vont vite découvrir que c’était un prétexte idéal pour mettre au point le dispositif qui sera utilisé demain contre tous ceux que l’État n’aime pas. Et l’État n’aime vraiment pas les Blancs, bien moins encore que les Kanaks insurgés.
Interdiction de Tiktok en Nouvelle-Calédonie: une mesure inédite dans une démocratie occidentale pic.twitter.com/QVxzD4wWxT
— BFMTV (@BFMTV) May 16, 2024
Il y a encore une semaine, cette méthode était réservée aux régimes dénoncés par les démocraties. Désormais, c’est le nec plus ultra de la défense de la démocratie.
Ce qui a été fait avec Tiktok sera étendu à Twitter, Facebook, etc..
En cas de guerre ou de troubles sociaux majeurs où des Blancs descendront dans les rues, ce qui n’a pas été utilisé contre les 250,000 insurgés allogènes en juin 2023 sera utilisé sans restriction.
L’internet est progressivement en train d’être démantelé et Macron entend bien l’achever sous son mandat. Cela pourrait d’ailleurs l’aider à rester au pouvoir indéfiniment, en prétextant une guerre ou allez savoir quoi d’autre.
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