La France, armée de réserve nègre de la juiverie (Analyse)

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 juillet 2018

Il est temps de parler d’un véritable problème : la France.

Certains aiment à distinguer la république de la France. Bien que séduit sur le papier, cette théorie me paraît de plus en plus douteuse.

Non pas que la France, d’un point de vue racial, n’existe pas. Mais faire une distinction aussi radicale entre la forme du gouvernement et la populace qu’il gouverne m’apparaît comme tiré par les cheveux.

Cette république juive me semble incarner, à merveille, le fond psychologique mi-négrifié mi-sémitisé d’une part importante de la population française.

En fait, on peut dire que la France est l’un des rares pays, sinon le seul, à avoir été réellement judéo-bolchevisé avec succès. Même l’Amérique semble légèrement moins pénétrée, ce qui n’est pas peu dire.

On y trouve ce goût devenu atavique pour la merde et la médiocrité que couronne la passion pour la négraille, le tiers-monde, tout ce qui peut puer l’échec à un titre ou un autre. Et bien sûr, la crasse.

Un océan de crasse.

Je ne crois pas, par exemple, que Hidalgo soit le résultat d’un accident.

Hidalgo est parfaitement à l’image de la dernière pissotière de Paris tenue par une grosse négresse du Mali. C’est l’épitomé de ce tas de fumier.

Si vous deviez me tourmenter, vous m’obligeriez à vivre à Paris. Je préfère n’importe quelle ruelle merdique de Bangkok à cette ville. C’est physique.

Je ne sais pas si jamais Paris fût quelque chose de propre. On me parle de l’architecture, je ne vois que les faciès les plus insolites et les plus obscènes déambuler ici et là.

Quand on parle de politique, en général, on tombe sur des boutiques grotesques à l’image du sinistre cirque exotique qu’est devenu la France. Vous avez des pédés, des juifs et des arabes ralliés qui viennent vous dire qu’il faut sauver l’Occident.

D’abord, ils ne savent même pas ce qu’est l’Occident puisqu’ils n’en ont jamais fait partie. Ensuite, l’Occident qu’ils décrivent n’est que le bordel judéo-nègre agonisant dont il voudrait simplement soustraire l’islam pour se préserver ses petites crises d’épilepsie antisémites et homophobes.

Je ne vois, pour la France, qu’une seule voie désirable : le feu racial. Ce feu purificateur est, par obligation, radicalement antisémite car c’est bien la vermine juive qui veille au grain de l’antiracisme, de la réduction en esclavage de l’homme blanc.

Mais nous avons, au sein de la plèbe, comme une pandémie de peste : cet amour pour la négraille. Que feraient tant de Français sans ces nègres stupides à materner ?

La démocratie et le confort, voilà nos maux. Mélanine, Smirnoff, sueur, promiscuité, à feu doux.

Le juif, dans cet enfer, s’amuse follement. Il agite le Blanc foutu-gâteux avec ses histoires d’ongles incarnés frits à l’ombre du souk jérusalémique. L’oeil froid et luisant de l’araignée juive observe fixement le Gaulois à la cervelle ravagé par deux siècles de judaïsme pathologique, de démocratie pornocratique.

Pour vacciner les Gaulois du judéo-communisme que les juifs lui ont tatoué au fond du trou du cul, ils devront morfler phénoménalement.

Le Gaulois, sans maître, est perdu. Il lui faut un métèque, tout près, pour ne pas se sentir seul.

Je n’ai jamais rien compris de cette histoire de souverainisme quand, depuis si longtemps, tout n’est en France que prétexte à sucer la pire lie raciale des latrines méditerranéennes. Le Gaulois se donne à n’importe quelle tribu pourvu qu’elle soit basanée, obscure, bancale.

La seule chose qui lui redonne un peu de contenance et d’allant est l’idée de devoir redevenir son propre maître. Il en défaille immédiatement, s’indigne, se lamente, tonne, négocie, pleure. Il veut bien déménager la Tour Eiffel en Ouzbékistan moyennant l’abandon du projet.

La perspective d’un état français le plonge dans le désarroi le plus complet.

C’en est arrivé à un point où l’Italie brille de mille feux du haut de sa xénophobie triomphante tandis que la Cinquième Putain continue de mijoter dans son jus judéo-sénégalais. Dans son vice, la France sous commandement juif veut se venger en pourrissant le sang de l’Europe aryenne.

Notez comment, dès lors que l’on émet le moindre doute sur la fin de l’histoire qu’est la négrification de l’Europe, une assemblée française explose en hurlements.

La défense du nègre, bien plus que celle de l’arabe, est notre religion d’état, à peine dépassée, institutionnellement, par la magique chambre à gaz.

Le dieu des Français

De quelle laïcité ou d’athéisme parle-t-on ? Nous sommes en pleine théocratie. Le Français est devenu animiste sans le savoir. Il vénère le nègre sous les auspices du Grand Rabbinat.

« Ô, Nègre, mon Nègre, que puis-je faire pour te satisfaire ? Commande, ô Nègre, je suis ton dévoué serviteur ».

Pour retrouver un peu ses esprits, la populace a besoin de voir son niveau de vie divisé par 5 en 10 ans. Tant que nous en serons au cégétisme-Koh-Lanta, nous continuerons à servir les juifs et à nous saigner pour l’enfant nègre prodigue.

Quant à cette histoire d’islam, c’est encore un coup de chance. Si nous n’avions pas ces arabes, la France serait déjà annexée par la négraille. Indolente, lascive, putain, gigotant son cul au rythme du tamtam, Michel Niang-Durand pour 1000 ans, fini con extatique méditant les écrits philosophique de John Cohen Ben Shimon, Prix Nobel de Littérature.

Que ferait d’ailleurs les juifs sans les nègres ?

Il n’y a plus guère que la haine, passionnée, qui peut régénérer cette Gaule sémitisée. La haine immédiate, tripale, la haine raciale, absolument. La haine de voisinage, la plus tenace, la plus irréductible. La colonne vertébrale de substitution pour redresser cette masse assaisonnée par le Moyen-Orient.

Haine raciale partout.

« Youpin, Youpin, sois patient, l’heure approche, sublime youpin. Tout finit toujours par arriver. »

– proverbe populaire