La Finlande désigne une fille de gouines marxistes comme premier ministre : elle promet de sauver les retraites à tout prix

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 décembre 2019

La Finlande est officiellement devenue un état matriarcal.

Dominée par 5 partis dirigés par 5 femmes, son nouveau premier ministre est la dirigeante du Parti Social-Démocrate, Sanna Marin.

C’est accessoirement la fille adoptive de deux gouines d’extrême-gauche.

A partir de maintenant, la Finlande va être détruite à la vitesse de l’éclair par sa caste vaginocratique et se transformer en tyrannie féministe pro-islamique.

Et cela va pouvoir se faire avec le soutien déterminé des Boomers.

Bloomberg :

Les sociaux-démocrates sont particulièrement gênés par le vieillissement de la population du pays, les retraités représentant une grande partie de son soutien. Les finances publiques étant mises à rude épreuve par un nombre réduit de personnes en âge de travailler, la plate-forme traditionnelle du parti – un état-providence généreux – est de plus en plus menacée.

Le gouvernement a fondé la viabilité financière de son programme stratégique sur la prémisse qu’il réussira à créer au moins 60 000 emplois au moment même où la croissance économique devrait se ralentir. Un autre vent contraire viendra des revendications syndicales en faveur d’augmentations salariales qui pourraient peser sur la compétitivité des exportations finlandaises.

« La route du gouvernement ne sera pas facile, a dit M. Marin. « C’est pas grave. J’ai prouvé mes capacités. »

Cette traînée socialiste a d’ores et déjà la solution miracle : des mâles circoncis venus du Dar al-Islam.

« La Finlande a toujours été une terre d’immigration »

Les vannes de l’Afrique et du Pakistan vont être ouvertes si rapidement que les Russes de la frontière voisine vont commencer à réviser leur géographie.

Ipe.com :

Une augmentation importante de l’immigration en Finlande, ou une baisse équivalente de l’émigration, permettrait d’alléger la pression sur le système finlandais de retraite, selon une nouvelle étude du Centre finlandais des pensions.

L’organisation – qui est l’organe central du régime légal finlandais de retraite lié aux revenus – a déclaré qu’un afflux de population aiderait à contrecarrer l’impact négatif que la baisse des taux de natalité devrait avoir sur les taux de cotisation des épargnants finlandais dans le système de retraite lié aux revenus au cours des années à venir.

Jaakko Kiander, directeur du centre en charge de la recherche, des statistiques et de la planification, a déclaré : « Une immigration nette plus élevée qu’aujourd’hui pourrait compenser la pression à la hausse sur les cotisations de retraite causée par la baisse des taux de natalité. »

En mars dernier, le Centre finlandais des pensions a lancé un avertissement concernant la baisse des taux de natalité, affirmant que la baisse du taux de dépendance pourrait faire augmenter les cotisations d’environ 30% après les années 2050.

Selon la projection de référence du centre, qui fait suite à la projection démographique de 2018 de Statistics Finland, les taux de cotisation au titre de la loi sur les pensions des employés (TyEL) devraient atteindre plus de 30 % dans la seconde moitié du siècle, contre 24 à 25 % actuellement.

Toutefois, le centre a averti que la réduction de l’immigration affaiblirait les finances des retraites de la Finlande, affirmant que, si le nombre de personnes arrivant dans le pays devait diminuer de 5 000 par an, les taux de cotisation devraient alors augmenter dès les années 2030.

La nouvelle étude divise les immigrants en tranches de revenu en fonction de leur pays d’origine afin d’illustrer les effets que différents types d’immigration auraient sur les pensions. Cette analyse a révélé qu’une augmentation du nombre de nouveaux arrivants du groupe des revenus élevés ou moyens pourrait réduire les taux de cotisation aux régimes de retraite d’environ un point de pourcentage d’ici le milieu des années 2040.

Par contre, une augmentation du groupe à faible taux d’emploi réduirait moins les taux de cotisation, et ce, jusqu’à la fin des années 2060.

La cause des retraites en dépend.