Le Libre Panzer
Démocratie Participative
27 novembre 2018
Quand le globalisme juif a un problème, il abat sa carte magique : les djihadistes.
Après la Syrie et la Libye, la France, foyer potentiel de résistance dure à la tyrannie financière juive, devient le théâtre de jeu des égorgeurs d’allah.
Suite à l’annonce de l’Acte 3 de la mobilisation, toujours à Paris, les djihadistes de la banque juive sont comme par hasard sortis du bois.
Cela ne sera pas une surprise pour ceux qui connaissent toutes les ficelles de la finance juive internationale qui utilise, depuis des décennies, le terrorisme islamo-sémitique pour mettre en place sa tyrannie planétaire.
Rappelez-vous que Castaner a explicitement associé le mouvement des Gilets Jaunes au terrorisme, à l’aggravation de la menace terroriste. Le message était clair : « rentrez chez vous ou vous serez tués ». Tués non pas par des policiers aux ordres du système – ce qui ferait basculer des pans entiers du peuple dans la rébellion ouverte – mais par des proxys que l’on laissera agir à dessein.
Rien n’a changé, nous en sommes au même point que l’Allemagne en 1933 lorsqu’elle se révolta contre la finance juive.
Pareillement pour la Syrie en 2011.
Soyez bien conscients du fait que la structure globale édifiée depuis 1945 est en train d’imploser dans tout le monde occidental. Perdre le contrôle de la France, deuxième puissance économique et première puissance militaire d’Europe, porterait un coup fatal à l’UE. Donc à la finance juive qui la contrôle.
Pour reprendre la main et imposer une mise au pas autoritaire des rebelles français, l’artifice du terrorisme sous contrôle est idéal.
Un « attentat » visant des Gilets Jaunes, sur un blocage ou leur d’une manifestation, donnerait au gouvernement l’excuse dont il a besoin pour interdire tout rassemblement public et mettre un terme, par la force, à cette insurrection populaire pacifique.
La triangulation va jouer à plein.