Captain Harlock
Démocratie Participative
24 octobre 2018
On peut désormais dire que le bras séculier de la banque juive en Europe est au bord de l’effondrement. L’affameur des peuples qu’est le youtre Moscovici ne se cache plus de vouloir détruire économiquement l’Italie.
Euractiv :
C’est une première pour l’UE : la Commission européenne a rejeté le budget italien pour 2019, estimant qu’il ne respecte pas le droit européen.
« Pour la première fois, la Commission est obligée de demander à un pays de la zone euro de revoir son plan budgétaire, et nous ne voyons aucune autre alternative », a déploré le vice-président de la Commission en charge de l’euro, Valdis Dombrovskis.
La Commission a exprimé de « sérieuses inquiétudes » le 18 octobre quant au plan budgétaire de l’Italie, qui comporte une « violation sans précédent » du pacte budgétaire. Le ministre italien des Finances, Giovanni Tria, le reconnaît, mais affirme qu’il s’agit là d’une décision « difficile, mais nécessaire ».
Pour le commissaire en charge de l’économie, Pierre Moscovici, cette décision n’est une surprise pour personne. « Il était clair que nous faisions face à une situation sans précédent », a-t-il souligné.
Le gouvernement italien va ouvertement et sciemment à l’encontre des engagements faits », affirme Valdis Dombrovskis. « Si la confiance est érodée, tous les États membres en subissent les conséquences et l’Union aussi », a-t-il prévenu.
La finance juive a parfaitement évalué la situation.
Dans quelques jours, vous verrez les juifs qui sont à l’origine de la crise hurler précisément à la crise, pointant du doigt les taux d’intérêts italiens qui montent. Ils auront bien sûr mis en scène cette hausse en créant ex nihilo une confrontation avec Rome pour mieux désigner le gouvernement populiste italien comme la cause de cette inexplicable situation.
L’objectif est de faire capituler le gouvernement italien en divisant la coalition qui le compose. L’idée est de contraindre Rome à signer tout ce que la finance juive veut qu’elle signe.
Le youpin Moscovici a cependant surestimé la force d’entraînement de ces menaces.
Le youpin Moscovi a immédiatement appelé à écraser le gouvernement fasciste italien par l’arme économique.
L’épisode de la « chaussure ? made in Italy » est grotesque. Au début on sourit et on banalise parce que c’est ridicule, puis on s’habitue à une sourde violence symbolique, et un jour on se réveille avec le fascisme. Restons vigilants! La démocratie est un trésor fragile
— Pierre Moscovici (@pierremoscovici) 24 octobre 2018
La démocratie n’est rien d’autre que la tyrannie financière juive.
L’Italie populiste est en outre occupée à saboter le plan de guerre mondial juif contre la Russie.
Troisième économie de la zone euro, pays fondateur de l’Union européenne (UE), l’Italie, depuis qu’elle tient franchement tête à Bruxelles, pèse de tout son poids. Ce 24 octobre le président du Conseil des ministres italien, Giuseppe Conte, est à Moscou pour rencontrer le président russe Vladimir Poutine.
En juillet dernier, Matteo Salvini, toujours à Moscou, déclarait son intention de mettre un terme aux sanctions avant «la fin de l’année». «L’Italie est le pays européen qui a le plus souffert de ces sanctions contre la Russie», avait-il alors déploré. Un mois plus tôt, Giuseppe Conte se disait favorable à une révision des sanctions à l’encontre de Moscou.
Confirmant cette ligne de fond de la politique étrangère italienne sur le sujet, Giuseppe Conte est allé plus loin le 22 octobre, à deux jours de son voyage à Moscou, en prônant le retour de la Russie au sein du G7, de nouveau étendu à huit participants. La Fédération de Russie avait rejoint le G7, rebaptisé G8, en 1997, pour en être exclue en 2014, en raison des accusations occidentales d’ingérence russe dans la crise en Ukraine. «Si le président Poutine revenait à la table de négociations du G7, nous serions en mesure de régler des problèmes internationaux qui ne l’ont pas été jusque ici», a ainsi affirmé Giuseppe Conte devant des journalistes.
Pour les juifs, le désastre géopolitique et financier est imminent.
Et Poutine devrait avoir des choses à offrir à Rome pour l’aider dans sa campagne de libération.
Le projet de réduction en esclavage de l’Europe voulue par les juifs est en train d’échouer. Le seul fait que les Italiens affirment vouloir vivre, c’est-à-dire faire des enfants plutôt que d’avorter avant d’importer des nègres ou des mahométans, remplit de haine cette juiverie démoniaque.
En Italie, iconographie fasciste des années 30, slogan homophobe et xénophobe. pic.twitter.com/TRSpYI6eLK
— LICRA (@_LICRA_) 19 octobre 2018
Orban, avec la meilleure volonté du monde, ne peut pas égaler la troisième économie continentale et sa deuxième industrie. Cette puissance économique, couplée à des alliances cruciales, fait de l’Italie de Salvini la plus grande menace pour ces juifs.
En conséquence, la finance juive utilise la même stratégie que face à Grèce gauchiste de Tsipras. Sauf que Salvini n’est pas Tsipras.