La rédaction
Démocratie Participative
2 décembre 2022
Nous allons devoir créer une rubrique spéciale « Sortez de mes mentions, les racistes ».
Étrangement, jusqu’à présent, les profils se suivent et se ressemblent :
- Femmes blanches de moins de 30 ans
- Profs
- Journalistes
Aujourd’hui, c’est journaliste.
Sérieux, les fachos qui viennent me traiter de « pleutre » parce que je n’ai pas, comme ils l’auraient souhaité, ciblé une religion en particulier : go to hell. C’est le dogmatisme en général qui me hérisse le poil, gardez vos obsessions pour vous.
— Bruno Renoul (@brenoul) December 2, 2022
kelkilssoient
Je plains la gamine d’avoir un père aussi lâche.
C’est pas comme si les journalistes pro-immigrés de Charlie Hebdo ne s’étaient pas faits rafaler par des Algériens malgré 40 ans de militantisme antiraciste.
Ces types de gauche ont la cervelle ravagée par des siècles de conditionnement.
D’un côté, il y a l’individualisme forcené de la gauche française hérité de l’anticléricalisme jouisseur du 18ème siècle. Ce truc ce résume à « j’fais ce que j’veuuuux ».
De l’autre, le fanatisme grégaire des Musulmans qui ne s’embarrassent pas de subtilités : « Sale bâtard, tu t’soumets ou j’t’égorge ! »
Bruno a parfaitement compris qu’il y avait une guerre en cours entre envahisseurs et envahis et que la dialectique du conflit assigne les uns et les autres à choisir un camp. Lui, le journaliste anarcho-communard, sent que la fin de la fête approche et qu’il va falloir se subordonner à un groupe, avec sa hiérarchie et ses impératifs. Mais ça heurte son surmoi de touriste égocentrique qui veut s’éclater selon ses règles. Il veut continuer de se gratter les couilles en faisant des blagues sur les curés du siècle dernier.
Cette lope pense pouvoir déserter et faire passer sa lâcheté face à l’ennemi pour de la hauteur de vue et se payer un ticket de sortie comme ça.
Son plan d’esquive est voué à foirer.
Personnellement, je pense que lorsque la guerre sera là, toute protection devra être conditionnelle. Des catégories entières devront être dépourvues de protection : magistrats, journalistes, profs. Ces gens-là ne devront pas pouvoir espérer de secours, peu importe la situation.
En temps de guerre, c’est le genre de types qu’une armée attache sur les capots de ses jeeps avant d’entrer dans une ville tenue par l’ennemi.
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