Captain Harlock
Démocratie Participative
06 Mai 2020
Ce contre quoi nous combattons
La psychose de masse suivie du confinement global – avec bientôt à la clef un effondrement économique inédit depuis la Seconde Guerre Mondiale – représentent la plus grande leçon sur l’existence de toute votre vie.
N’en perdez pas une bribe, elle vous permettra de comprendre les lois invisibles qui gouvernent l’humanité et que cachent avec une perfidie et un cynisme inégalé la démocratie.
L’idée que se fait de la liberté le troupeau femelle et démocrate est celle-ci : baffrer à l’écuelle.
Imaginez ça : avoir existé sur cette terre, au milieu des milliards d’années et des galaxies, pour pouvoir chier un Big Mac après avoir patienté pendant deux heures, béat.
Et ces gens-là « auraient des droits » !
Ils n’ont aucun droit. S’ils jamais ils en ont, nous devons les retirer à ces voleurs.
Le goulag était infiniment plus digne pour l’homme que cet affaissement démocratique total, de cette capitulation humaine. On avait encore la noblesse de tuer les gens plutôt que de les engraisser.
Certains me diront, « mais vous appelez à la levée du confinement, vous devriez être contents ! ».
Deux choses. La levée du confinement n’a jamais signifié qu’un monde conforme à ce que nous voulons adviendrait. Mais plus ce confinement s’éternise sans rencontrer d’opposition, plus le Système peut admirer, avec satisfaction, la réussite de son entreprise de réduction en esclavage des masses. L’après-confinement sera pire, plus complètement démocratique, plus morne et pourri que l’époque précédente. Plus débile, plus sénile.
On sous-estime encore trop la capacité de la démocratie à dégénérer, enlaidir, souiller.
Se révolter relève donc, en premier lieu, d’une question de liberté face au monstre atroce qui se dresse mollement, lentement devant nous avec plus d’arrogance qu’il ne le faisait jusque-là. Son corps est fait de la boue génétique des peuplades qu’il a avalé et mâché et ses écailles portent des centaines de noms qui ne forment qu’un bruit assourdissant : « démocratie », « égalité », « solidarité », « tolérance », « héros », « république », « préjugés ».
Pour cette raison, l’idée même que nous nous faisons de la vie nous oblige à refuser radicalement et irréversiblement l’enchaînement. Pour ne pas finir noyés dans cet océan de médiocrité vicieuse qui veut nous engouffrer.
L’humanité est encore plus éclipsée qu’elle ne l’était hier et le nombre de sous-hommes qui nous entourent a atteint un niveau dramatique et surtout historique. La porcherie démocrate est pleine, elle refuserait presque du monde. Si la mesure continue d’enfler, si ce bétail immonde continue de luire dans son gras, souriant et idiot, il n’y aura plus de retour en arrière possible. Les juifs nous auront fait chuter à un point tel que nous ne saurons même plus déchiffrer un panneau routier d’ici la fin du siècle. Peut-être avant. Le mot culture aura déserté notre partie du monde. Il ne restera que des poubelles dont la caractéristique sera de manger, se reproduire et déféquer.
Il y aura même des prêtres pour assurer au monde que ce sont des hommes.
Le sous-homme atteint, au moment où je parle, sa complétude. Il est jovial de dégénérescence balourde et burlesque. On en vient à se demander si le métissage, par un sortilège effrayant, ne parvient pas à se passer de copulation pour défigurer les Blancs et les affliger de faciès zébrés, couleur de bronze, la tête enflée, rigolarde, le cheveu décoloré et frisant par grillade.
L’air est si empuanti que l’on dirait bien que le respirer suffit à se contaminer le sang, bouleverser les phénotypes. Se pourrait-il que l’on attrape désormais, mystérieusement, le métissage par l’air, comme ce virus ?
Ce qui définit le sous-homme, c’est qu’il revendique par sa posture corporelle et ses traits sa sous-humanité, comme un titre de gloire.
Il n’y a aucune noblesse en lui.
La noblesse est une vaste question. Il suffit de dire qu’elle est la marque de celui qui s’élève.
Cette mer de boue, des fous de la Réaction veulent la diriger « démocratiquement ». Au moins les juifs et les démocrates ont-ils la lucidité de haïr la populace qu’ils manipulent.
Il n’y a qu’une idée saine à avoir : réduire les esclaves en esclavage, faire régner les rois ! C’est la grande différence avec la démocratie hébraïque universelle : celle-là couronne mensongèrement l’esclave et le fait parler, lui qui n’a rien à dire. Elle l’honore, feint la préséance. C’est sa façon de rabaisser le héros et le demi-dieu au niveau de l’idiot douteux rotant son gras, hisser sur le trône le raté gonflé d’orgueil.
Il faut retirer aux pourceaux le droit accordé par les juifs de répandre leur « esclavage souverain » de par le monde au nom de l’égalité. Le privilège odieux de digérer publiquement et de discourir. Le règne de la porcherie juive doit toucher à sa fin où c’est toute possibilité d’humanité qui disparaîtra dans le néant, définitivement amalgamé à une populace stupide, métisse et négroïde, fixée pour des milliers d’années aux ruines de nos villes.
C’est par la destruction du roi-esclave qu’est le sous-homme que s’annonce la libération des âmes racialement élues, depuis l’origine du monde, pour être, agir et assumer la souveraineté.
Qui pourrait fuir le Fatum ?
Il est encore possible d’échapper à ce destin sombre auquel aspirent les juifs et leurs créatures qui portent le masque de la démocratie. Comment, en pratique ? En haïssant avec le mépris du monarque le Sous-Homme, c’est-à-dire en sachant ce que l’on aime dans le Surhomme qui nous fait haïr le Sous-Homme. En rendant malheureux de mille façons cette créature vile et geignarde, c’est-à-dire en réduisant toujours plus l’espace vital de son règne.
En l’asphyxiant.
Le Sous-Homme est né pour souffrir, il doit souffrir ! Toute souffrance du Sous-Homme est une victoire : c’est contraindre l’insulte que fait au monde son impudence. Ne pas le soumettre et le punir, c’est laisser ce crapaud parcourir la terre pour affliger l’humanité.
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