La rédaction
Démocratie Participative
13 septembre 2022
La violente offensive visuelle négroïde se poursuit.
Après Tolkien et la Petite Sirène, c’est au tour de « La Femme Roi ».
The Woman King.
Vous connaissez le principe : le film obtient 100% de critiques professionnelles favorables sur Rotten Tomatoes, et 3,6 auprès des paysans racistes.
Ce film mérite bien évidemment une note de 100%.
Sa réalisation est parfaite.
La force du film réside dans sa précision historique, en plus du très haut degré de réalisme dans la reconstitution des personnages.
Un groupe PUISSANT de FEMMES NOIRES écrase les cruels Blancs colonialistes venus de France qui veulent les réduire en esclavage.
Se déroulant dans le royaume du Dahomey, en Afrique de l’Ouest, dans les années 1820, The Woman King suit le groupe de guerrières entièrement féminines, les Agojie, qui protègent le royaume. La générale du groupe, Nanisca, forme une nouvelle génération de guerrières pour lutter contre un ennemi qui veut détruire leur mode de vie.
Le royaume du Dahomey était un ÉTAT PUISSANT.
Voici le palais du roi, recréé de A à Z avec l’argent français en 2019.
La SAPIENCE KÉMITE est si impressionnante à travers son architecture que l’on est obligé de s’incliner devant l’avance technologique du Wakanda à cette époque.
Pour l’anecdote, chaque année, des centaines de noirs étaient exécutés pour le plaisir du ROI lors d’une cérémonie animiste.
A Abomey, capitale historique de la Rép. du Bénin, il existe des cases construites avec de l’argile pétri avec du sang humain qui provenait de prisonniers / ennemis. Elles accueillaient la dépouille du roi ainsi que certaines de ses épouses qui étaient enterrées vivantes avec lui
— Savoir du Monde 🌍 (@SavoirDuMonde) September 8, 2022
Le royaume du Dahomey fonde sa prospérité du 17e à la première moitié du 19e siècle sur le commerce des esclaves. Vers 1750, le roi Tegbessou vend ainsi chaque année plus de 9 000 esclaves aux négriers. On estime que ses revenus sont quatre à cinq fois plus élevés que ceux des plus riches propriétaires terriens d’Angleterre.
Le royaume devient une puissance majeure dans la traite des esclaves, ceux-ci étant fournis grâce à des raids dans les régions voisines. Le royaume d’Oyo fait parfois pression sur le Dahomey pour mettre un frein à son trafic d’esclaves, essentiellement pour protéger le sien ; le commerce esclavagiste du Dahomey marque à ces moments une pause avant de reprendre à nouveau.
Incapable de maintenir un apport régulier d’esclaves, le roi Adandozan (1797-1818) est renversé par son frère Ghézo (1818-1858) et le marchand d’esclaves brésilien Francisco Félix de Sousa. Sous Ghézo, l’empire atteint son apogée ; Ghézo bat l’empire d’Oyo en 1823, mettant fin à son statut de tributaire et développant fortement le commerce d’esclaves.
Les années 1850 voient le développement d’Abeokuta, une ville vouée à la protection des populations des raids du Dahomey, et l’application d’un blocus naval par les Britanniques en 1851 et 1852 pour stopper le commerce d’esclaves. Ghézo est contraint d’arrêter les raids et accepte de mettre fin au commerce d’esclaves. Des tentatives sont effectuées à la fin des années 1850 et 1860 pour le redémarrer, mais sans succès à long terme.
Comme expliqué dans le film, les AMAZONES NOIRES doivent résister en 1820 aux colons français qui veulent réduire en esclavage le Dahomey anti-esclavagiste.
Un film basé sur de PUISSANTS FAITS RÉELS.
« La France a vécu longtemps en paix sur cette côte, établie dans le petit poste de Kotonou, exerçant une sorte de protectorat sur le petit État de Porto-Novo, entretenant des relations, consacrées par des traités, avec le royaume plus vaste du Dahomey, qui s’étend à l’intérieur. On ne parlait guère du Dahomey, lorsqu’il a plu à ce petit potentat nègre, qui se livre à des sacrifices humains dans son royaume et a une armée fantastique d’amazones, de se jeter sur nos possessions, de renier ses traités, de contester nos droits, notre protectorat à Porto-Novo. La France s’est bornée d’abord à temporiser, en repoussant toutefois les agressions des bandes armées qui ont assailli nos postes. Elle a eu même la condescendance d’envoyer dans la capitale du Dahomey, à Abomey, le gouverneur de nos possessions, qui a été berné, humilié et n’a rien obtenu. La guerre a recommencé, avec tout son cortège de pillages, d’incendies, de razzias, enlevant femmes, vieillards, enfans, destinés à d’horribles holocaustes. C’est alors que le gouvernement français s’est cru obligé de prendre des mesures plus énergiques. Il avait envoyé déjà quelques compagnies de tirailleurs sénégalais qui, sous un vigoureux officier, se sont bravement conduits. Ces jours derniers, il vient d’expédier une petite escadre, pour appuyer la défense de nos postes et mettre le blocus devant la côte des Esclaves, de façon à interdire les débarquemens d’armes. Un premier pas est donc fait dans la voie des opérations de guerre. Que fera-t-on maintenant ? »
En cette année de 1820 de 1890, les Britanniques français ont mangé chaud.
J’ai hâte de voir Rokhaya Diallo en Gucci assister à la première en qualité de suprémaciste noire discriminée pour relater cette histoire méconnue et l’héroïsme des Amazones du Dahomey qui ont HUMILIÉ les babtous fragiles français.
Une histoire qui continue jusqu’à aujourd’hui.
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