Captain Harlock
Démocratie Participative
28 octobre 2019
La femme patate traverse une profonde crise psychologique.
Plus qu’en temps normal disons.
Des gens ont dit des trucs sur elle.
Du coup, elle exige que l’on empêche les gens de dire des trucs sur elle.
Greta Thunberg a attaqué Facebook pour « n’avoir pas su prendre ses responsabilités » à propos d’un certain nombre de théories conspirationnistes « très troublantes » diffusées à son sujet sur le réseau social.
La militante suédoise du climat, âgée de 16 ans, qui a inspiré le mouvement mondial de lutte contre le changement climatique dans les écoles, a déclaré qu’elle se demandait si elle devait continuer à utiliser le réseau social en conséquence. Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, a subi des pressions croissantes ces dernières semaines en raison du manque de fiabilité de l’information partagée sur le site et de ses publicités politiques. Partageant une vidéo d’un échange entre M. Zuckerberg et des politiciens américains au Congrès [parlement américain], Greta a déclaré qu’il y avait « des mensonges constants et des théories conspirationniste » à son sujet sur la plateforme, ce qui, selon elle, entraînait « de la haine, des menaces de mort et finalement de la violence ». L’écologiste, qui a récemment critiqué les dirigeants mondiaux dans un discours à l’ONU, a été fortement critiqué en ligne et accusé de « catastrophisme ».
Plus tôt ce mois-ci, un psychologue indiquait à Metro.co.uk que les adultes visaient l’adolescente pour un certain nombre de raisons, dont le fait qu’elle lui dit des choses qu’ils ne veulent pas entendre.
Ce sont les « adultes » qu’il faudrait diagnostiquer, apparemment.
Pas cette autiste.
Uh.
Mais à présent, Greta, qui est devenue une sensation mondiale pour son activisme en faveur du climat, appelle le géant de la technologie à prendre des mesures contre le trolling et les fake news – en disant qu’on pourrait « facilement » arrêter « si Facebook le voulait ». Dans un message sur le site, elle a écrit : « Je me demande, comme beaucoup d’autres, si je dois continuer à utiliser Facebook ou non. Permettre les discours haineux, l’absence de vérification des faits et, bien sûr, les questions d’ingérence dans la démocratie[…] sont, parmi de nombreuses autres choses, des faits très troublants. Les mensonges constants et les théories du complot à mon sujet et à propos d’innombrables autres personnes entraînent bien sûr la haine, les menaces de mort et, en fin de compte, la violence. Cela pourrait facilement être arrêté si Facebook le voulait.
Greta, qui a organisé sa 62e grève scolaire du vendredi plus tôt cette semaine, a poursuivi : » Je trouve le manque de responsabilité très troublant. Mais je suis sûr que s’ils sont contestés et si suffisamment d’entre nous exigent un changement, alors le changement viendra. »
Comme si cette cervelle détraquée qui voit « le CO2 à l’œil nu » rédigeait elle-même ses posts au sujet de « l’ingérence dans la démocratie », ce gag que les globalistes juifs font courir depuis l’élection surprise de Trump en 2016.
Qu’il s’agisse de Bergoglio, de Greta Thunberg ou de Macron, ils lisent les mêmes communiqués que les mêmes juifs leur donnent. A la virgule près, pour un but identique : c’est-à-dire de faire taire les goyim.
Peut-être que le plan juif de réparations financières pour la hausse de la température ne marche pas si bien que ça dans l’opinion.
Ceci dit, je suspecte plus gros.
Cette attaque contre Facebook colle parfaitement avec le projet des financiers qui sont derrière cette autiste asperger. Je veux parler de la création d’un réseau social à part entière qui serait dédié à la religion apocalyptique du communisme climatique.
En fait Ingmar Rentzhog et la famille de Greta se connaissent déjà et ont participé ensemble à une conférence sur le climat le 4 mai 2018. Peu de place au hasard donc, dans la rencontre à Stockholm, sur le trottoir devant le Parlement entre Ingmar et Greta.
Tout a été finement programmé pour transformer la jeune Suédoise en héroïne internationale, et ce, dès le 1er article paru dans le quotidien le plus lu dans le pays, Aftonbladet, quelques heures seulement après le post Facebook de Rentzhog.
We Don’t Have Time, la start-up qu’il a cofondée en 2016, a l’ambition de créer un réseau social de plus de 100 millions de membres, qui influencera les hommes et femmes politiques et les chefs d’entreprise pour qu’ils agissent davantage contre le réchauffement climatique. C’est ce qui apparaît en tout cas dans leur plaquette web.
C’est la que ça se complique. Parmi les actionnaires de la start-up, on trouve les membres de deux familles interconnectées : les Persson, enfants du milliardaire Sven Olof Persson, qui a fait fortune, entre autres, dans la vente de voitures (Bilbolaget Nord AB) et les Rentzhog. Les deux familles d’investisseurs, qui se sont rencontrées dans la région du Jämtland, n’ont aucun lien avec l’écologie, ce sont des spécialistes de la finance.
Il faut toujours suivre l’argent.
Vous allez me dire, « quel rapport entre le communisme climatique et la finance ? ».
C’est assez simple : le communisme climatique sert à lever les taxes qui alimentent les caisses des prêteurs juifs internationaux.
Les juifs comprennent parfaitement le principe dialectique et jouent toujours sur les deux facteurs de l’équation. Ultra-capitalisme d’un côté, ultra-collectivisme de l’autre.
Donc, vous allez payer vos taxes sur la température et vous serrez la ceinture.
En plus, les insectes sont excellents pour la santé.