La femme patate Greta Thunberg parle de la taille de la bite d’Andrew Tate après avoir mangé un clash sur son business climatique

La rédaction
Démocratie Participative
29 décembre 2022

 

Avant-hier, Andrew Tate, un influenceur américain, a voulu troller la femme patate suédoise Greta Thunberg en parlant de son parc auto ultra carboné.

Bonjour @GretaThunberg

Je possède 33 voitures.

Ma Bugatti a un w16 8.0L quad turbo.

Mes DEUX Ferrari 812 competizione ont des V12 de 6,5 litres.

Ce n’est que le début.

Veuillez indiquer votre adresse électronique pour que je puisse vous envoyer une liste complète de ma collection de voitures et de leurs énormes émissions respectives.

C’est la réponse de la pomme de terre qui a été la plus édifiante.

Oui, éclairez-moi. Envoyez-moi un courriel à [email protected]

Quand une femme veut répondre à un homme pour l’humilier, elle le réduira toujours à la taille de son pénis, avec comme pour message implicite qu’un homme digne de ce nom à un sexe de grande taille.

Évidemment, ce sont les mêmes traînées féministes qui hurlent à la sexualisation 24 heures sur 24 et dénoncent le « body shaming » en revendiquant le droit de peser 200 kilos au prétexte que si les hommes trouvent ça passablement problématique, c’est en raison de leurs « préjugés patriarcaux ».

Personnellement j’aurais répondu à ce blob qu’elle est une fille à petits nichons imbaisable que je défie en combat singulier en un contre un, à mains nues.

C’est factuel, c’est une planche à pain.

La situation de départ est donc celle de deux personnes, un homme et une femme, qui ne se connaissent pas. L’homme tourne en dérision le postulat climatique que cette femme promeut et celle-ci répond à cet inconnu en lui parlant de la taille de sa bite.

Il n’y a pas si longtemps, une femme connue qui se serait mise à parler de la taille de la bite d’hommes inconnus qu’elle n’aime pas aurait fait passer cette femme pour une traînée sortie du caniveau et l’aurait disqualifiée socialement. Mais nous sommes en Occident, après un siècle de féminisme, les femmes sont désormais aux commandes et ont mis leur hypergamie à l’épicentre de l’ordre social, bouleversant les normes légales, sociales et culturelles pour que les hommes orbitent autour d’elles et de leurs désirs.

Les femmes n’ont plus besoin de dissimuler leur nature hypergame. Elles affichent fièrement leur nature de pétasses en assignant publiquement les hommes sur l’échelle de la compétition sexuelle.

Le message implicite ici est que le plaisir sexuel féminin est lié à la taille du sexe de l’homme et qu’un homme sans un sexe de grande taille est impuissant sexuellement, donc un homme socialement raté puisque décrété incapable de satisfaire les femmes dans une société reconfigurée autour de l’hypergamie féminine.

Thunberg ne perd pas son temps à argumenter sur le thème climatique. En tant que pute féministe assumée, elle se contente de disqualifier le messager plutôt que le message. En 2023, cela suppose de disqualifier sexuellement un homme qui tourne en dérision le délire climatique grâce auquel Thunberg existe socialement. Il va sans dire qu’aucune preuve n’est nécessaire pour démontrer que Tate aurait une petite bite, si d’aventure c’était même requis. Il suffit aux pétasses de le dire et d’en rire pour que cela devienne vrai dans une société vaginocratique, car la dévalorisation sociale d’un homme par les femmes suffit à le condamner symboliquement.

Cette inversion est d’autant plus révélatrice que c’est la femme qui est (et doit) être évaluée sur le seul plan sexuel, car c’est sa seule valeur ajoutée comme mère potentielle. Comme le dieu Atlas, c’est l’homme qui bâtit la civilisation et la maintient, à tous les plans, et qui est évalué par ses pairs sur ses réalisations historiques et non sur sa dimension purement reproductive.

Si les hommes ne veulent pas que cette situation anormale perdure et que la civilisation s’effondre, les traînées qui osent parler de cette façon doivent se voir rappeler qu’en dernière analyse c’est le rapport physique qui fixe la hiérarchie entre l’homme et la femme et, conséquemment, recevoir une gifle quand elles osent s’aventurer avec insolence sur ce terrain. Quand une femme parle de la taille de la bite d’un homme en public pour l’humilier, un homme doit répondre par la taille de ses muscles en exerçant une sanction physique contre la garce contrevenante.

Les catins doivent apprendre à nouveau à raser les murs en présence des hommes.

La pudeur féminine n’est rien d’autre que le résultat de la conscience chez les femmes du risque qu’elles encourent à inverser le rapport hiérarchique entre les sexes. Cette pudeur n’est pas innée, elle est le résultat d’une sanction réelle que les femmes redoutent.

Commentez l’article sur EELB.su