La droite antiraciste n’a pas d’avenir, seul le séparatisme racial blanc en a un

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 juin 2021

 

Ce que j’apprécie chez Caroline Fourest, c’est qu’elle exprime avec limpidité le discours du front anti-racialiste qui va du Parti Socialiste au Remplacement National.

C’est net et précis, on sait où on est.

Dans sa vidéo récente, le débonnaire libéral Charles Gave commence par un plaidoyer lapidaire contre le racialisme.

A partir de 06:00 :

C’est bien simple, on ne trouve pas une seule voix discordante dans ce concert de diabolisation du fait racial.

Quand vous avez fini d’écouter tous ces gens, de droite et de gauche, vous retenez que les races n’existent pas, qu’il s’agit d’un mirage, d’une hallucination.

Et puis, vous sortez de chez vous pour aller faire une course et vous croisez le bled algérien.

Vous vous baladez sur Twitter et vous voyez tous les drapeaux d’Afrique dans les bios de ceux qui sont déjà majoritaires dans les rues des grandes villes françaises.

Vous regardez l’Euro 2021 et vous voyez que la France est représentée par une sélection digne de la CAN.

Vous allumez la radio et vous entendez qu’une fliquette s’est encore faite ouvrir la gorge par un africain « schizophrène » qui était par ailleurs un bon musulman.

Bref, toute votre réalité environnante vous dit très exactement l’inverse de ce que toute la grosse bourgeoisie blanche dit de la France black-blanc-beur sous la supervision tatillonne des médias juifs dont elle redoute tellement l’anathème et la mise à l’index.

Ce que ces bourgeois font, c’est retarder autant que faire se peut l’inévitable scénario yougoslave et sud-africain parce que leur intérêt de classe le leur commande.

Ce n’est pas simplement de la lâcheté ou de l’hypocrisie – car entendons-nous bien, tous ces faux-culs fuient la merveilleuse diversité dont ils nous disent qu’elle a vocation à devenir « patriote », moyennant quelques flics supplémentaires et davantage de places de prison. Pour préserver le système qui la nourrit et ses représentations, la réaction antiraciste veut sauver l’impérialisme démocratique et son idéologie sans-frontiériste (à l’intérieur comme à l’extérieur) en réprimant les forces centrifuges ethno-raciales qui se forment à mesure que nous entrons dans un pays sans majorité centrale.

Que ces forces soient allogènes ou indigènes, c’est indifférent : dès lors que vous refusez la domination de l’empire judéo-démocratique pour devenir autonome en tant que groupe racial, vous devenez une menace pour la caste cosmopolite en place.

C’est ce qui se passe aux USA où les Blancs réalisent progressivement qu’ils sont en passe de devenir une minorité (presque) comme les autres.

Les Blancs d’Amérique commencent à comprendre qu’eux aussi appartiennent à un groupe racial

Quand les nègres le font, c’est encore tolérable car ils dépendent de l’Etat pour vivre.

Quand ce sont les Blancs qui le font, c’est une menace existentielle car c’est grâce à leur travail et à leurs impôts que l’Etat démocratique juif tient debout.

L’antiracisme bas-de-plafond de la droite est plus brutal que l’antiracisme de gauche d’antan, autoritarisme bonapartiste oblige. La droite nous dit qu’elle va nous faire vivre avec des nègres, mais en caserne, à coups de pompe dans le cul. Les flics sont censés remplacer les assistantes sociales, mais le projet sociétal de la LICRA reste le même.

Pour décorer notre cellule, chacun de ces droitistes-là convoquent ses souvenirs de vacances en Martinique, son ami réunionnais, son couscoussier favori ou le dernier disque de jazz qu’il a déniché dans une brocante.

Ce que nous disent ces fanatiques, c’est que les salauds de l’affaire, en plus des petits Blancs racistes, sont les arabes qui empêchent Mamadou de sauter paisiblement de la Blanche pour accoucher de leur France mulâtre idéale.

Gare à ceux qui oublient de dire merci à Fatoumata, plus française que vous parce qu’elle fait le ménage moyennant salaire.

C’est la même hargne pathologique que celle qui animait jadis tous les antiboches forcenés de France et de Navarre.

Dans cette représentation du monde, les petits Français de souche racistes ont remplacé les Allemands. D’où leur nazification unilatérale et systématique.

Ces droitistes ne gardent du nationalisme que la haine du voisin – sauf que le seul voisin susceptible de subir cette haine cocardière est le petit Blanc qui refuse de s’enthousiasmer pour la créolisation biologique du peuplement historique français. Et aussi, un peu, l’arabe dissipé qui empêche l’utopie multiculturelle d’advenir.

Principalement parce que le petit Blanc, déjà diabolisé, est le seul sur lequel on peut cogner sans risquer quoi que ce soit de la part du Kahal.

Par contre, le nègre est une véritable vache sacrée du panthéon patriotique français et nul ne saurait médire de lui sans encourir les plus sévères représailles.

Il reste des Français en France, mais la nation française a irréversiblement dégénéré. Ce concept de nationalité française, infecté de sémitisme, est devenu intrinsèquement négrificateur, que ça plaise ou pas, pour une raison assez évidente qui est liée à la défense de la démocratie impériale : quand bien même certains de ces réactionnaires n’aimeraient pas les nègres ou les arabes, pour maintenir l’illusion d’une nation française encore agissante, il faut composer avec les quelques 15 ou 16 millions de Français de papiers afin d’éviter son éclatement.

Que ce soit de mauvaise grâce, peu importe : le ralliement à la France haïtienne produit le même résultat.

Dès lors qu’on consent à vouloir tremper dans le bocal français, avec ses règles démocratiques, sa république, ses mythes juifs et maçonniques, on finit avec un os dans le nez. C’est aussi simple que ça.

Il n’y a pas un centimètre carré de terre connue que la France contemporaine ne cherchera à souiller de nègre. Cette lancinante obsession ne mourra qu’avec l’Etat Français.

Si j’explique tout ça, c’est pour dire aux plus lucides qu’il faut savoir tourner la page.

Si le drapeau tricolore protégeait de la génétique nègre, ça se serait su, depuis le temps. Et je ne parle pas du péril juif.

Quand on prend mal l’équation, on arrive au mauvais résultat. Si l’on commence par se demander comment sauver le contenant, peu importe ce que l’on y fout, on finira par chanter les louanges de la négraille « française par le foutre versé ».

D’autant que la république prépare déjà ses colonnes infernales de bistres pour aller pacifier toutes les Vendée blanches de demain. Du vrai patriotisme, bien saignant, tout droit sorti des cervelles juives en ébullition, innervées de friture levantine, tout ça dans la continuité des vénérables et antiques vérités du talmud.

« A la balle et au couteau »

Yosef Kessel-Lesk
Maurice Kessel dit « Druon »

La France juive, c’est aujourd’hui un pléonasme.

L’anti-France juive, qui sera bientôt l’anti-France tout court, procèdera de la séparation, du sécessionnisme racial total, diffus ou généralisé.

Quand pour la première fois nous avons parlé de Grande Bourgogne Blanche comme concept même de ce séparatisme total, ce fut la surprise et aussi, parfois, les moqueries. Le France pourrie de métèques, quoique déjà généreusement puante, n’est pas encore à la phase d’éclatement complet, d’où ce genre de dénégations. Mais l’éboulement arrivera, peu importe ce que les marchands de sommeil du patriotisme racontent. Ce sera un enchaînement très rapide, laissant la masse des idiots englués au milieu du tiers-monde.

Ce n’est pas eux qui comptent. Ce qui compte, c’est qu’une minorité d’activistes comprennent et agissent, au bon moment. Il faut un état territorial blanc sur les ruines de la France juive, c’est la seule idée qui doit être imprimée dans les esprits des 5 millions de Blancs qui veulent rompre racialement avec le fatras impossible hexagonal au bord de l’implosion.

La volonté précède l’action.

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