La djihadiste Diam’s triomphe à Cannes avec son film en faveur de la conquête islamique de la France

La Rédaction
Démocratie Participative
27 mai 2022

 

Le Festival de Cannes, fondé par les juif Philippe Erlanger et Jean Zay pour faire barrage au dynamisme du festival fasciste de la Mostra de Venise, poursuit sa mission de bolchevisation raciale et culturelle de la France.

En 2022, cela passe nécessairement par l’islam.

Diam’s, créature méditerranéenne racialement louche, est portée en triomphe pour son film à la gloire de sa conversion à la religion du Bédouin.

Au menu : sac à patates saoudien et sourates.

Quelle femme délicieuse, avec cet accent du quartchié comme on les aime.

Son parcours résume bien ce qu’est le rap : l’antichambre de l’afro-bougnoulisation mentale.

Les Français sont les gens qui écoutent le plus de rap au monde par habitant. Il n’y a rien d’équivalent, nulle part ailleurs, pas même en Amérique. Il n’y a plus qu’un type de musique écouté en France par les moins de 40 ans : du bruit arabo-négrifié autotuné.

Du rap donc.

Le plus drôle, c’est que le rap a plus de 40 ans, qu’il parle des mêmes trucs depuis tout le temps (flingues, putes, came, bagnoles) et qu’il n’a jamais été aussi populaire, dominant massivement tout ce qui s’écoute en streaming.

La cause à l’origine de ce phénomène, c’est que le communiste de droite Jacques Toubon, avec sa loi souverainiste en faveur des quotas de musique fronssaise, a forcé les radios de l’Hexagone à diffuser pour 50% de la production fronco-fronssaise. Du bruit africain, donc.

Terminé le rock et la pop anglo-américaine, grand-remplacés par des chanteurs bien de chez nous.

Des nègres et des bicots haineux, donc.

L’autre cause, c’est la révolution démographique qu’a connu la France ces 60 dernières années. En un demi siècle, ce pays de peuplement européen est devenu une colonie africaine. Pratiquement la moitié des naissances sont désormais non-blanches, tandis que 12 millions de mahométans quadrillent le pays, édifiant des mosquées, déambulant en djellabas, égorgeant des infidèles chaque semaine.

Ce terreau racial plonge la France dans la régression culturelle, comme tous les pays qui sont tombés aux mains des masses négro-islamiques.

L’univers mental des arabes et des noirs est inerte. Il échappe à la dynamique créatrice, c’est-à-dire à l’histoire. Dans les cervelles arabo-négroïdes, tout n’est qu’un éternel présent.

L’Égypte berbère, sous les Pharaons, les Grecs ou Rome, fut une grande puissance culturelle. Du jour où le sang négro-arabe pollua le pays, elle a sombré dans la nuit pour ne plus jamais en sortir.

La France connaît le même sort.

Quand les Boomers seront morts, d’ici 20 ans, le pays sera intégralement arabo-négrifié. Seules les campagnes resteront partiellement blanches, quoique racialement infectées.

Le rouleau compresseur culturel qu’est le rap islamo-négroïde détruit les cervelles des jeunes Blancs, préparant le terrain à l’islamisation totale.

Le rap US est moins nocif que le rap fronssais, car au moins le rap US ne véhicule pas ce bruit de fond de rageux algériens qui innerve le rap fonssais.

Pour mesurer la fin de la vie intérieure française, il suffit de comparer l’effondrement en moins d’un siècle.

La France est passée de Debussy à PNL.

La France a choisi le pire de tout ce qui existe.

Le pire de l’islam avec l’immigration algérienne.

Le pire de la négritude avec la standardisation nègre sur le modèle du ghetto noir US.

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