Captain Harlock
Démocratie Participative
17 avril 2019
Comme tout le monde, j’ai plutôt cru, au départ, à un accident. Un court-circuit ou une erreur commise par ouvrier sur le chantier. Un truc comme ça.
Mais depuis hier émergent des témoignages d’experts familiers des lieux qui ont expliqué, tour à tour, qu’il n’y avait pas de travaux en cours. Simplement la mise en place des échafaudages.
L’expert ci-dessous va plus loin. C’est l’ancien architecte en charge de la cathédrale. Il donne le détail des mesures de contrôle. J’ai appris comme beaucoup que le toit était en fait surveillé 24 heures sur 24 par des gens qui disposaient de tout un système de détection très sophistiqué d’incendie.
Ce témoignage d’expert est saisissant.
Je crois que l’on peut difficilement être plus clair sans être totalement explicite.
Ce qui est arrivé était impossible. Et pourtant c’est arrivé. pic.twitter.com/R3KuHZB3BO
— Dr Thomas Nenninger (@T_Nenninger) 16 avril 2019
Cet architecte n’est pas un illuminé ni un « conspirationniste » comme disent les médias juifs. Il s’en tient aux seuls faits, à son expertise et sa parfaite connaissance du site et il écarte clairement l’hypothèse de l’accident.
Evidemment, il ne le dit pas en ces termes car il ne peut pas le démontrer. Il dit simplement que l’accident est impossible. De quoi découle la seule conclusion possible : c’est criminel.
Ce témoignage fait suite à d’autres qui disent la même chose : pas de travaux en cours, aucun système électrique en usage, un contrôle strict des lieux.
Précision #NotreDame : les travaux de restauration proprement dits n’avaient pas encore débuté, seuls les échafaudages étaient en cours de montage. Aucune soudure et pas de point chaud possible, donc (source architecte en chef des #MonumentsHistoriques, François Chatillon).
— Didier Maïsto (@DidierMaisto) 16 avril 2019
Et vous avez ensuite les deux départs de feu indiqués par les pompiers.
extrait trouvé!#NotreDame pic.twitter.com/VcOdTI7Nh8
— Tob Casey (@TobCasey) 16 avril 2019
Ce qui est encore plus suspect, c’est l’empressement avec lequel le gouvernement tente d’enterrer toute hypothèse criminelle, avant même qu’une enquête commence.
Tout ça est très, très louche.
Je ne pense pas que ce soit des djihadistes de l’Etat Islamique. Ils auraient revendiqué cet acte à des fins de propagande.
Je crois plutôt à un acte de sabotage et de démoralisation de masse. De la guerre psychologique menée par une entité hostile, intérieure ou extérieure.
Très honnêtement, je ne suis prêt à retenir que quelques options :
- Un état étranger hostile
- Des anarcho-marxistes
- Un acte isolé commis par un esprit dérangé
Je précise que je considère la juiverie comme un état étranger établi au coeur de notre état. Un état international doté de papiers français.
Pour dire le fond de ma pensée, j’hésite entre la juiverie et Erdogan.
Après Christchurch, Erdogan s’est autoproclamé Calife. Autrement, maître incontesté de tous les musulmans de cette terre avec droit de regard sur leurs affaires, dans tous les pays du monde.
Ensuite, récemment, la position de Macron sur le génocide arménien a déclenché la furie des Turcs. Le sodomité encocaïné de l’Elysée a cru intelligent d’ajouter une « journée de commémoration du génocide arménien » au calendrier déjà bien chargé de tous les génocides, réels ou supposés, à propos desquels nous sommes censés geindre collectivement.
Et enfin Macron, en voulant complaire à ces juifs, nous a placé de fait du côté de la vermine marxiste kurde en Syrie.
Erdogan a récemment perdu les élections à Istanbul et vient de demander l’annulation de l’élection. Son pouvoir est menacé et il doit voir, derrière ses opposants intérieurs, la main de l’Otan et des juifs. Ce qui est d’ailleurs probablement vrai.
Si on combine tout ça, on peut parfaitement imaginer qu’il ait décidé d’envoyer un message à caractère crypto-terroriste à l’état le plus politiquement affaibli d’Europe : la France.
Erdogan a pu formuler les choses comme ça : « Si vous faites mine de me nuire, à moi, Erdogan le Sultan, Calife des Croyants, je déclenche une guerre sur votre sol d’une ampleur telle que vous n’en croirez pas vos yeux. Je brûlerai vos églises millénaires, assassinerait vos enfants, proclamerait le djihad dans vos rues. »
Erdogan était déjà derrière le Bataclan, ce que les médias ne vous diront jamais.
Mais Macron le sait et les flics le savent. Ils savent qu’Erdogan peut mettre ses menaces à exécution grâce aux 200 casernes djihadistes déguisées en mosquées qu’il contrôle en France. En plus des quelques 500,000 turcs prêts à participer à cette campagne de terreur. Et je ne parle pas des millions d’autres établis en Allemagne qui peuvent, en un éclair, franchir la frontière pour prêter main forte à ces bêtes sauvages.
Je ne dis pas que c’est ce qui se passe mais c’est un scénario tout à fait possible. Un avertissement solennel adressé à Macron.
Il va sans dire que Macron ramperait rapidement devant Erdogan et que les juifs, qui tiennent à leur état kurde, peuvent inversement menacer Macron.
Cet État Français est tellement rongé par les sémites de toutes les sortes qu’il ne peut plus que passer d’un tortionnaire à l’autre.
Et ce n’est bien évidemment pas toute cette clique de partis inféodés aux juifs et aux mahométans qui règlera le problème à la faveur d’élections ou je ne sais quoi encore de « démocratique ».
En tout cas, pour revenir au début de la discussion, je ne crois pas à l’accident.
Pas du tout.