La Rédaction
Démocratie Participative
01 novembre 2024
L’antisémitisme, dans ses formes renouvelées s’enracine dans les consciences et prospère dans toutes les sphères de la société avec une véhémence sans précédent depuis le 7 octobre.
Il est temps que cela cesse.
C’est pourquoi je propose, aux côtés de ma collègue Aurore Bergé et… pic.twitter.com/3541L9iFs5— Caroline Yadan (@CarolineYADAN) October 30, 2024
Les juifs fomentent une nouvelle attaque frontale contre les maigres parcelles de libertés dont les Français jouissent encore.
C’est la députée des Français en distanciel qui l’a annoncé, Caroline Yadan.
Le Point :
C’est une proposition de loi qui ne manquera pas de faire réagir certains députés à l’Assemblée. Ce mercredi 30 octobre, la députée de la 8e circonscription des Français hors de France Caroline Yadan, accompagnée de l’ex-ministre et députée des Yvelines Aurore Bergé, dépose une proposition de loi qui vise à condamner toutes les « formes renouvelées de l’antisémitisme ». Elle est cosignée par 90 autres députés parmi lesquels 61 d’Ensemble pour la République, 14 d’Horizons et 5 Socialistes et apparentés.
Nazification des personnes de confession juive, appels à la destruction d’Israël, glorification du Hamas… Les différents pans qu’englobe cette loi s’inscrivent, comme précisé dans l’exposé des motifs que Le Point a pu consulter en exclusivité, dans un contexte de hausse drastique des actes antisémites en France, depuis le 7 octobre. Le Point s’est entretenu avec Caroline Yadan sur cette proposition de loi.
Le Point : D’où part cette proposition de loi déposée pour lutter contre les « formes renouvelées d’antisémitisme » ?
Caroline Yadan : Il s’agit d’une volonté de concrétiser ce que j’avais déjà annoncé dans mon programme de campagne : lutter contre les formes renouvelées d’antisémitisme. J’ai travaillé avec un confrère avocat au Conseil d’État afin de mettre en exergue trois axes essentiels de cette nouvelle forme d’antisémitisme : l’apologie du terrorisme, la négation de l’État d’Israël et la comparaison avec la Shoah. Je voulais que soient punissables toutes les références à des expressions telles que « From the river to the sea » avec des cartes où Israël a disparu ; que Rima Hassan ne puisse plus impunément estimer que le Hamas est un mouvement de résistance ou pour que l’on ne puisse plus poster sur ses réseaux sociaux un drapeau nazi accompagné d’une étoile de David.
Comparer le national-socialisme au régime de Tel Aviv est en effet honteux.
L’Allemagne nationale-socialiste était le système le plus dynamique de l’histoire, le plus efficace, transformant en l’espace de 6 ans une démocratie impotente en super puissance militaire, sociale et économique. Il est l’apogée de l’Europe aryenne.
Il faut avoir de la bouillie marxiste à la place de la cervelle pour faire un parallèle entre l’Allemagne d’Adolf Hitler et la colonie bancaire de Jérusalem.
C’est grotesque.
Ce discours, pour stupide qu’il soit, démontre que ce n’est pas la cohérence idéologique qui dicte le rapport des gens à la juiverie, mais son intolérable et meurtrier parasitisme.
Le juif est si incompatible avec l’humanité que même le discours antinazi imposé par les démocraties juives devait finir par devenir un discours antisémite. Ce n’était qu’une question de temps avant les goyim ne se réveillent et ne se mettent confusément à leur résister avec les éléments de langage en circulation.
Pour en revenir aux « promesses de campagne » de la juive Yadan, elles n’ont pas été faites à des Français.
C’est le moins qu’on puisse dire.
« Je veux que, lorsque l’on devient Français, on signe une déclaration reconnaissant l’État d’Israël 🇮🇱 »
— Caroline Yadan (Députée française) pic.twitter.com/ZRZxiOoMZh
— Philippe Grenier (@grenier_actu) October 30, 2024
L’histoire l’a prouvé à de nombreuses reprises, le juif est si arrogant qu’il finit toujours par revendiquer outrageusement sa race une fois qu’il a mis un pays sous sa botte. Ses jérémiades cèdent la place aux menaces du tyran oriental qu’il ne cesse jamais d’être. C’est ce que nous voyons avec la juive Yadan et derrière elle, Tel Aviv.
Il ne faut pas compter sur la misérable classe politique française pour tenter de résister à leur voracité, bien au contraire. Elle n’existe que pour servir les juifs.
On pourra vous reprocher de ne pas avoir le droit de critiquer la politique israélienne…
Aucun autre État dans le monde ne subit d’appel à sa destruction ou une négation de son existence lorsqu’on critique sa politique. Jamais l’État afghan ou iranien n’est remis en cause malgré leurs politiques répressives et totalitaires. Cette proposition de loi n’empêche en rien de critiquer la politique du gouvernement israélien, mais il y a une différence entre dénoncer une politique et nier l’existence d’un pays et de sa population.
La différence est pourtant claire : l’état factice que l’on appelle « Israël » est une colonie sortie de la cervelle des financiers juifs internationaux.
S’il n’était pas artificiel et s’il n’était pas financé par le racket des contribuables occidentaux, il cesserait d’exister de lui-même.
C’est parce que les juifs en sont parfaitement conscients qu’ils sont si sensibles aux propos de ceux qui le rappellent, au point de vouloir les censurer.
Comment avez-vous pensé cette loi ?
Il fallait quelque chose qui ne soit pas sanctionnable par le Conseil constitutionnel. Je suis avocate et j’ai une formation de juriste, je voulais donc une loi qui soit universelle. Sans entrer dans le détail technique juridique, je voulais traiter la problématique de la comparaison faite avec la Shoah et les juifs dans le droit commun lorsque je me suis aperçue que cela risquait de poser des difficultés et d’entraîner une levée de boucliers de mes pairs très attachés à la loi sur la presse, ce que je peux comprendre. Le plus envisageable juridiquement a été de traiter ce sujet dans le cadre de la loi Gayssot et d’y ajouter que la contestation de la Shoah est punissable, même si elle est présentée sous forme déguisée, dubitative, par voie d’insinuation ou de comparaison, d’analogie ou de rapprochement. De ce fait, la comparaison de l’État d’Israël au régime nazi serait sanctionnée comme une banalisation outrancière de la Shoah.
Vous avez la stupidité légendaire des juifs sous les yeux.
Une fois cette loi votée, tous ceux qui compareront le régime criminel de Tel Aviv aux Nazis seront poursuivis par les juifs et condamnés pour « négation de l’holocauste ». Des millions de gens sont potentiellement concernés, Musulmans ou gauchistes blancs en tête.
Au départ, la loi Fabius-Gayssot n’avait été écrite que pour cibler Robert Faurisson, auteur révisionniste responsable de la destruction du mythe des chambres à gaz d’Adolf Hitler. Comme aucun historien ne parvenait à résister aux arguments implacables du Professeur, les juifs optèrent pour la répression aveugle.
Le sabotage de la loi sur la liberté de la presse de 1881 induit par la loi Fabius-Gayssot avait été légalement justifié en disant que toute contestation de la vérité officielle avait pour but « d’inciter à la haine des juifs ». Les juifs procédaient par la bande pour interdire aux non-juifs de s’intéresser à cette affaire de « chambres à gaz ». Ne pouvant légalement proclamer une vérité historique, ils passèrent sournoisement en disant que c’était une question de « racisme ».
Yadan entend procéder de la même manière avec sa loi en faisant criminaliser toute comparaison entre la situation à Gaza et « l’holocauste ». Grâce à l’odieuse loi Fabius-Gayssot, il deviendrait illégal d’accuser les juifs de génocide car ils sont juifs et que seuls les juifs peuvent être victimes de génocide sur cette terre. En légalisant ce sophisme, il s’agit de graver dans la loi française le monopole victimaire des juifs avec tous les avantages associés.
Cette fuite en avant, en l’étendant à des millions d’antisionistes, est certainement la meilleure façon de faire sauter la loi Fabius-Gayssot du même mouvement. Nous n’allons plus compter les gens qui vont s’intéresser à cette loi, à Robert Faurisson et à ses travaux, et qui vont moquer le mythe des chambres à gaz avec une férocité inédite.
Cette escalade est suicidaire pour les juifs.
Qu’est-ce qui sera reproché à cette proposition, selon vous ?
Il n’y a rien dans ma loi qui soit contestable, parce que tout relève de jurisprudences existantes. Le seul point nouveau est la négation, ou l’appel à la destruction d’Israël. J’espère que cette proposition emportera l’aval d’une grande majorité des députés…Même si je sais déjà que les Insoumis ne la voteront pas !
J’ai par ailleurs reçu le soutien de François Hollande qui accepte de cosigner cette proposition de loi.
Remercions ce goret.
Il sera une utile pour une fois.
Avez-vous reçu le soutien d’autres députés ?
Je porte cette loi avec ma collègue Aurore Bergé qui est très investie dans la lutte contre l’antisémitisme. Je suis également accompagnée de mes autres collègues Sylvain Maillard, Constance Le Grip et Mathieu Lefèvre. Ma réflexion première vient d’ailleurs de la résolution portée par Sylvain Maillard visant à approuver la définition de l’antisémitisme adoptée par l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste. C’était une résolution symbolique, mais face à la terrible montée des actes antisémites en France sous le couvert de l’antisionisme, il fallait passer à une nouvelle étape pour lutter contre cette haine. De très nombreux collègues ont souhaité cosigner cette proposition de loi, ce dont je me réjouis. J’ai par ailleurs reçu le soutien de François Hollande qui accepte de cosigner cette proposition de loi.
Cette « définition » est écrite par les juifs, pour les juifs.
Ce n’est rien d’autre qu’une capitulation sans conditions que les goyim sont sommés de signer.
Vous ne risquez pas de recevoir le soutien des députés de La France insoumise…
Je ne cherche pas le soutien des députés LFI, car ils font justement partie intégrante du problème par leur légitimation de la haine des juifs dans notre pays sous le couvert de l’antisionisme. À mon avis, l’extrême gauche va à nouveau assurer qu’il n’y a aucun antisémitisme dans la critique d’Israël, que l’on peut être antisioniste sans appeler à la haine des juifs. Une chose est certaine : comme le disait Jankélévitch : « L’antisionisme est l’antisémitisme justifié, mis enfin à la portée de tous. Il est la permission d’être démocratiquement antisémite. Et si les Juifs étaient eux-mêmes des nazis ? Ce serait merveilleux. » Cette porosité de haine doit être dénoncée, parce que c’est ce qui fait l’antisémitisme dans sa forme actuelle et elle évolue depuis des millénaires. Tout ce que reprend l’extrême gauche dans ses prises de position ou dans ses propos repose sur un antisémitisme ancestral : lorsque Rima Hassan assure que des chiens israéliens violent des prisonniers palestiniens, ou encore quand elle appelle à rendre les organes volés aux Palestiniens par les « sionistes », nous sommes bien en présence d’antisémitisme.
Non, nous sommes en présence de la vérité.
Et les juifs volent les organes des goyim depuis toujours.
Je pense que tout le monde se rappelle de maison jaune du bon docteur Kouchner.
D’ailleurs, cette histoire de chambres à gaz est du même tonneau.
Qui peut encore croire aux saucisses du génocide ?
Mais il est vrai que depuis des millénaires, la vérité est antisémite aux yeux des juifs.
À partir du moment où l’on comprend que le Hamas, tout comme les nazis, a commis le 7 Octobre un acte à visée génocidaire, c’est-à-dire qui avait pour objectif d’exterminer le plus de juifs possible, et qu’on le qualifie d’acte de « résistance », cela vient légitimer le fait de s’en prendre aux juifs demain en France. Et je pense que cela suffit ! Ce combat est universel, il est le mien, il est le vôtre, il doit être celui de tous les Français qui, dans leur grande majorité, comprennent que ce qui se joue est l’avenir de nos démocraties. Ne prenons pas le risque que l’Histoire, dans ce qu’elle a de plus sombre, puisse à nouveau se répéter, par l’indifférence des uns ou le manque de courage des autres.
Ces juifs aiment parler au nom des goyim en prétendant que leurs intérêts tribaux sont ceux de l’humanité entière.
Et bien sûr, si quelqu’un doit pouvoir comparer qui que ce soit aux Nazis, ce sont les juifs, monopole de « l’holocauste » oblige.
Nous voyons à nouveau toute l’importance du révisionnisme. Ce travail de déconstruction est essentiel pour abattre le système judéo-démocratique global sous lequel nous souffrons tous collectivement.
Au-delà des frappes aériennes…
La Shoah : arme n° 1 du sionisme moderneD’après l’ONU, le drame palestinien dure depuis un siècle. Il s’est considérablement aggravé après la déclaration d’indépendance d’Israël, en 1948. Face à cette tragédie, la communauté internationale reste… pic.twitter.com/DeNjyQ4MwH
— Sans Concession (@Blogue_SC) October 24, 2024
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