La décapitation de Conflans déclenche un affrontement ultra-violent entre la gauche judéo-laïque et la nouvelle gauche islamo-immigrée

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 octobre 2020

Depuis la décapitation du prof de gauche Samuel Paty à Conflans, les contradictions du système se sont fortement amplifiées. Les tensions au sein de la bourgeoisie dominante que j’ai déjà exposées ont tourné à l’affrontement politique pour la suprématie.

Lire : La dictature du prolétariat blanc

D’un côté, il y a la bourgeoisie de gauche « historique » qui s’est emparée de la France à la faveur de l’instauration de la Troisième République en 1875. De l’autre, la nouvelle gauche impériale, américano-centrée, qui reprend la gestion opportuniste et déterministe de clientèles ethniques et sexuelles pour en faire une coalition d’intérêts ad hoc. Ce que l’on appelle la gauche « intersectionnelle ».

La gauche « historique » républicaine s’est édifiée contre la société d’Ancien Régime qui reposait sur des valeurs catholiques, c’est-à-dire religieuses. Les républicains et leurs maîtres juifs ont compris, après l’échec de la Seconde République en 1848, que pour instaurer la démocratie il fallait une révolution culturelle en plus d’une révolution politique. C’est-à-dire déchristianiser les masses paysannes pour les éduquer dans les valeurs de la nouvelle oligarchie dirigeante, essentiellement issues des loges maçonniques. C’est que fit Jules Ferry en créant l’école laïque, gratuite et obligatoire.

Vous comprenez pourquoi, 150 ans après, le ministère de l’Education Nationale est fondamentalement de gauche et fondamentalement hostile à la religion. Du moins, jusqu’à ce que la révolution démographique ne débute au milieu des années 60 avec le début du repeuplement des villes françaises par des millions de colons venus du monde afro-musulman.

La guerre civile à gauche

Ces contradictions qui résultent du bouleversement ethno-racial en cours sont désormais l’objet d’un très violent affrontement entre la gauche radicale (« impériale ») représentée au parlement par la France Insoumise et la gauche judéo-républicaine qui se structure autour de Charlie Hebdo.

Ces deux gauches s’affrontent pour la suprématie sociale, culturelle et politique.

La gauche judéo-républicaine lutte pour la survie du régime et de son idéologie historique. Elle sait que la gauche radicale est en train de poser les jalons d’une révolution culturelle sur la base d’une synthèse entre révolution marxiste, guerre raciale et islamisme. Sans parler d’une large louche d’antisionisme.

C’est d’autant plus marquant que Mélenchon, qui dirige le principal parti de la gauche radicale, s’inscrit à l’origine dans la tradition de la gauche républicaine, anticléricale, anticatholique. Il essaie actuellement de jongler entre les activistes allogènes, « décoloniaux » et « racisés » de banlieue, et son électorat de profs historiquement laïcards de plus en plus inquiets face au bouleversement culturel induit par le repeuplement des établissements scolaires par des afro-musulmans ouvertement acquis à la cause de l’islam.

Ce sont les Bouhaf et compagnie.

C’est pourquoi Mélenchon est attaqué par la gauche judéo-républicaine. L’avocat juif de Charlie Hebdo, Richard Malka, le cible particulièrement, à l’instar de Bernard-Henri Lévy.

L’idée est le délégitimer médiatiquement pour le couper de son électorat « blanc » composé de profs et empêcher Mélenchon de réaliser son rêve : un bloc politique composée de petits fonctionnaires urbains radicaux et des banlieues afro-maghrébines à dominante islamique.

Mélenchon comprend la démographie et temporise car il sait qu’il joue à 30 ans.

Pour y parvenir, Mélenchon doit à tout prix éviter de rentrer dans la rhétorique contre le « séparatisme » musulman que développe actuellement le gouvernement et la bourgeoisie républicaine.

En parlant de « lumière républicaine », il fait du pied à la vieille garde maçonnique du Grand Orient qui domine encore intellectuellement la bourgeoisie de gauche tout en assimilant Charlie Hebdo « à l’extrême-droite islamophobe ».

C’est le même Mélenchon « républicain » et « laïque » qui défilait aux côtés des Frères Musulmans à Paris le 10 novembre 2019.

Le discours de Mélenchon sur « l’unité nationale » ne peut cependant pas tromper la gauche radicale quant à son penchant « social-chauvin » : en s’adressant en ces termes à Castex au parlement, Mélenchon signifie au gouvernement qu’il reste un partisan de la République et des intérêts qui la contrôlent. Il déclare implicitement qu’il veille à contenir les éléments révolutonnaires situés à sa gauche. Bref, qu’il est un intermédiaire de bonne volonté mais incontournable avec lequel le pouvoir doit composer.

Chez Mélenchon, la critique de la religion n’est sincère que lorsqu’elle vise le Catholicisme mourant, vieil atavisme de loge oblige.

Les juifs ne perdent rien de ce qui se passe et l’anti-Catholicisme que partageait jadis les juifs et les maçons n’est plus un ciment opératif pour une alliance politique. Tout simplement parce que le Catholicisme n’est plus une force sociale en France. En revanche, l’islam le devient de plus en plus sous l’effet de l’immigration de remplacement, ce qui amène la juiverie organisée à mettre la pression sur Mélenchon et la gauche radicale qu’il représente au parlement pour qu’il capitule.

Le leurre anticatholique que leur lance Mélenchon ne prend pas.

Précisons que Mélenchon, natif du Maroc, a un faible pour les beurettes, ce qui l’incline personnellement à faire preuve de bienveillance à l’égard des « Français de confession musulmane ». La psychologie profonde de Mélenchon est simple à appréhender : il pense être un marocain parce qu’il est né au Maroc, entouré d’arabes. Pour lui, la France historique est une chose qui lui rappelle sa nature de métèque et la République, avec son idéologie égalitariste et universaliste, lui semble être l’arme idéale pour détruire les Français de souche qu’il méprise.

C’est pour régler ses comptes qu’il veut à toute force fonder ce bloc historique radical qui repose sur la natalité du tiers-monde en France.

La riposte de la gauche radicale

La riposte de la gauche radicale aux attaques de la bourgeoisie laïcarde vise tout spécialement Manuel Valls qui à ses yeux incarne le successeur d’Adolphe Thiers, c’est-à-dire la gauche politique bourgeoise s’alliant à la réaction monarchiste pour écraser la Commune de Paris en 1871, l’équivalent des « banlieues » actuelles dans l’imaginaire gauchiste.

Pour ces radicaux, tout ce qui se situe au delà de Mélenchon (et encore) est aux marges du fascisme.

Il vous suffit d’aller prendre la température chez les bonnes personnes.

La gauche radicale a échangé les ouvriers contre des arabes, mais le discours révolutionnaire reste le même.

Nous sommes face à une situation où la gauche républicaine établie, sous la domination idéologique de la juiverie française, est en guerre contre la gauche radicale pour le contrôle des masses afro-musulmanes, exactement comme au XXe siècle la gauche socialiste était en guerre contre la gauche communiste pour le contrôle des masses ouvrières suite à la rupture entre révolutionnaires et réformistes du Congrès de Tours en 1920. Après ce congrès, l’aile communiste assume son internationalisme en se mettant aux ordres de la Russie bolchevique révolutionnaire tandis que les socialistes se rallie au capitalisme français et anglo-américain.

Cent ans après, c’est une réédition de cette rupture : la gauche radicale internationaliste est en train de se rapprocher des masses du tiers-monde dont elle pense que l’islam est la forme culturelle et politique ascendante tandis que la gauche bourgeoise se rapproche de la droite d’affaires pour défendre le régime républicain et le statu quo juif.

Les Frères Musulmans, outil géopolitique 

Il se trouve que les Frères Musulmans, dont le CCIF est une des organisations en France, représentent l’islamisme internationaliste et expansionniste, par opposition au djihadisme qui est essentiellement centré sur la reconquête des pays musulmans tombés « dans l’apostasie ».

Le fait que le CCIF, Baraka City ou le Mouvement Cheikh Yassine soient visés par Darmanin n’est pas lié à leur « radicalité ». Sinon, des centaines de mosquées devraient fermées. C’est lié à l’actuelle confrontation entre Macron et Erdogan en Méditerranée orientale, en Libye, en Syrie et maintenant en Arménie. L’AKP, le parti d’Erdogan, est une branche des Frères Musulmans et ces associations sont toutes liées à cette confrérie. Macron veut donc exploiter la situation pour se débarrasser d’anciens amis devenus encombrants géopolitiquement depuis l’échec syrien et les retombées terroristes sur la France.

Lorsqu’en 2010 la France était alliée au Qatar et à la Turquie pour renverser Bachar Al Assad en armant les islamistes, les Frères Musulmans étaient accueillis au ministère de l’Intérieur en toute convivialité. Cazeneuve ouvrait sa table à toute la bande.

Le même Cazeneuve qui reprend désormais les accents d’un Hébert.

C’est la raison pour laquelle Darmanin lui-même participait à des événements avec ces islamistes.

Je comprends l’amertume des Frères Musulmans. Habitués à la ruse et à la subversion, ils viennent de se faire donner une leçon de coup de poignard dans le dos par les juifs.

Cependant, les Frères Musulmans ne sont pas exactement l’association des travailleurs tunisiens de Pontoise. C’est une organisation mondiale disposant de fonds illimités et de l’appui de gouvernements entiers, dont le Département d’Etat américain.

Nous allons bientôt être assimilés à la Chine avec ses Ouïghours ou à la Birmanie avec ses Rohyngyas. Je ne rigole pas, c’est ce qui va se produire. Sauf qu’à la différence de la Chine et de la Birmanie, le gouvernement français n’entend rien faire contre les dix millions de mahométans établis en France qui se comportent comme des animaux assoiffés de sang.

En tout cas, avec les valises de billets que le Qatar a distribué toutes ses années dans les rédactions, les ambassades et les partis politiques, la solidarité s’organise.

Je ne sais pas s’il dit vrai. C’est l’habituelle réaction des bougnoules après un forfait, « si li kouffars ! ». Cependant des intérêts très puissants voulaient se débarrasser des Frères Musulmans et cette tête dans le caniveau facilite beaucoup les choses, c’est indéniable.

L’Observatoire de la Laïcité, influencé par la confrérie, devient le point de fixation de l’affrontement entre la gauche judéo-républicaine antiraciste et la gauche radicale pro-islam. On retrouve tous les néo-conservateurs alignés sur la CIA partisans de l’alliance avec les Frères Musulmans battre le rappel.

Il y a là une ligne de divergence méthodologique entre les intérêts de l’empire américain et ceux de la juiverie française qui désormais joue sa survie face à la formidable montée en puissance de l’islam en France.

Depuis longtemps les juifs voulaient la restructuration de cet observatoire sur une base « laïque », c’est-à-dire juive.

Mediapart, véritable matrice idéologique de l’alliance entre la gauche radicale et les masses afro-musulmanes, est en pointe. Plenel, très lié aux Frères Musulmans, se déchaîne.

Je ne vois pas en quoi ce serait de notre faute. A moins qu’il assimile la bande à Bernard-Henri Lévy constituée des Fourest & co à l’extrême-droite. Remarquez, Mélenchon assimile Charlie Hebdo à l’extrême-droite.

L’extrême-droite kasher au secours de la Gueuse

Avec la décapitation du prof de gauche Samuel Paty, la bourgeoisie républicaine – du Parti Socialiste au RN – comprend que la matrice chargée d’embrigader idéologiquement les enfants depuis près de 150 ans est sur le point de s’effondrer sous la pression de l’immigration afro-orientale. C’est l’Union Sacrée judéo-chrétienne pour faire pièce aux mahométans excités par les marxistes.

C’est ici que nous assistons à de drôles de scènes. Nous voyons ainsi une rombière catholique venue des Identitaires comme Charlotte d’Ornellas admirer avec gravité la rhétorique rabbinique d’un Julien Dray, artisan judéo-trotskiste de la libanisation de la France pour le compte des juifs grâce à SOS Racisme et militant antifa historique.

C’est une sorte de Vatican 2 en modèle réduit.

Cette homogénéisation « grande-bourgeoise » qui va de la gauche socialiste incarnée par Dray ou Valls jusqu’à l’extrême-droite pro-juive incarnée par Valeurs Actuelles est rendue possible par la perte de villes entières par la gauche bourgeoisie au profit des nouvelles masses islamo-immigrées.

Sous l’influence des juifs auxquels ils sont soumis, les droitistes s’enfoncent dans des discussions sur des questions secondaires pour savoir comment acclimater l’immigration de masse. Typiquement, le débat interminable sur les « prénoms » ou bien, plus récemment, sur les rayons halal. Ce qui permet à la gauche radicale de tourner en dérision ces débats dignes d’ivrognes de PMU, comme l’explique le dernier papier de Télérama sur le sujet où tous les bouffons réactionnaires du cirque démocratique se livrent à une surenchère de propositions débiles pour assimiler de force les sous-hommes qui nous envahissent.

En d’autres termes, le RN et les Identitaires sont devenus l’aile droite de Charlie Hebdo.

Tous ces gens peuvent s’agiter parce qu’une tête de prof gauchiste a fini dans le caniveau, c’est sans importance. La démographie a déjà tranché, si je puis utiliser cette heureuse image.

Laissons ce régime pourri crever

L’écroulement démographique est déjà là, nous avons d’ores et déjà 42% de naissances non-blanches dont la moitié au bas mot est musulmane. Les enfants blancs qui ne sont pas nés ne naîtront pas dans l’année et aucun parti au pouvoir ou en passe de l’être ne veut inverser les flux migratoires et remigrer massivement tous les allogènes.

Vous allez rapidement voir le gouvernement revenir à cette réalité et s’enliser dans le marais démographique. Macron ne va pas tarder à stopper Darmanin, à temporiser et à siffler la fin de la récréation une fois deux associations dissoutes.

Macron, comme tous les présidents français, est l’homme le mieux renseigné du pays. Il sait parfaitement qu’un enchaînement d’incidents peut déboucher sur des violences à grande échelle. Il est informé de l’implosion ethnique et culturelle en cours. Même si de telles violences se calmaient par la suite, elles contribueraient à l’accélération de la balkanisation.

La République française encore aux mains des juifs est en train de crever d’une indigestion de nègres et de mahométans. Il n’y a rien qui puisse empêcher sa chute et celle des juifs. Les Blancs doivent impérativement faire sécession que ce soit socialement, culturellement, économiquement en vue de l’éclatement racial et religieux qui s’annonce dans les décennies à venir. Ils doivent créer leur propre bloc, en opposition au bloc islamo-immigré. Il n’y a aucune autre alternative.

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