Captain Harlock
Démocratie Participative
04 décembre 2019
Les choses vont vite.
A peine la loi Avia votée par le parlement, voici qu’une nouvelle loi terroriste pensée par et pour les juifs vient également d’être votée.
D’après le texte, l’état suprémaciste juif ne pourra plus être l’objet de la moindre critique.
En revanche, la France pourra être traînée dans la merde chaque jour que Dieu fait par la presse hébraïque.
Le Monde :
L’Assemblée nationale a adopté une proposition de résolution contre l’antisémitisme, mardi 3 décembre. Dans ce texte controversé, son auteur, le député La République en marche (LRM) Sylvain Maillard proposait au Parlement français l’adoption de la définition de l’antisémitisme telle que formulée par l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste (IHRA).
Nous avons déjà évoqué cette « définition » aux allures d’extorsion.
En gros, elle consiste à graver dans le marbre légal l’impunité des juifs, partout et tout le temps.
Au terme de cette « loi », les goyim sont condamnés à souffrir en silence sous la tyrannie de Yahvé.
« On recommence à tuer en France des juifs parce qu’ils sont juifs », a rappelé M. Maillard en ouverture des débats au moment où la nouvelle de la profanation d’une centaine de sépultures juives dans le cimetière de Westhoffen en Allemagne se propageait dans l’hémicycle.
Nous en avons parlé aussi.
Une cohencidence.
Le débat sur ce texte a vivement divisé les députés, et en particulier la majorité. Il a d’ailleurs été adopté par un très faible nombre de voix : 154 députés ont voté pour – sur les 577 qui siègent dans l’institution – , 72 contre. De très nombreux parlementaires n’ont pas pris part au vote, alors même qu’ils étaient près de 550 présents deux heures plus tôt pour l’adoption définitive du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, signe du malaise suscité par ce texte.
Le tiraillement du groupe LREM, révélé par l’analyse du scrutin, est inédit alors que la résolution émanait de l’un de ses membres. Sur ses 303 membres, 84 ont voté en faveur du texte soit moins d’un tiers du collectif macroniste. 26 ont voté contre quand 22 se sont abstenus. La grande majorité du groupe était absente lors du vote, nombre d’entre eux ne souhaitant pas se prononcer publiquement sur ce sujet polémique. Le MoDem, allié de la majorité, s’est lui principalement abstenu sur le texte. 5 députés centristes ont voté pour, cinq autres contre.
C’est peu dire que même les députés, pourtant habitués à ramper devant les juifs, redoutent d’être associés à l’instauration officielle de la dictature juive en France.
C’est aussi le signe que l’initiative provient de Macron lui-même, poussant la majorité LREM à fuir le parlement pour ne pas heurter les desseins des juifs soutenus par l’Élysée.
Au cœur des reproches des opposants : le fait qu’il associe l’antisionisme à une forme d’antisémitisme. En février, Emmanuel Macron s’était dit favorable à l’adoption de cette définition, lors du dîner du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), estimant alors que l’antisionisme représente « une des formes modernes de l’antisémitisme ».
On s’en souvient.
La définition de l’IRHA tient en quelques mots, dont le terme « antisionisme » est absent :
« L’antisémitisme est une certaine perception des juifs, qui peut se manifester par une haine à leur égard. Les manifestations rhétoriques et physiques de l’antisémitisme visent des individus juifs ou non et/ou leurs biens, des institutions communautaires et des lieux de culte. »
La controverse vient des onze exemples qui précisent cette définition relativement vague, dont l’un considère comme antisémite le « traitement inégalitaire de l’État d’Israël, à qui l’on demande d’adopter des comportements qui ne sont ni attendus ni exigés de tout autre état démocratique ».
« L’apartheid c’est démocratique en Israël, goy. Par contre tes frontières doivent rester ouvertes pour Moktar et sa famille. »
Il va sans dire que les juifs continueront à nous faire chanter au nom de l’antiracisme tout en réduisant en esclavage les arabes qu’ils colonisent et soumettent par la force brute.
Pour ses défenseurs, cette précision s’impose à l’heure où, ont souligné plusieurs députés, c’est l’« antisémitisme qui avance sous le masque de l’antisionisme ». « C’est l’honneur de notre Assemblée nationale que de dire la vérité, de regarder les choses en face et de mettre des mots sur les maux », a soutenu la députée LR Constance le Grip. « Cette définition pourra aider à mieux définir les circonstances aggravantes des crimes antisémites » a salué le député François Pupponi, membre du groupe Liberté et territoires.
« Ce texte ne dit qu’une chose, il affirme haut et fort la position de la France, il est une condamnation sans ambiguïté de tous les mots, les actes, les gestes antisémites » a soutenu Christophe Castaner, ministre de l’intérieur. Ce dernier a souligné que les termes « sioniste » et « antisioniste » ne figurent pas dans le cœur du texte, se gardant d’entrer dans le débat qui a été au cœur des échanges à l’Assemblée et qui a pavé tout l’argumentaire de son instigateur, M. Maillard.
C’est la position du gouvernement juif qui administre la France occupée.
Pas celle de la France en tant que telle.
M. Maillard assure du contraire. « Nous pouvons, nous devons critiquer les politiques des gouvernements israéliens sous tous leurs aspects lorsque cela est nécessaire. Car critiquer Israël et sa politique, y compris la question de ses frontières, n’est pas un acte antisémite. Mais lui refuser le droit à exister en est un » a t-il insisté devant ses collègues députés.
« C’est un terrain sur lequel nous croyons qu’il est risqué de s’engager », a néanmoins expliqué dans l’hémicycle le député MoDem Bruno Millienne, qui a appelé à « ne pas faire de distinction mais (à) combattre en même temps toutes les formes d’incitations à la haine ».
« Attention au risque politique », prévient une députée LREM hostile au texte. Le fait de pointer une seule forme de racisme va créer des frustrations » « Il y a un problème de calendrier », ajoute-t-elle. « Ça fait plusieurs mois qu’on a des débats compliqués autour de l’islam. Il y a une population musulmane en souffrance qu’on ne traite pas comme il faut. Et on va écrire qu’il est inadmissible que certains hommes ne peuvent pas se promener avec une kippa. Est-ce qu’on serait prêt à écrire la même chose pour une femme qui porte le foulard ? »
Dans un souci « d’apaiser », les craintes de son groupe, Gilles Le Gendre demandé la création d’une mission d’information « sur l’émergence des nouvelles formes de discrimination et de racisme et les meilleures réponses à y apporter » a-t-il précisé. Les socialistes ont eux déposé une proposition de résolution visant à lutter contre toutes les formes de racisme, d’antisémitisme et de discrimination.
Résumons
Premier acte. Les juifs exigent une loi d’exception en France pour réprimer sauvagement toute forme de critique, même légère, contre la suprématie juive et contenir les musulmans.
Deuxième acte. Macron s’exécute.
Troisième acte. Les députés LREM tirent la langue parce que leur électorat afro-maghrébin va être furieux.
Quatrième et dernier acte. Le chef de LREM, Le Gendre, propose de garantir l’unité du sémitisme judéo-mahométan en désignant un bouc émissaire de nature à les rassembler : les Blancs.
L’antiracisme n’est vraiment que le masque de l’alignement opportuniste de la racaille politicienne sur les positions des races agressives qui nous parasitent.
Ceci dit, c’est une bonne opération, les tensions interethniques vont encore monter d’un gros cran.
Tout ça n’est pas gratuit, il faut ensuite qu’elle devienne politique d’état. Concrètement, que les tribunaux traquent les bougnoules comme l’exigeront la LICRA, le CRIF, l’UEJF, SOS Racisme et consorts.
Le retour de bâton va être violent.
Voilà c’est officiel. L’assemblée nationale vient de voter une loi déclarant que l’antisionisme c’est de l’antisémitisme.
Dorénavant, dénoncer le massacre des arabes palestiniens, ou critiquer l’occupation et le terrorisme judaïste israélien, peut être condamné par la loi. https://t.co/EGEzmtUSTU
— Nacéra (@NasNacera) December 3, 2019
Dorénavant la France est complice de chaque palestinien tué
— Bahri Zinati (@alhoudhni) December 3, 2019
— ??????? ?????? (@SigmundKeynes) December 3, 2019
Avec cette loi, la France approuve le massacre des palestiniens par l’occupant israélien. On condamne l’Iran et soutient l’israel qui tue des milliers d’innocents palestiniens dans l’indifférence totale des défenseurs des droits de l’homme. C’est ça la communauté internationale!
— Bangoura khamè ?? (@ambangoura) December 3, 2019
Macron est un imbécile. Il passe son temps à courtiser les mahométans et ensuite se fout de lui-même dans ce piège juif qui va le contraindre à se dédire face à la rage phénoménale que cette loi va déclencher chez les musulmans.
Attendez-vous à une déconfiture politique magistrale, pour le plus grand dam des juifs.
Les yids ne peuvent pas gagner cette guerre et c’est précisément pour ça que c’est une bonne opération.
L’arsenal antiraciste juif va imploser sous le poids de ses propres contradictions.
Enfin, juste pour que chacun sache où se situe le lobby homo-sidaïque qui tient lieu de parti à Marine Le Pen, une position claire :
Une bonne chose que le vote de cette résolution mais on ne luttera pas contre l’antisémitisme sans lutter clairement, résolument et totalement contre l’islamisme qui est un danger mortel pour tous les Français de confession juive. Laisser prospérer l’islamisme, c’est renoncer. https://t.co/4ROPSspaxx
— Julien Odoul (@JulienOdoul) December 3, 2019
On peut faire confiance aux fiottes du RN dès lors qu’il s’agit de protéger la juiverie qui détruit la France.