Leutnant
Démocratie Participative
12 avril 2019
Une femme a la conquête de l’espace grâce son intelligence.
Le féminisme triomphe.
Comment Katie Bouman, une étudiante américaine, a permis d’observer la première photo d’un trou noir https://t.co/5odNwnZyaW pic.twitter.com/gG0paA4rMY
— les inrocks (@lesinrocks) 11 avril 2019
Katie Bouman.
Ce nom ne vous dit sûrement rien, pourtant sans son travail la première photo d’un trou noir dévoilée hier n’aurait pas pu exister ?? pic.twitter.com/z8nPeyJAYi— Loopsider (@Loopsidernews) 11 avril 2019
Katie Bouman, la jeune femme de 29 ans derrière la photographie du trou noir https://t.co/OqqImhKTFl pic.twitter.com/6l5w9xyteh
— La Provence (@laprovence) 11 avril 2019
La photo du trou noir n’aurait pas existé sans elle https://t.co/874b1hfAuO
— Le HuffPost (@LeHuffPost) 11 avril 2019
Pour la première fois l’humanité a contemplé ce mercredi la photo d’un trou noir. La chercheuse de 29 ans Katie Bouman a joué un rôle décisif dans cette prouesse technique : elle a participé à la création de l’algorithme permettant de déceler l’invisible https://t.co/2hMYzsnO6C pic.twitter.com/mp1rKBUHVl
— France Culture (@franceculture) 12 avril 2019
Un détail tout de même : Bouman n’a pas participé au programme, à aucun moment.
Une membre de l’équipe de 40 chercheurs à l’origine de l’image l’a expliqué, passablement énervée.
« Nous sommes plus que ça. L’algorithme de Katie, en dépit de ce que disent les médias, n’a pas été utilisé pour produire cette image. Il y avait trois algorithmes utilisés et combinés pour former l’image finale et une équipe de 40 scientifiques a pris part à cet aspect du projet (moi y compris et d’autres femmes).
There are more of us. Katie’s algorithm, despite the media’s stance, was not used to produce this image. There were three algorithms used and combined to form the final image, and a team of 40 scientists part of that aspect of the project (including myself and more women).
— Sara Issaoun (@SaraIssaoun) 11 avril 2019
La première image d’un trou est entrée dans l’histoire comme le moyen pour la presse judéo-féministe de faire exister médiatiquement une chatte qui ne l’a pas réalisé.
L’ironie.