Captain Harlock
Démocratie Participative
25 mars 2021
La censure des goyim est un point non négociable des droits de l’homme.
Le Conseil de l’Europe, alarmé par un projet visant à permettre aux Polonais de parler librement, a menacé le gouvernement polonais s’il persiste à vouloir laisser les gens dire ce qu’ils veulent.
La (((démocratie))) est en jeu.
Euractiv :
Mardi 16 mars, le principal organe européen de défense des droits de l’homme a exprimé son inquiétude concernant deux projets de loi sur les médias en Pologne et a mis en garde contre une possible « asphyxie des médias indépendants ».
Le commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, Dunja Mijatovic, a déclaré dans une lettre adressée au Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, que ces deux lois « pourraient avoir un impact significatif sur la liberté et le pluralisme des médias ».
Les médias indépendants ont protesté mercredi contre le projet du gouvernement d’imposer une nouvelle taxe sur les revenus publicitaires. Les quotidiens ont consacré l’intégralité de leur première page à un appel aux autorités pour qu’elles renoncent à cette idée, accompagné d’un message « Médias sans choix »…
Le gouvernement a déclaré que les recettes de la nouvelle taxe serviraient à financer les soins de santé et le secteur culturel, touché par la pandémie, mais il est en train de réviser le projet de loi à la suite des critiques.
Ces médias préféreraient sûrement le régime médiatique français où le peuple paie les médias avec ses impôts pour le désinformer.
La Pologne préfère soigner le peuple avec les revenus des médias qui l’informent.
C’est suffisant pour déclencher la colère des marxistes de Bruxelles.
Mais ces vilains goyim polonais ont pire en stock.
Mme Mijatovic a également déclaré qu’un nouveau projet de loi visant à limiter le pouvoir des plateformes de médias sociaux de supprimer du contenu ou d’interdire des utilisateurs « suscite des inquiétudes sur plusieurs fronts », suggérant qu’il pourrait permettre à davantage de discours de haine de rester en ligne.
Elle a déclaré que le projet était « trop large » et a prévenu que le fait d’obliger les entreprises de médias sociaux à restaurer le contenu qu’elles ont supprimé « soulève des problèmes » en raison de ce qu’elle a appelé les lacunes de la législation polonaise en matière de lutte contre les discours haineux.
La commissaire a également prévenu que le système de nomination au nouveau « conseil de la liberté d’expression« prévu par la proposition de loi « soulève de sérieuses questions quant à sa capacité à résister aux pressions politiques ».
La « lutte contre les discours haineux » consiste à interdire aux Blancs de s’exprimer librement dans leur pays tout en permettant aux organisations juives, aux homosexuels, aux gouines, aux suprémacistes noirs ou aux islamistes d’exiger la censure de tout ce que peuvent dire les Blancs.
Des gens ont été arrêtés, jugés et exécutés pour des provocations contre le peuple moins graves que celle-là.
Dunja Mijatovic est inquiète pour la liberté : Mark Zuckerberg ne pourra bientôt plus censurer les goyim polonais qui refusent d’être remplacés par des musulmans de la paix
Qu’un seul pays laisse librement le peuple s’exprimer et c’est toute cette Union Soviétique européenne qui se met à trembler sur ses fondations.
Le Conseil de l’Europe n’est techniquement pas lié à l’UE, mais c’est purement formel. En réalité, cette institution est une excroissance de Bruxelles.
Et ces gens sont très inquiets du fait que YouTube, Facebook ou Twitter ne puissent plus censurer la population à propos du Rhume19 ou des migrants djihadistes de la paix.
Mais c’est l’argumentaire de facture typiquement marxiste employé par ces globalistes qui montre à quel point le mensonge est devenu la norme de gouvernement. Au point où lorsque vous dites la vérité, ils vous accusent de répandre des Fake News, des fausses nouvelles.
Les menteurs au pouvoir accusent le peuple de mentir, tous les jours.
Ce que cette Dunja Mijatovic veut interdire pour le compte de Soros et de l’UE, c’est la vérité.
La vérité ne craint pas la contradiction, contrairement au mensonge. Le fait que la Pologne prenne le parti du peuple en lui offrant les moyens de faire condamner lourdement Facebook ou Twitter en cas de censure terrifie la nomenklatura globaliste.
Cette brèche est une grave menace pour l’oligarchie qui a abandonné depuis longtemps l’idée de convaincre le peuple.
D’autant qu’elle fera inévitablement tâche d’huile.
Comme je l’ai dit, à la minute où cette loi sera votée, je prendrais les mesures nécessaires pour faire mon retour sur cette plateforme.