La Chine rappelle l’évidence sur les provocations juives en Biélorussie

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 mai 2021

La force est le droit

Lire la presse chinoise permet de revenir à un réalisme qui a totalement disparu en Europe sous l’effet du millénarisme démocratique juif.

Le dernier article du Global Times à propos de l’arrestation d’un terroriste financé par Soros en Biélorussie décrit très justement la situation générale. Je serais bien incapable de trouver un papier aussi pertinent dans la presse démocratique.

Global Times :

La Lituanie, petit pays balte de moins de 3 millions d’habitants, a déclaré ce week-end qu’elle quittait le mécanisme de coopération « 17+1 », une plateforme entre la Chine et les pays d’Europe centrale et orientale (PECO). Deux jours plus tôt, le parlement lituanien a qualifié jeudi le traitement des Ouïgours par la Chine de « génocide » et de « crimes contre l’humanité », emboîtant le pas à la mauvaise direction des États-Unis, de la Grande-Bretagne et du Canada.

La plateforme « 17+1 » est un mécanisme de coopération ouvert. Si la Lituanie estime que la coopération ne fonctionne pas comme prévu, il n’y a aucun problème à ce qu’elle se retire. Mais la Lituanie souhaite clairement mettre en avant sa sortie et impressionner certaines puissances occidentales, notamment les États-Unis, en faisant croire qu’elle fait quelque chose de grandiose. En annonçant sa décision, le ministre lituanien des affaires étrangères, Gabrielius Landsbergis, a accusé la Chine de diviser l’UE par le biais du mécanisme des 17+1, comme s’il craignait que la Chine soit indifférente au retrait de la Lituanie.

Cela a toujours été le comportement de la Lituanie. C’est l’un des pays les moins peuplés d’Europe, mais il est politiquement radical depuis son indépendance, agissant souvent comme un porte-drapeau des mouvements anti-russes et se qualifiant « d’État de la ligne de front ». Si les tensions avec la Russie sont élevées, la Lituanie entretient également de mauvaises relations avec les pays voisins, tels que le Belarus, et a un lien historique profond avec la Pologne.

La Lituanie a fait partie de l’Union soviétique en 1940, après le début de la Seconde Guerre mondiale et juste avant l’invasion allemande de l’Union soviétique. Elle ne se sent pas en sécurité pour des raisons historiques et sa loyauté envers l’OTAN et les États-Unis est bien plus grande que celle de la moyenne des membres d’Europe occidentale. Elle a également une position radicalement hostile à l’égard de la Russie, qui est disproportionnée par rapport à sa puissance nationale.

Sur le mur de l’hôtel de ville de Vilnius, la capitale de la Lituanie, est inscrite une citation de l’ancien président américain George W. Bush déclarant lors d’une visite dans le pays que « Quiconque choisit la Lituanie comme ennemi s’est également fait un ennemi des États-Unis d’Amérique. » S’assurer que cette ligne reste efficace semble être devenu le but premier de la diplomatie lituanienne, qui consiste à faire de son mieux pour prouver son allégeance aux Etats-Unis. Gagner l’admiration des États-Unis est également devenu le principal guide de la pratique diplomatique quotidienne de la Lituanie.

En fait, les affaires du Xinjiang sont loin des préoccupations de la Lituanie. Il existe des problèmes bien plus urgents qui doivent être traités dans le pays. Et ce n’est jamais au tour de la Lituanie de s’immiscer dans les affaires intérieures de la Chine, même lorsque les pays européens veulent s’en mêler. C’est dire jusqu’où est allé ce petit pays balte. Sur d’autres sujets comme l’île de Taïwan, la Lituanie a annoncé en mars qu’elle allait ouvrir un bureau de représentation commerciale sur l’île pour promouvoir ses relations avec Taïwan.

La performance de la Lituanie cette année correspond bien à l’idiome chinois : « vaurien méprisable ». Mais nous n’avons pas besoin d’être en colère contre elle. La Lituanie est un petit pays, dont la population est inférieure à un district d’une des villes de premier rang de la Chine. Tous ses récits contre la Chine ne sont que symboliques. Ils sont des échos temporaires de la stratégie américaine contre la Chine. Si la Lituanie se respecte, nous la respecterons. Si elle est aveuglément arrogante, et a même l’intention de provoquer la Chine, nous la négligerons.

Lorsqu’un si petit pays est agressif, se plaçant de manière proactive pour devenir un outil de compétition entre grandes puissances, il attire les ennuis. La géopolitique de la région balte est très complexe. Dans la région, diverses mémoires historiques extrêmes se chevauchent fortement. Aujourd’hui, au lieu de réfléchir à la manière d’effacer les vieilles haines, la Lituanie en crée constamment de nouvelles. La Lituanie récoltera ce qu’elle a semé.

Sans la Lituanie, le mécanisme de coopération Chine-PECO aura moins d’interférences et deviendra plus pragmatique. Contrairement à l’idéologie, dans le cadre du mécanisme de coopération Chine-PECO, ce qui est plus important, ce sont les résultats tangibles, plutôt que le nombre de pays impliqués. Il n’y a aucun problème avec le retrait de la Lituanie du mécanisme. Mais nous suggérons que le pays se tienne à l’écart des intérêts fondamentaux de la Chine. La Lituanie n’est pas qualifiée pour attaquer la Chine et ce n’est pas la façon dont un petit pays devrait agir.

Ce papier est d’une grande lucidité et il ne se perd pas en sermons grandiloquents. Les Chinois disent aux Lituaniens de la boucler car un état de trois millions d’habitants ne peut pas tout à la fois prétendre redessiner les frontières d’un état de 1,3 milliard d’habitants comme la Chine, soutenir le djihadisme sur le territoire d’un tel état, multiplier les attaques diplomatiques contre la Russie et, tout récemment, se piquer de définir la politique intérieure de la Biélorussie.

C’est pourtant ce que fait l’Etat Lituanien pour prouver sa servilité à l’égard des juifs de Washington.

Les Français l’ignorent mais cet état – qui est plutôt une ville – s’imagine reforger un petit empire en prenant le contrôle effectif de la Biélorussie. C’est-à-dire restaurer le Duché de Lithuanie.

La Pologne se sert de la petite Lituanie avec l’aide de ZOG pour promouvoir son propre projet de subordination de l’ensemble balte et biélorusse sorti tout droit du 19ème siècle.

C’est-à-dire la République des Deux Nations.

Washington se sert de ces vieilles haines alimentées par le chauvinisme polonais pour assurer la victoire des juifs en Europe orientale.

En réalité, la Lituanie n’est qu’un avant-poste du globalisme judéo-LGBT.

Le drapeau du SIDA est la bannière officielle des forces de l’Otan déployées dans ce pays.

C’est l’autre point : l’UE comme l’Otan n’ont aucune cohésion.

Cette fiotte de Clément Beaune, qui voulait encore organiser une administration parallèle en Pologne pour y imposer l’anal, se trouve aux côtés des mêmes chauvins polonais pour organiser des parades anales en Biélorussie.

Ce fatras ne tient debout que parce qu’aucune force n’a encore donné un énorme coup dans cette baraque.

Cela va changer : Chinois, Russes et musulmans vont donner cet énorme coup.

Comme le disent très bien les médias chinois, quand on est un état de 3 millions d’habitants on évite soigneusement de se mêler de géopolitique entre grandes puissances. Sinon, on finit par se brûler les doigts.

La Lituanie dispose, en tout et pour tout, de 20,000 hommes – dont une large part de bureaucrates.

Le fait que des fictions d’état comme la Lituanie peuvent aggraver les tensions et entraîner l’Europe dans des crises à répétition pour le compte des juifs démontre que l’Otan est une création totalement obsolète. Elle donne un poids démesuré à des nains militaires qui viennent ensuite dicter la conduite du continent pour servir les intérêts de leur épicerie régionaliste. Et plus encore ceux des juifs.

C’est d’autant plus absurde que tout le monde sait que personne ne défendra la Lituanie si la Russie décide d’en finir avec ses provocations.

Fort heureusement, personne ne prend au sérieux cet état microscopique. Mais cela montre qu’on ne peut plus tolérer un système où des gnomes à la solde des juifs et des homosexuels peuvent impunément jouer aux grandes puissances au risque de nous créer des difficultés intolérables avec des acteurs majeurs.

La dissolution de l’Otan est plus que jamais nécessaire pour cette raison. Tout comme la destruction de la démocratie, l’arme de prédilection du mensonge juif.

Commentez l’article sur EELB.su