Captain Harlock
Démocratie Participative
09 octobre 2019
L’Amérique juive s’appuie de plus en plus nettement sur la lèpre islamique pour déstabiliser la Chine et la France sous domination hébraïque a rejoint cette campagne terroriste.
Des géants chinois qui participent à la répression des minorités musulmanes ont été placés sur liste noire par Washington.
C’est tous les acteurs du système de surveillance paranoïaque des minorités ethniques dans la région chinoise du Xinjiang que vient de mettre sur liste noire le département américain du Commerce. Vingt organisations gouvernementales, dont le bureau local de la sécurité publique (l’équivalent du ministère de l’Intérieur), et huit entreprises spécialisées dans l’intelligence artificielle n’ont désormais plus le droit d’avoir des relations commerciales avec les Etats-Unis. «Le gouvernement américain ne peut tolérer la répression brutale des minorités ethniques en Chine», a déclaré le secrétaire américain au Commerce, Wilbur Ross. Plus d’un million de personnes, notamment des Ouïghours, sont enfermées dans des «camps de rééducation» où ils subissent lavage de cerveau et travail forcé. L’ensemble de la région est devenu une prison à ciel ouvert grâce à des systèmes de surveillance ultra-perfectionnés.
Vidéosurveillance, reconnaissance faciale, logiciels espions, reconnaissance vocale, stockage d’informations… A quelques jours de la reprise des négociations entre Pékin et Washington dans leur guerre commerciale, le gouvernement américain a choisi de viser les géants de la cybersécurité mondiale impliqués dans ce contrôle social. «Malgré le timing, je pense que cette décision est déconnectée de la guerre commerciale, analyse Antoine Bondaz, de la Fondation pour la recherche stratégique. Même si la cybersécurité est un domaine dans lequel la Chine a un véritable avantage technologique, cette décision n’aura aucun impact sur le plan macroéconomique. En revanche, sur le plan politique, c’est important, car on s’attaque aux moyens de mise en œuvre des pratiques autoritaires que la Chine cherche à exporter dans le cadre des nouvelles routes de la soie.»
D’autres poids lourds de l’intelligence artificielle, comme Dahua, tombent sous le coup de ces sanctions : à eux seuls, Hikvision et Dahua avaient emporté des contrats d’un milliard de dollars (910 millions d’euros) en 2018 pour monter des projets gouvernementaux de surveillance de la population au Xinjiang. «Au-delà de l’aspect bilatéral, il y a une dimension internationale du « name and shame », qui présente des entreprises chinoises comme participant à des violations des droits de l’homme, fait remarquer le chercheur. Si demain une mairie française veut importer du matériel de surveillance, le choix d’une entreprise chinoise posera question. Au-delà, cela envoie le message aux entreprises occidentales qui ont des partenariats avec Hikvision que si elles en ont aussi avec les Etats-Unis, il va falloir choisir. Tout comme avec sa réaction disproportionnée sur l’affaire de la NBA, Pékin est en train de perdre la bataille de l’image.»
« Si demain une mairie française veut importer du matériel de surveillance, le choix d’une entreprise chinoise posera question. »
Quelle audace.
C’est une menace judéo-américaine directe contre nos relations commerciales avec la Chine sous l’excuse repoussante d’une pseudo « solidarité » avec la vermine musulmane.
Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire : l’Arabie Saoudite est parfaitement satisfaite de la situation des mahométans en Chine, tout comme le Pakistan. Pourquoi et pour qui devrions-nous être plus royalistes que le roi ?
La réponse est évidente : parce que la finance juive américaine en a donné l’ordre aux chancelleries de l’UE.
C’est le prolongement en Chine de la coopération sémitique globale que nous voyons déjà en France contre la population blanche et au Moyen-Orient contre l’Iran.
La CIA et l’Otan essaient d’entraîner l’Europe et la France dans leur guerre économique contre la Chine au prétexte d’y soutenir tantôt les mahométans, tantôt leurs militants homosexuels.
Ces juifs veulent transmettre le SIDA et le coran à toutes les nations de la terre.
La juiverie qui contrôle la diplomatie française a naturellement joint la meute hébraïque internationale pour alimenter les troubles à Hong Kong dans le but de faire s’effondrer le gouvernement chinois.
Nous avons la preuve que l’opération est une opération de la CIA.
L’ambassade de Chine en France a parfaitement identifié cette provocation et a fort justement dénoncé les brigands à la solde des juifs du Quai d’Orsay qui essaient de rééditer en Chine ce qu’ils ont tenté en Syrie et en Libye.
Malgré cela, les opposants et les extrémistes de Hong Kong, continuant de s’abriter derrière le prétexte des « cinq grandes revendications non négociables », ont organisé des manifestations le 1er octobre, jour de la célébration par tout le peuple chinois du 70ème anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine, en se livrant à des violences. Ces violences n’avaient rien à voir avec l’expression de « revendications ». Il s’agissait purement et simplement de provocations délibérées destinées, en faisant couler le sang, à contraindre le Gouvernement central et celui de la RAS à céder à leurs exigences absurdes.
L’Union européenne a publiquement glorifié les exactions des émeutiers et s’en est prise fielleusement aux mesures d’autodéfense des policiers de Hong Kong pour défendre leur vie face à leurs agresseurs. Voici qui est criminel et très dangereux.
Car si la Police, qui est le pilier de l’ordre social et le garant de la sécurité des citoyens, venait à s’effondrer sous les coups de boutoir de ces attaques odieuses, la société Hongkongaise sombrerait dans un chaos irrémédiable. Est-ce là le souhait des responsables européens ?
La France aussi a été en proie à de longues périodes de manifestations violentes. La Police française s’est trouvée sous haute pression, tant physiquement que psychologiquement, et sous le feu roulant de critiques et d’insultes d’une frange malveillante de l’opinion. Dans ces circonstances, nous avons fait preuve d’empathie à l’égard de la France. Nous souhaiterions qu’elle puisse se montrer aujourd’hui dans les mêmes dispositions d’esprit à notre égard.
Les Chinois découvrent « l’empathie » de la France sémitisée.
Pékin devrait en tirer les conclusions et changer de ton vis-à-vis des forces de changement en France, à commencer par ceux qui, comme en Chine, veulent mettre un terme à la menace sémitique. Qu’elle soit juive ou islamique.
Si la France soutient les troubles sociaux en Chine, la Chine doit soutenir les mobilisations populaires en France au nom du principe de réciprocité.