Le Libre Panzer
Démocratie Participative
02 octobre 2018
C’est avec une joie certaine que nous apprenons que l’entreprise « Bagelstein » – productrice de bagels, ce pain yiddish louche originaire de Pologne -, prend une courageuse position en faveur de l’arabo-négrification de la France.
Elle a en effet décidé de rebaptiser ses pains avec des noms de nègres, de juifs ou d’arabes afin de rappeler à l’ordre le trublion de la communauté, Eric Zemmour.
Le logo utilisé pour l’occasion symbolise assez bien le projet.
Le poing du Black Power sous le nom juif gigantesque de l’entreprise, la mention de l’idéologie de la guillotine de 1789, judéo-bolchevisme oblige, et, bien sûr, la louche d’anti-christianisme avec le sabotage revendiqué du « calendrier » qui n’est pas celui du judaïsme orthodoxe, cela va sans dire.
Mais qui sont les patrons de Bagelstein ?
Près de 40 points de vente en 2014, une trentaine d’autres cette année, y compris à l’étranger : trois ans après leur lancement à Strasbourg, les bagels de Bagelstein s’arrachent… comme des petits pains. Ebouillantés puis cuits au four, ces pains ronds à la mie dense et troués en leur centre ont été introduits dès le xviie siècle par des immigrants d’Europe centrale aux Etats-Unis, où ils sont devenus l’équivalent local du sandwich baguette. C’est là que les fondateurs de Bagelstein, Thierry Veil et Gilles Abecassis, les ont découverts. En 2010, le premier convainc un boulanger de Brooklyn de lui dévoiler sa recette, qu’il adapte au goût français.
Merci les juifs !
Et si au passage, on peut se faire du blé avec une opération de com’ amplement relayé par la presse juive antiblanche, nos deux youtres ne diront pas non.