Captain Harlock
Démocratie Participative
29 mai 2019
Grâce à ces élections européennes, nous avons au moins une carte assez fine de l’ethno-sociologie hexagonale.
Vous pouvez trouver ici une carte très détaillée commune par commune réalisée par Ouest-France. N’hésitez pas à lire la carte en détails pour ce qui concerne votre département afin de voir les zones les plus politiquement favorables.
Ce n’est pas une surprise : il faut raser toutes les grandes villes afin de faire émerger un univers cyber-punk apocalyptique où les urbanites seront utilisés comme source principale de protéines.
Sud-Ouest
Dans le Sud-Ouest, vous avez une première grande zone macroniste formée par la Lozère, l’Aveyron, le Lot, le Cantal qui rejoint Montpellier et Nîmes et qui va se terminer sur les Cévennes rouges.
Au sud, vous avez une deuxième grande zone macroniste formée par les Landes, pays éternellement rongé par le socialisme, et le Béarn avec Pau.
L’Aude reste une petite république soviétique composée de communistes, d’écolo-marxistes, de socialistes dogmatiques, etc..
Et vous avez bien sûr Toulouse et Bordeaux.
Ouest
Dans l’Ouest de la France, vous avez le problème breton.
Si je dis assez peu de mal des Bretons c’est parce que les juifs me prennent beaucoup de temps et d’énergie.
Rennes et Nantes, premières pourvoyeuses de punks à chien de France à égalité avec Toulouse. Et le département criminel du Finistère. Il ne fait aucun doute que l’eau y est contaminée.
Pour être honnête, le centre de la Bretagne semble faire preuve de résistance.
Ce sont les bataillons de cagots catholiques passés au socialisme humanitaire qui explique la formation de ce bloc macroniste régional.
Est
A l’Est, un phénomène intéressant, c’est celui des frontaliers avec la Suisse et l’Italie.
De prime abord, je pense que ces gens prospèrent grâce aux échanges avec ces deux pays et redoutent le discours protectionniste du RN.
Et il y a aussi très probablement le fait qu’en raison même de la présence de la Suisse, ces gens vivent très bien et votent pour le parti bourgeois dominant.
Paris
Et puis vous avez la région parisienne mais bon, ça n’a rien d’une surprise.
Typiquement, le vote anti-immigration est géographiquement situé dans les villages (moins de 3,000 habitants) et dans les petites villes (moins de 15,000 habitants).
Cela représente plus de 34,000 communes pour près de 40 millions d’habitants. Il va sans dire qu’il y a des électeurs RN dans les grandes villes et des électeurs macronistes dans des villages de 500 habitants. Mais cela donne la dynamique du vote par type de zones de peuplement.
Cela se confirme à nouveau : c’est #ChristopheGuilluy qui propose la grille de lecture la plus pertinente sur la recomposition sociologique française. La « France des grandes métropoles mondialisées » vs « la #FrancePériphérique« . #Européennes2019 pic.twitter.com/y2LfCqqYrG
— Jeune Réactionnaire (@JeuneReac) 29 mai 2019
Face à ce bloc racial blanc, rural et péri-urbain, nous avons une masse de 27 millions d’urbains composés de bobos, de bourgeois ralliés et de métèques de banlieues (environ 15 millions) qui contrôlent les grands centres économiques et politico-administratifs que sont les métropoles régionales et les grandes villes.
C’est la nouvelle carte raciale et sociale du pays.
Le système judéo-globaliste a tout intérêt à euthanasier ces quelques 34,000 communes en les privant de fonds et de leviers politiques pour drainer leurs forces vives au profit des grandes métropoles.
Aux municipales de 2020, Macron va boucler son OPA sur tout ce qui compte plus de 15,000 habitants.
Du coup, les derniers membres des Républicains prennent le train en marche, si j’ose dire.
#Estrosi prépare une alliance avec @enmarchefr et #Macron pour les #Municipales2020 à #Nice06
Son soutien à @fxbellamy était donc insincère. pic.twitter.com/5n3G5yvjJG— Benjamin Millo (@BMillo_) 29 mai 2019
Toutes ces villes sont condamnées à devenir des Afriques du Sud en miniature, ces métropoles composées de quartiers bourgeois ultra-sécurisés cernés de sauvages importés de la terre entière.
Ces gens-là ne veulent pas voir de prolétaires blancs venir les racketter.
Faire des raids dans ces métropoles n’est peut-être pas une mauvaise idée.
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