La candidature de Zemmour à nouveau sur le tapis

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 Février 2021

 

Le serpent de mer refait surface.

Je veux parler de la candidature possible de Zemmour en 2022.

RTL :

Beaucoup le testent ou le poussent et cette semaine, l’hebdomadaire l’Express dans une enquête en 3 volets, dévoile les réponses et les cachotteries du polémiste. À la question sur sa candidature, Éric Zemmour répond par un large sourire, il en rougit presque de bonheur. Dans sa sphère, Robert Ménard, le maire de Béziers serait partant. Et un aréopage, raconte l’Express, lui prépare le terrain au cas où.

Les signatures, le financement, rien ne peut s’improviser s’il finit par se décider. Mais pourquoi se lancerait-il dans cette aventure ? Pour gagner, c’est la réponse de n’importe quel candidat. Mais l’une des questions pour Éric Zemmour et ce n’est pas une petite question, c’est de savoir s’il transforme ou s’il ruine ses succès de librairie et ses succès médiatiques. 470.000 exemplaires vendus pour Le Suicide français (son apogée) et des pointes à 800.000 téléspectateurs le soir.

Le choix est moins anodin qu’il n’y parait. Éric Zemmour veut-il continuer de gagner de l’argent et garder ses libertés ? C’est un choix de vie et aussi un choix de train de vie, pas évident tout ça…

La politique peut aussi révéler le plus mauvais rôle d’Éric Zemmour. Son discours notamment à la Convention des droites de Marion Maréchal en septembre 2019 était complètement raté. Les infréquentables adorent l’odeur de soufre que laisse traîner Éric Zemmour, mais ça n’est pas toujours très grand public. Et surtout, ça lui a valu plusieurs condamnations, pour incitation à la haine notamment.

Il y a ceux qui espèrent que le polémiste sera candidat pour régler leur compte avec Marine Le Pen, qu’Éric Zemmour trouve « complètement nulle ». C’est ceux qui ne croient plus aux chances et à la détermination de la présidente du Rassemblement national en 2022. Et puis il y a ceux qui sont soucieux de débusquer le moindre candidat potentiel à la présidentielle, pour ne surtout pas être surpris par un succès de dernière minute que personne n’avait vu venir.

Éric Zemmour pourrait surtout gêner Marine Le Pen, mais cette dernière affiche sa sérénité et le réduit à un bon mot dans l’Express. « Il y a vouloir et pouvoir. Quand j’étais jeune, je voulais être Miss France », dit-elle. L’entourage de la présidente du RN a été rassuré par les derniers sondages au plus haut pour Marine Le Pen. « Il n’y a plus photo, ça casse les jambes de ceux qui se voyaient tenter quelque chose pour l’Élysée », estime l’un de ses proches.

Tout d’abord, il est tout à fait possible qu’aucune élection n’ait lieu en 2022 si le système décide de déclencher une nouvelle offensive sanitaire grâce à un virus plus létal que le Covid19. Cela dépendra de la situation financière de l’Union Européenne et de ses états membres.

Ensuite, les élections présidentielles US ont révélé que le système dispose des capacités pour truquer les élections d’un état occidental en pénétrant les réseaux informatiques avec l’aide des services de renseignement.

Mais admettons que des élections se tiennent en 2022. Je ne vois que des retombées positives dans les deux cas.

S’il se présente, Zemmour pourrait capter une part significative des voix de Marine Le Pen. L’alcoolo-tabagique aurait bien moins de chances de figurer au second tour et donc d’entretenir sa boutique personnelle qui est déjà en faillite virtuelle. Si elle était effectivement disqualifiée, cette femme horrible serait attaquée de toutes parts par ceux qui voudraient se débarrasser de cette incapable.

S’il ne se présente pas, Marine Le Pen perdrait de toute façon face au front républicain composé de tout ce que la France compte de Boomers, de métèques, de syndicalistes, de patrons ou de retraités terrifiés. La poissonnière ne serait pas dans une meilleure posture face à ceux qui veulent la dégager.

Si jamais elle devait gagner – il y a plus de chances pour que le Christ revienne sur terre en 2022, mais je dois mentionner cette hypothèse malgré tout – le chaos qui s’en suivrait serait si dévastateur que ce serait une véritable bénédiction pour tous qui, comme nous, veulent détruire la démocratie.

Tout exploserait.

L’UE serait paralysée, les taux d’intérêts au sein de l’Eurozone précipiterait l’effondrement économiquement complet du continent. Pendant ce temps-là, des millions d’allogènes et de gauchistes descenderaient dans les rues pour tout saccager durant des mois et des mois. Nous verrions sûrement des attaques terroristes se multiplier. Les médias juifs entameraient le siège de l’Elysée, tout comme ils ont organisé le siège de la Maison Blanche sous Trump. Les syndicats à la solde du patronat et de la finance fomenteraient des grèves permanentes. Les profs pousseraient élèves et étudiants à participer à tous les troubles de rue. Les ministères refuseraient d’obéir et piloteraient l’Etat comme bon leur semble. La Corse ferait sécession, les cannibales de Calédonie seraient en révolution, l’Algérie activerait ses cellules dormantes, l’Eglise Catholique opérerait un virage à 180 degrés et justifierait à nouveau le recours à la Croisade pour défendre les droits des sodomites à parader dans les rues de Paris.

Pendant ce temps, toutes les organisations juives mondiales appelleraient à abattre l’état néo-pétainiste et à faire juger ses dirigeants – pour la plus grande surprise de ces derniers, tous gaullistes.

Dès le soir de sa victoire, Marine Le Pen commencerait par dénoncer tous ceux qui s’en prennent « à nos compatriotes musulmans » et appellerait à protéger une république café-au-lait « contre tous ses ennemis ». Elle enchaînerait avec l’annonce d’un plan exceptionnel de 50 milliards d’euros pour les îles à nègres d’Outre-Mer. Enfin, elle rappellerait à quel point elle pense tous les jours aux juifs transformés en abats-jours par les Nazis.

Terrifiée à l’idée que des gens kidnappent ses chats, l’alcoolo-tabagique ordonnerait de voter toutes les lois antifascistes dictées par le congrès juif mondial. Elle ferait sûrement arrêter Renaud Camus et Florian Philippot en guise de bonne foi. La LICRA serait dotée d’un ministère particulier chargé de traquer tous ses électeurs.

Mais ça ne changerait rien.

Ce serait un Tchernobyl politico-étatique.

Les USA suspendraient leurs relations diplomatiques. L’Allemagne aussi. Israël également, ce qui plongerait d’ailleurs Marine Le Pen dans un profond abattement au vu de l’objectif de sa vie : s’exhiber à Yad Vashem aux côtés d’une cinquantaine de vieux yids frippés, la mine grave, pour vociférer contre les Allemands et le Deutschemark – les Allemands auraient rétabli le Deutschemark à la seconde où la grosse Le Pen aurait posé le pied à l’Elysée, terrifiés par ses projets pharaoniques de négro-culture dans les Antilles.

Paris s’organiserait en Commune LGBT avec Anne Hidalgo à sa tête, se proclamant dans la foulée chef du gouvernement provisoire de la République Française.

Marseille annoncerait son rattachement à l’Algérie.

Ce serait vraiment la fin du monde. Ou du moins, la fin de la France juive.

« Mais, et les flics ? »

Les flics seraient d’abord tenus par leurs commissaires divisionnaires maçons. Ensuite, ils verraient comme tout le monde que risquer quoi que ce soit pour une énorme gourde revient à se suicider avec son arme de service.

Ce serait un second baptême antifa pour la Préfecture de Police de Paris qui, comme en août 1944, prendrait la tête des Black Blocks pour restaurer la démocratie. Nous verrions enfin la police rompre les rangs et rejoindre les manifestants hurlant « la police avec nous ! ». Les flics ne pourraient pas résister à un tel appel, surtout soutenu par les juifs, les maîtres de la République.

Ce chaos total, j’en rêve depuis toujours.

La démocratie dans le caniveau et les loups enfin libres.

Tout ce qu’il nous faut, c’est introduire un peu d’anarchie pour remettre en question l’ordre établi.

Vous voyez, peu importe les circonstances, tout est bon pour nous.

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