Hapsatou Sy, la brouteuse nègre qui a chié un mûlatre avec Cerutti, choquée face au dégoût populaire suscité par son immonde bâtard

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
09 mars 2018

Le peuple est unanimement frappé de nausée face à l’immonde mulâtre qu’a déféqué la cannibale islamo-sénégalaise Hapsatou Sy.

RMC :

L’entrepreneuse et chroniqueuse télé Hapsatou Sy était l’invitée de Grandes Gueules sur RMC. Elle est revenue sur les insultes reçues lorsque sa relation avec Vincent Cerutti a été dévoilée: « Les réseaux sociaux sont une poubelle ».

« C’est horrible! Les réseaux sociaux sont une poubelle absolue. J’ai lu que mon enfant est un bâtard, qu’il est le fruit du métissage qui est une honte pour la France. J’ai vu des atrocités surtout pendant Danse avec les Stars que l’on a fait ensemble. Qu’ils dénoncent le couple mixte, on peut répondre, nous sommes des adultes, mais un enfant de 17 mois attaqué et insulté de la sorte, ça montre l’intelligence de ces personnes. Ca m’a touché, évidemment. Après, j’ai eu aussi ‘Le beau et la bête’, j’étais la bête. J’ai vu des propos gravement racistes. C’est dommage pour cette France que j’aime » avoue-t-elle.

Avant de préciser à Alain Marschall et Olivier Truchot des GG: « Ca en dit long sur notre société. Ca veut dire que l’on assume de plus en plus d’être raciste. Quand on ne l’assume pas, on a les réseaux sociaux pour le faire derrière son écran, c’est lâche mais réel. Notre société est, qu’on le veuille ou non, plus que jamais divisée ».

Cette négresse infecte, qui ne comprend que trop bien que l’ascenseur social est en réalité un ascenseur racial, n’entend certainement pas voir la population blanche continuer de rester maîtresse de son pays. Tout en cherchant perfidement à se hisser au dessus de la masse des nègres improductifs dont elle est issue en broutant un Blanc dégénéré, cette cannibale s’agite d’instinct contre la population européenne de France qui ne goûte pas la terrifiante négrification de leur pays.

Aucune espèce d’égalité n’existe avec le nègre et lorsqu’un Blanc s’abaisse à se mélanger à cette race, c’est pour mieux servir de marche-pied à ces animaux contre son propre peuple. Le rejeton ignoble de cette mésalliance devient un futur cadre du camp mulâtre dans la guerre raciale en cours.

Le créole, le mulâtre, de par sa composition raciale antinomique, devient l’incarnation même de la pulsion d’autodestruction générée par l’opposition du pôle ordonnateur blanc et du pôle destructeur nègre. L’énergie qui en résulte se transforme agitation raciale antiblanche génocidaire.

Plus la promotion de l’égalitarisme racial est portée par les médias juifs, plus le nègre devient frénétique. Car pour le nègre, qui se sait parfaitement inférieur à l’Aryen, l’égalité suppose, en termes relatifs, un affaiblissement temporaire de ce dernier. Ce qui constitue en retour un appel irrésistible au meurtre de masse contre le maître blanc.

Mais, tout aussi naturellement, l’homme blanc victime de son habituel altruisme désintéressé découvre qu’il a été abusé de bout en bout. Acculé par la sauvagerie meurtrière du nègre et heurté par son ingratitude, l’Aryen reprend aussitôt sa composition et restaure la hiérarchie naturelle.

Et appelle un sale nègre un sale nègre avant de le remettre à la place qu’il n’aurait jamais dû quitter si le Blanc n’avait pas péché par une empathie inconséquente.

L’instinct de conservation racial reprend ses droits.