La bourgeoisie est la plus grande ennemie de la race blanche

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 août 2020

 

Avec la tentative de putsch en Biélorussie, il n’est pas inutile de revenir sur la tentative similaire qui a eu lieu à Hong Kong et surtout comment la presse des ploutocraties juives occidentales a traité celle-ci.

N’ayant pas froid aux yeux, le média Loopsider détenu par l’oligarque juif Bernard Mourad, proche du milliardaire juif Patrick Drahi, présente une lesbienne LGBT de la place financière de Hong Kong comme rien moins qu’une « révolutionnaire », représentante des masses laborieuses chinoises.

On voit deux éléments centraux dans ce publi-reportage en forme de clip musical : la starlette « révolutionnaire » chantant de la pop occidentalisée avec des séquences de ce demi-mec au regard génocidaire divaguant sur la « démocratie ». Le contenu n’est politique qu’en apparence : il n’y a aucune substance autre que celle de la mise en scène narcissique d’une bourgeoise revendiquant sa lesbianité. Que cela se passe dans une ville où le revenu moyen par habitant est de 49,000 dollars par an (41,000 en France) contre 9,000 en Chine est pudiquement omis.

Ce qui est remarquable, c’est que la sociologie de la bourgeoisie s’est homogénéisée mondialement, y compris culturellement, et qu’elle utilise le monopole qu’elle exerce sur le contrôle de la production culturelle pour présenter aux masses cette culture comme étant « révolutionnaire ». Ce rouleau compresseur culturel, fait de rap et de LGBTisme, est devenu le moyen de paralyser toute contestation idéologique fondamentale de l’ordre établi.

Qui est réellement révolutionnaire en Chine ? Une grande-bourgeoisie financière d’une ville côtière qui fait de sa vie sexuelle individuelle le critère du progrès où l’Etat Chinois qui bâtit pour 1,4 milliards de citoyens des infrastructures ultra-modernes dans les provinces les plus reculées et les plus pauvres du pays ?

Parler de sexualité en politique est devenu le meilleur outil de la bourgeoisie pour empêcher le peuple d’évaluer son niveau de vie et les avancées sociales et économiques tangibles et quantifiables. Cette politique est devenue la règle chez nous, si bien que depuis la crise financière de 2008, la France stagne économiquement sans que ce sujet ne soit jamais abordé politiquement.

L’opportunisme « intersectionnel » est si peu révolutionnaire qu’il est cité par les groupes de réflexion stratégique US les plus établis, comme le German Marshal Fund. Parlant de la co-listière de Joe Biden, Kamala Harris, une invitée de ce think tank déclare : « Maintenant je parle de quelqu’un qui peut se battre pour les noirs, les gens de couleur, les sans-papiers, les personnes LGBT, les handicapés, les jeunes, les vieux ».

La bourgeoisie transnationale américaine préfère parler de fauteuils roulants et de travestis plutôt que d’expliquer pourquoi l’écart de salaires moyen entre un employé et un PDG est passé aux USA de 1 à 20 à la fin des années 60 à 1 à 320 en 2020. Ou pourquoi le COVID19 a permis aux milliardaires du pays d’augmenter leur capital de 50 à 75% en 4 mois.

Plus le monde occidental se tiers-mondise socialement, économiquement et racialement, plus le progressisme « sociétal » judéo-trotskiste devient le seul et unique narratif toléré médiatiquement. C’est sous cet angle qu’il faut voir les mesures de restriction draconiennes de la liberté d’expression ces dix dernières années.

La mise au pas idéologique d’un pays est toujours synonyme de mise au pas politique. La Pologne réactionnaire, bien qu’outil de l’impérialisme américain en Europe de l’Est contre la Russie, demeure un reliquat national-catholique dans un système judéo-démocratique. Il doit donc être normalisé culturellement pour devenir un véritable vassal de la bourgeoisie occidentale tout comme l’Espagne de Franco l’a été dans les années 70.

Quoi de plus surprenant que de voir le droit des sodomites et des travestis en Pologne devenir subitement une question existentielle pour l’UE. Le juif Roth à la tête de l’organisation impérialiste « Human Rights Watch » illustre parfaitement cette stratégie de subversion et de mise au pas.

« Après que l’UE a coupé les fonds d’aide à une ville polonaise qui s’est déclarée libre de toute « idéologie LGBT », le gouvernement polonais a compensé la différence. Il aura du mal à le faire si l’UE limite les fonds alloués au gouvernement dans son ensemble pour ses politiques anti-droits. »

La bourgeoisie nationale polonaise a son propre agenda en Europe de l’Est qui est celui de la restauration de l’empire polonais sous bannière américaine en subordonnant les différentes nationalités voisines pour s’en servir de base de départ contre la Russie. Ce projet est appelé « Intermarium » et est activement soutenu par la CIA et vise à démanteler la Russie comme état unifié.

La bourgeoisie américaine espère ainsi pouvoir libérer ses forces du continent européen en le laissant durablement divisé stratégiquement.  Si elle a besoin de libérer ses forces, c’est pour se concentrer contre la Chine qui menace à brève échéance la suprématie américaine dans le Pacifique et dans le monde. Il est généralement admis que l’économie chinoise pèsera pratiquement deux fois celle des USA d’ici 30 ans et trois fois celle de l’UE.

La bourgeoisie américaine, qui redoute la suprématie économique et technologique de la Chine au 21ème siècle, tente de pactiser avec la bourgeoisie financière de Hong Kong pour créer une tête de pont afin de semer la division et l’anarchie en Chine continentale. Tous les médias occidentaux encadrés par les commissaires politiques du judaïsme s’empressent de répercuter les slogans pour activer la solidarité de l’internationale bourgeoise contre l’ennemi désigné.

Comme le décrivait avec acuité Adolf Hitler aux ouvriers de Siemens, le 10 novembre 1933.

« La lutte entre les peuples et la haine entre eux est alimentée par des parties intéressées très spécifiques. Il s’agit d’une petite clique internationale sans racines qui monte les gens les uns contre les autres, qui ne veut pas qu’ils aient la paix … Ce sont les gens qui sont chez eux, nulle part et partout, qui n’ont nulle part un sol sur lequel ils ont grandi, mais qui vivent à Berlin aujourd’hui, à Bruxelles demain, à Paris le lendemain, puis à Prague ou à Vienne ou à Londres, et qui se sentent chez eux partout. Ils sont les seuls à pouvoir être considérés comme internationaux, parce qu’ils exercent leur activité partout, mais le peuple ne peut pas les suivre« .

C’est l’unique raison pour laquelle les « ouïghours » musulmans sont devenus un sujet médiatique : les juifs veulent attiser la haine de la bourgeoisie occidentale contre la Chine pour servir leurs propres intérêts financiers. C’est le même mécanisme qui préside à la campagne de haine contre l’Iran tandis que la juiverie, avec son culot coutumier, courtise toute honte bue l’Arabie Saoudite wahhabite à côté de laquelle l’Iran passe pour un état moderne et libéral.

Lukashenko a fort justement posé une question rhétorique aux interventionnistes des ploutocraties juives sur la moralité dont elles usent pour justifier leurs menées.

Les « intolérables violences policières » qui entraînent des réunions d’urgence à Bruxelles ne suscitent la colère de la bourgeoisie ouest-européenne que s’il est possible de justifier une intervention contre un état à conquérir. En revanche, dans le pré carré ploutocratique européen, la répression policière n’entraîne pas même un commentaire de l’UE.

Macron a ainsi pu réprimer pendant plus d’un an des centaines de milliers d’opposants sans que jamais une seule critique n’ait été émise par Bruxelles.

De la même façon, les manifestants pacifiques catalans ont été écrasés avec férocité par la police espagnole avec le plein soutien de l’UE.

Dès lors que des mouvements populaires remettent en cause le statu quo bourgeois au sein des démocraties juives, la répression est non seulement souhaitée mais célébrée par les médias tandis que les opposants sont diabolisés à outrance.

Ces contradictions ne sont qu’apparente. La bourgeoisie est extrêmement cohérente dans ses buts. Elle adopte toujours la même stratégie, que ce soit contre la Chine, la Russie ou contre les travailleurs autochtones des pays qu’elle domine. La grande politique internationale permet de mesurer cette cohérence derrière les différences de pure forme.

L’extrême-droite « anti-Islam » s’apitoie subitement sur le sort d’asiates mahométans.

Au point où on ne peut pas distinguer le contenu de ses titres des slogans de la sociale-démocratie juive.

L’extrême-gauche trotskiste s’enflamme pour un putsch libéral en Biélorussie.

Si bien que le représentant de l’ordre financier en France pourrait signer les mêmes communiqués.

La gauche judéo-écologiste se mobilise pour Hong Kong.

Jusqu’à ne plus être discernable des discours de la CIA.

Il suffit de savoir lire entre les lignes et d’identifier le juif à la tête de la bourgeoisie pour comprendre le fonctionnement des démocraties et leur cynique moralisme.

La bourgeoisie est l’ennemi prioritaire, car c’est elle qui alimente la guerre raciale contre les populations blanches grâce à l’arme de l’immigration de la balkanisation « intersectionnelle ». Sans la bourgeoisie cosmopolite sous direction juive, rien de l’anarchie actuelle ne serait possible. C’est aussi la raison pour laquelle il faut résolument s’en tenir à une position révolutionnaire plutôt que d’entretenir des illusions à caractère « électoral ». Les élections sont l’arme de la bourgeoisie pour neutraliser l’opposition révolutionnaire.

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