Capitaine Harlock
Démocratie Participative
08 avril 2017
Préparez vos sacs de pilules noires.
7 sur 7 :
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a salué vendredi les frappes américaines en Syrie tout en les jugeant insuffisantes et en appelant à des mesures supplémentaires.
« Je salue cette mesure concrète et positive. Est-ce suffisant? Je ne crois pas. Pour avoir des résultats probants, il est temps de prendre des mesures pour protéger le peuple syrien opprimé », a déclaré M. Erdogan lors d’un discours à Antakya dans le sud de la Turquie.
Sur ordre du président Donald Trump, les Etats-Unis ont tiré 59 missiles contre une base aérienne militaire en Syrie en riposte à une attaque chimique présumée qui a fait 86 morts mardi dans une ville du nord-ouest de la Syrie, imputée à Bachar al-Assad, qui dément formellement.
« Je veux que les choses soient claires: tant que des enfants sont massacrés dans le monde, personne n’a le droit de se sentir en sécurité ou en paix », a ajouté M. Erdogan.
« Nous répétons l’importance de créer des zones de sécurité libérées de la terreur », a-t-il par ailleurs ajouté.
Un appel déjà lancé plus tôt dans la journée par son porte-parole, Ibrahim Kalin, qui a qualifié l’initiative américaine de « réponse positive aux crimes de guerre du régime de (Bachar al-)Assad ».
« Pour éviter la reproduction de ce type de massacres (l’attaque présumée chimique imputée au régime), il est nécessaire d’instaurer sans tarder une zone d’exclusion aérienne et des zones de sécurité en Syrie », a affimé M. Kalin.
Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlüt Cavusoglu, a déclaré pour sa part que l’instauration de zones de sécurité en Syrie était « plus importante que jamais ».
Une « zone d’exclusion aérienne ». Comme en Libye. Ce qui signifie, de facto, de clouer au sol l’aviation russe. Ce cafard d’Erdogan est prêt à tout.
La chose la plus importante regardant ces frappes américaines est leur dimension psychologique. J’ai entendu ici et là des gens dire que l’action était limitée, etc.
Cela n’a aucune espèce d’intérêt car cette action n’est pas militaire mais psychologique. La vermine néo-conservatrice a enfermé Trump dans une posture. Au moment où je parle, les services spéciaux israéliens doivent probablement être en train de préparer un coup monté encore plus gros.
Lorsqu’il aura lieu, les conseillers juifs de Trump lui diront : « Monsieur le Président, regardez, Assad a franchi la ligne une nouvelle fois ! Il pense que vous bluffer ». Et Trump tombera dedans comme un bleu.
Les bougnoules et les juifs ne vont pas lâcher l’espoir, soudainement rallumé, d’avoir leur guerre menée par les aryens de l’US Army, au garde-à-vous devant la juiverie new-yorkaise. A cause d’Ivanka la pute, je me dois de le rappeler.