Captain Harlock
Démocratie Participative
14 juin 2019
Ariane Brodier est devenue une lectrice assidue de Démocratie Participative où elle apprend progressivement l’étendue de sa propre misère.
Voilà des propos qui font froid dans le dos… La sympathique Ariane Brodier a récemment révélé que des internautes racistes n’hésitaient pas à la menacer elle, son compagnon Fulgence Ouedraogo, ainsi que leurs deux jeunes enfants !
Personne n’a menacé Ariane ou son nègre de compagnie et certainement pas nous, à Démocratie Participative.
En revanche, sa lignée négrifiée représente bel et bien une menace biologique qui pèse gravement sur notre sécurité collective.
Le cynisme de cette traînée exhibitionniste dépasse l’entendement.
Le bonheur d’Ariane Brodier et de son compagnon le rugbyman Fulgence Ouedraogo ne plaît pas à tout le monde. En 2019, des internautes racistes n’hésitent pas à envoyer aux parents d’un petit garçon de 1 an et demi et d’une petite fille de 2 mois des messages effroyables…
Interrogée par nos confrères de Télé Loisirs, la comédienne de 40 ans a regretté qu’un couple mixte puisse encore provoquer autant de réactions odieuses. « Sur les réseaux sociaux, on a reçu certains commentaires racistes. Ça m’a toujours étonnée parce qu’on ne fait pas partie de la première génération de couples mixtes. Là, on n’est même pas sur une question religieuse ou autre. C’est vraiment de l’épiderme ! », a-t-elle déploré. Et d’ajouter, affligée : « Je suis consternée encore aujourd’hui de recevoir des menaces de mort, qu’on ait mis mon couple sur des sites nazis ou avoir reçu des menaces sur mes enfants. (…) Juste, c’est désolant. Je suis blessée parce que c’est pas ma France. »
Vous devez comprendre que pour Ariane, la France est à son image : une traînée à nègre laissant couler une flaque marron devant des photographes.
Si la France devait prendre le visage de la descendance d’Ariane, elle ressemblerait peu ou proue à ça en 2100.
Pétasse caricaturale, Ariane a absorbé comme une éponge la propagande cosmopolite juive et pense avoir suivi la bonne voie en jetant sa génétique millénaire dans les chiottes de l’Afrique.
C’est un aller sans retour et Dieu la maudira pour avoir infligé une telle malédiction à sa descendance comme à son peuple.
À propos de sa maternité – et sur un terrain plus léger –, Ariane Brodier confiait récemment à nos confrères de Télé 7 jours : « J’adore accoucher ! Autant, je ne suis pas fan de la grossesse, mais j’apprécie l’exploit, presque sportif, de l’accouchement. Je pourrais accoucher tous les jours ! On est face à soi-même, on doit faire appel à son courage. J’aime l’idée que je peux faire quelque chose d’exceptionnel, comme donner la vie. Cela me transcende. » Et de poursuivre : « Je me suis apaisée depuis que j’ai fondé ma famille. Je vis à la campagne, j’ai des poules et je cultive mon potager. »
Transcendée par le fait de chier de la négraille.
Les campagnes créoles arrivent.
Ce que les racistes disent à ces putes ne les laisse pas indifférentes. Une femme peut être détruite psychologiquement par une simple phrase.
Brodier reçoit des centaines de milliers de « j’aime » sur son Instagram mais ce sont bien les messages racistes qui attirent toute son attention. Les messages d’idiotes admiratives ne servent au mieux qu’à atténuer l’impact de ces messages remplis de colère blanche.
Les femmes accordent la plus grande importance aux mots et aux émotions qu’engendrent ces mots. Un homme comprend mal une telle chose. Pour qu’il soit blessé par des mots, il doit entendre mille fois ce qu’une femme peut entendre.
Une femme peut garder à l’esprit une phrase qui l’a blessé pendant des mois voire des années.
C’est encore plus vrai pour les femmes quand il s’agit de leurs enfants.
Répéter encore et toujours à une pute à nègre à quel point sa descendance est écoeurante la terrifie car elle comprend d’instinct qu’elle n’a accouché que pour plonger dans la plus grande misère ses rejetons.
Les mulâtres seront toujours rejetés par les Blancs. Plus exactement, ils seront toujours assimilés à des nègres délavés.
Le réflexe des mulâtres est alors d’utiliser leur potentiel racial de 50% supérieur à celui du nègre de base pour le pousser à la guerre raciale contre les Blancs. Il est un fait établi que le mulâtre est infiniment plus rongé par la haine antiblanche que le nègre à proprement parler.
Les exemples sont nombreux. Les autorités coloniales belges au Congo le savaient parfaitement.
En France, l’avant-garde de apôtres de la guerre raciale est surtout composée de mulâtres des Antilles. Ce sont les Durpaire, les Thuram, les Tin, les Taubira.
Tout ce que vous pensez savoir de leur haine antiblanche est à des années-lumières de la réalité. Ces gens veulent voir vos mères, vos soeurs et vos filles violées collectivement sous vos yeux par des bandes de nègres en transe avant de vous égorger devant elles.
C’est-à-dire le programme haïtien.
Les quelques décilitres de sang blanc qu’ils ont dans les veines leur permettent de mieux comprendre la psychée aryenne sans toutefois l’appréhender totalement. C’est suffisant pour conspirer.
Le mulâtre fait d’une pierre deux coups. Il abaisse racialement le Blanc en s’emparant d’une Blanche tout en améliorant son propre ADN. Cette amélioration lui permet de manipuler plus finement le nègre – qu’il méprise – contre la race blanche.
Les traînées comme Brodier sont les sillons de la guerre raciale, du meurtre et du génocide.
Dans le contexte français, cette négraille finira par se mêler aux sémites musulmans, formant une colonne particulièrement meurtrière.
Le spectre du mulâtre salafiste hante la France.
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