La barbe à poux rabbinique Raphaël Enthoven assure que la liberté d’expression (des goyim) est liberticide (pour les juifs)

Captain Harlock
Démocratie Participative
28 avril 2022

 

Le rabbi Enthoven s’est livré à un formidable numéro de pilpoul hier sur Europe 1.

S’exprimant à propos de la prise de contrôle de Twitter par Musk – pour officiellement en finir avec la censure qui y règne, le rabbin laïc a expliqué aux goyim que « la liberté était liberticide ».

Enthoven n’a pas perdu de temps en dissertant sur des abstractions. Il en est immédiatement venu à ce qui l’inquiète : être critiqué par les goyim en tant qu’agent subversif juif sans que l’appareil d’état français (contrôlé par les juifs) ne puisse intervenir pour faire taire les empêcheurs de kashériser en rond.

Quand les juifs parlent de « liberté », ils ne parlent pas de la liberté de tous, mais de la liberté que les juifs revendiquent pour leur race dans les sociétés non-juives qu’ils parasitent.

C’est assez simple comme concept.

Le juif veut pouvoir se mouvoir partout comme bon lui semble tout en empêchant les goyim de se défendre contre ses attaques. C’est ce que les juifs entendent concrètement par « liberté ».

C’est sous l’effet du sémitisme que la « liberté d’expression » est devenue synonyme de censure en France et en Occident.

La liberté du juif suppose de priver de liberté les goyim, car le parasite ne peut prospérer qu’en affaiblissant et contrôlant sa victime.

Plus le juif est « libre » de nuire, plus les goyim sont opprimés.

Le juif redoute la vérité tout autant que la liberté, car les deux le démasquent pour l’agent double éternel qu’il est.

L’annonce par Musk de vouloir libérer Twitter de l’emprise du terrorisme juif international les plonge dans un état d’angoisse intense. Ces bouches menteuses se mettent soudain à se tordre comme au pied du Mur des Lamentations, maudissant la cruauté des goyim de vouloir vivre librement, c’est-à-dire loin de leur domination haineuse et fanatique.

Personne ne sait ce que va faire Musk.

En revanche, l’idée que les masses puissent se libérer de l’emprise juive sur un réseau social global plonge ZOG dans l’effroi.

La liberté est antisémite.

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