Capitaine Harlock
Démocratie Participative
20 juin 2017
Ce spectacle est non seulement repoussant, mais c’est aussi, d’une certaine façon, poignant. C’est un vieil homme qui, à 89 ans, doit faire face à une grille clôturée par une chaîne sur demande de sa fille. Sur suggestion du sodomite Philippot.
Pour plaire aux juifs.
Je le dis d’autant plus sincèrement que je n’aime pas Jean-Marie Le Pen. L’homme s’est montré, à de nombreuses occasions, cruel à l’égard de nombreux militants du FN. Il les a exclu comme il est exclu aujourd’hui.
Et bien sûr, Jean-Marie Le Pen a porté sa fille à la tête du FN contre l’avis de tous. Il l’a fait parce qu’il est gravement mégalomane. Le Pen avait même été jusqu’à humilier publiquement Bruno Gollnisch en 2011 alors que rien ne le nécessitait. Soutenant sa fille dégénérée jusqu’à l’aveuglement, il avait assuré que le destin de « certains dauphins » était « de s’échouer ».
Finalement, il apprend la leçon la plus importante de sa vie : l’orgueil est le péché le plus capital, l’origine de tous les autres vices.
Cependant, cette scène répugnante d’un vieux soldat ayant tout perdu, son parti et une partie de sa famille, ne peut pas laisser moralement indifférent. C’est une scène qui eut été inimaginable il y a encore quelques décennies. Les formes auraient été respectées.
Ici, nous voyons toute la médiocrité d’une bande de truands ayant fait main basse sur l’héritage d’un ancien que l’on a mis à la porte de chez lui.
Et surtout, tout ça pour quoi ?
Pour rien.
Je préférerais encore déjeuner avec des roms, au coin d’une poubelle, plutôt que de devoir croiser dans un couloir un seul membre de la clique dirigeant actuellement le Front National. Le franc-mac Collard et sa repoussante couche de graisse lui collant les cheveux, le quarteron séfarade Aliot avec son nez grotesque et louche ou encore la mère maquerelle Le Pen et son goitre qui n’a de cesse d’enfler.
A ce stade, je ne distingue plus les pouilleux qui s’infiltrent clandestinement en France et la bande qui s’est infiltrée tout aussi clandestinement à la tête du FN.
Et qui n’a pas même le talent de Jean-Marie Le Pen.
Cette verrue de Marine Le Pen, pour être cohérente avec elle-même, devrait changer sur l’heure de nom.
Car comment oser renier son père tout en gardant son patronyme ?
Si ce n’est pour l’argent, bien sûr. Ce qui rend la chose encore plus immorale et dégoûtante.
En vérité, c’eut probablement été un grand malheur pour tout le monde si Marine Le Pen avait été élue ou avait seulement acquis un poids politique significatif lors des dernières élections. Elle aurait ruiné l’espoir nationaliste de millions de gens en discréditant ce nationalisme.
Et pire : elle aurait fait pire que Macron.
J’en suis absolument persuadé. Elle aurait été bien plus loin qu’on ne le pense. Une femme capable d’aller aussi loin pour de simples prébendes parlementaires n’hésiterait pas une seconde à vendre son pays.
La Providence l’en a empêchée.