Captain Harlock
Démocratie Participative
09 octobre 2021
L’autre jour, nous avons publié un excellent article sur le rôle de l’hypergamie féminine dans la guerre raciale actuelle, plus spécialement dans la négation du Grand Remplacement par les Instaputes.
En l’occurrence, nous citions le cas d’une créature racialement indescriptible prénommée Nirina, une escort de Sciences Po Lille qui parade sur les réseaux en appelant à l’éradication totale de la race blanche en Europe pour exciter sexuellement les métèques.
Le ton implicitement génocidaire de son discours est à cet égard absolument frappant.
Vous devriez lire cet article parce que c’est un bon article.
Nirina la pépita de Sciences Po : « Le Grand Remplacement n’existe pas et n’existera jamais »
Bonjour à toutes et à tous.
J’ai été affiché par un site néo-nazi qui a lancé un appel au viol sur ma personne. Sans parler des caricatures racistes.
Nous avons dépassé un stade inadmissible. Il est désormais impossible de militer sans risquer sa vie. Je compte porter plainte.
— N 二リナ 🇲🇬 (@Nirinine) October 7, 2021
Pour des raisons évidentes d’hygiène raciale, nous n’avons pas appelé à violer cette 5/10 mâtinée de sang de marais, nous avons constaté qu’elle signalait par son attitude son envie de se faire bestialement violer par des nègres de banlieue. C’est tout de même différent. Et c’est surtout factuel.
Pour cette instapute, « militer » politiquement se résume à signifier aux mâles mélanisés sur YouTube et Insta qu’elle est sexuellement disponible. C’est caractéristique du besoin des femmes d’investir un espace masculin pour le détourner de sa fonction afin d’assouvir leur hypergamie.
La capacité des femmes à attirer l’attention détermine leur rang social parmi les autres femmes, d’où cette validation nécessaire permanente dans un milieu très compétitif. En passant par une niche sexuelle aussi peu féminine que l’activisme politique, certaines s’épargnent une concurrence qui prévaut dans d’autres espaces sociaux où elles ont peu de chances de percer. C’est d’ailleurs la stratégie sociale/sexuelle des féministes hétéros médiatisées.
De manière assez révélatrice, ce ne sont pas des mâles agressifs de banlieue qui se sont précipités pour cageoler la drôlesse. Les racailles de banlieue ne s’intéressent pas à la politique, qui pour eux est un truc incompréhensible de Blancs, et quand ils voient une femme causer avec autorité en public, ils identifient d’instinct une femelle qui remet en cause la suprématie masculine, ce qui rebute leur tendance patriarcale naturelle. Les mecs de banlieue veulent des pétasses soumises, pas des gonzesses qui jouent les intéressantes en parlant de politique.
Ce sont les mâles beta blancs auxquels elle souhaite le génocide qui se sont pointés pour signifier leur sujétion. Des Jean-gauchistes avec des drapeaux rouges ou des drapeaux LGBT.
Un concentré d’hommes soja.
Tout mon soutien camarade
— 1871 🚩 (@1_8_7_1) October 7, 2021
J’ai des yeux laser je suis dangereux et gay
Courage, et prends soin de toi !
— Ju’S 🦝 (@JS96McCloud) October 8, 2021
Le mâle beta n’attire pas l’attention des femmes, il apporte son attention aux femmes.
Dans le jeu sexuel, le mâle alpha est celui qui parvient à créer un déséquilibre dans le mécanisme féminin de recherche d’attention en suscitant a contrario l’attention des femmes. Quand une femme est plus soucieuse de l’attention qu’elle porte à un mec que l’attention qu’elle peut obtenir des mecs, elle est « amoureuse ». Il n’y a rien de plus addictif pour une femme que d’être rationnée en terme d’attention par le mec dont elle recherche l’attention. C’est pour ça que l’archétype du connard qui alterne entre séduction et mépris est celui qui rend une femme totalement folle.
Le mâle beta procède inversement en donnant de l’attention à des femmes dans l’espoir d’accéder au sexe, ce que les femmes interprètent justement comme une marque d’infériorité.
Ces mâles beta répondent au schéma mental du chevalier blanc qui leur fait croire qu’ils peuvent accéder à la chatte en se portant au secours de la princesse (marron) en danger. Ici, dans l’imaginaire victimaire gauchiste, en se portant au secours de Pocahontas, menacée par des prédateurs blancs racistes.
En faisant ça, les beta signifient aussi leur peur et leur violente aversion pour les mâles alpha blancs que sont par définition les « suprémacistes ».
La logique du beta gauchiste blanc est de se dire que pour des raisons raciales, les alphas blancs racistes leur laissent les femelles marron. Comme il n’y a pas de concurrence, ces beta blancs pensent marquer des points auprès des femelles de couleur en incarnant le gentil mec « attentionné » qui les « protègent » contre le prédateur blanc alpha.
C’est ce qui rend le gauchiste blanc si pathétique.
Le problème, c’est que ces beta gauchistes ne sont pas le public que vise l’Instapute Nirina.
Nirina vise les mâles du camp racial qu’elle pense dominant, à savoir les mâles de couleur. C’est justement parce qu’elle ne se sent pas menacée par les hommes blancs de son cercle social qu’elle s’affiche aussi effrontément en faveur de leur génocide/remplacement, sentiment de confort que renforcent les beta orbiters blancs en validant l’attitude de cette traînée.
Comme vous le savez, on recherche ce que l’on a pas. Ce que recherche cette instapute marron c’est un niveau d’attention suffisant pour se sentir à l’aise socialement. Dès la puberté, une femme a conscience que l’horloge tourne et que de nouvelles concurrentes arrivent chaque jour sur le marché. Grâce à l’avènement des réseaux sociaux, contrer cette tendance naturellement baissière sur le marché de l’attention masculine peut être partiellement compensé en accumulant des abonnés beta. En démontrant par ce moyen sa position sur le marché sexuel, elle devient un « modèle » pour les autres femmes, ce que les femmes mesurent par les messages de validation de commentatrices admiratives. Du coup, les concurrentes potentielles sont neutralisées par cette validation féminine constante.
Nirina l’instapute veut un mâle basané alpha et elle ne récolte que des mâles blancs beta parce que la zone virtuelle où elle opère est saturée de leur présence mais totalement vide d’arabes ou de noirs dominants.
On peut facilement entrevoir la suite : plus son public de beta orbiters blancs valident ses sorties antiblanches au ton génocidaire, plus cette traînée les hait pour leur infériorité sexuelle, mais cela ne lui offre pas pour autant le mâle alpha (basané) socialement dominant qu’elle recherche.
Cette escort de Lidl est programmée pour rager exponentiellement à mesure qu’elle encaisse les années.