Captain Harlock
Démocratie Participative
10 septembre 2018
Comme à Chemnitz, en Saxe, le meurtre d’un Allemand par deux rats d’Afghanistan a immédiatement généré une marche de protestation où les orateurs se sont succédés pour appeler à ce que l’on peut clairement qualifier de révolution patriotique.
La population en est à dénoncer « la guerre raciale faite au peuple allemand ».
Inutile pour vous de comprendre l’allemand, le seul ton de l’orateur devrait vous paraître familier.
Très familier.
Il y a effectivement une guerre raciale déclarée au peuple allemand comme à l’ensemble des peuples d’Europe. Par les juifs et leurs alliés démocrates, marxistes et maçons avec l’aide de ces masses de sous-hommes nègres et arabes.
En dépit de 73 ans de rééducation idéologique par la juiverie internationale et l’état fantoche qui administre l’Allemagne, l’âme des masses populaires manifeste les premiers signes d’une vigueur retrouvée.
L’effroi devrait rapidement succéder à la stupeur.
« Nous avons échoué, Schlomo ! »
Köthen est une petite ville de 26,000 habitants située dans la Saxe-Anhalt, au dessus de la Saxe où se trouve Chemnitz. Elle est à mi-chemin entre Magdebourg et Leipzig et pas très éloignée de Berlin.
Cela a son importance car Berlin est naturellement le principal centre politique du pays et plus les idées nationalistes progressent vers la capitale allemande, plus la tension monte.
La presse juive s’est déchaînée contre les participants mais n’a pas pu maquiller la réalité de la colère. Ou du moins pas totalement.
Comme à Chemnitz, les Nationaux-socialistes étaient présents au même titre que d’autres, sans que cela ne pose de problème. Je pense que les Nationaux-socialistes ont le droit de défiler comme les autres citoyens mais, évidemment, il serait contre-productif de brandir des croix gammées ou de faire des saluts allemands.
Enfin, dans l’immédiat j’entends, tant que l’Allemagne n’est pas libérée des juifs.
? EN DIRECT – #Allemagne: «National Sozialismus ! Jetzt ! Jetzt ! Jetzt !» Un dimanche soir dans les rues d’une petite ville de province allemande #Köthen. »
(?@ThomasWieder) pic.twitter.com/285Xh6FXTl— FranceNews24 (@FranceNews24) 9 septembre 2018
Le moins que l’on puisse dire, c’est que ces Allemands de l’est ne sont pas particulièrement friands des marches blanches où l’on explique à quel point on aime la démocratie et les arabes qui tuent, violent et pillent à longueur d’année.
Il y a là matière à méditer sur ce que nous faisons habituellement en France.
« Un de ces jours, il va falloir marcher sur Berlin pour mettre fin à cette folie », fulmine un orateur dans un mégaphone. « Résistance, résistance, résistance ! », entonne à nouveau la foule. #köthen
— Thomas Wieder (@ThomasWieder) 9 septembre 2018
Marcher sur Berlin, lol.
L’orateur fait le rapprochement avec Chemnitz. S’en prend à la « presse mensongère », à son « blabla », appelle au « réveil de l’Allemagne », demande au « peuple allemand » de se lever. #Köthen
— Thomas Wieder (@ThomasWieder) 9 septembre 2018
Très difficile d’engager une conversation en tant que journaliste. « Lügenpresse », (presse mensongère), se voit-on presque systématiquement répondre. L’expression martelée par l’AfD est en train d’infuser dans le langage courant même chez des non électeurs de l’AfD. #köthen
— Thomas Wieder (@ThomasWieder) 9 septembre 2018
Maintes personnes présentes ce soir à Köthen au rassemblement organisé par plusieurs groupes d’extrême droite ont manifesté à Chemnitz ces derniers jours. « Hier Chemnitz, aujourd’hui Köthen. On ne va pas laisser ces crimes impunis. La résistance s’organise », me dit une dame. pic.twitter.com/pxzEeAK7Rt
— Thomas Wieder (@ThomasWieder) 9 septembre 2018
« Tous les réfugiés dehors ! Maintenant on veut être à nouveau chez nous », me dit ce sexagénaire, ex-militant CDU aujourd’hui électeur de l’AfD. « Et arrêtez, vous la presse, de nous traiter de nazis. Nous sommes juste des patriotes qui voulons l’ordre et la sécurité » #köthen pic.twitter.com/07JjvHO5Rr
— Thomas Wieder (@ThomasWieder) 9 septembre 2018
« Que ces gens foutent le camp ! Avant ici c’était tranquille. Maintenant avec ces étrangers, c’est le bordel », m’expliquent deux habitants de #Köthen, la cinquantaine. Ils ne vont pas à la manif d’extrême droite « par peur », mais comprennent « ceux qui y vont par colère »
— Thomas Wieder (@ThomasWieder) 9 septembre 2018
Politiquement, non seulement le paysage devrait être bouleversé à moyen terme avec la chute de Merkel d’ici à 2019, mais au sein même de l’AfD l’aile nationaliste devrait progressivement imposer sa ligne.
Une aile dont le projet de libérer spirituelle du peuple allemand de la culpabilisation sémitique ne peut que se convertir en confrontation directe avec les juifs.
Pour l’heure, une AfD au dessus de 20% suffit à déstabiliser l’ensemble du pays, ce qui est en soi une étape majeure.
#LastRT En Saxe Anhalt, région de #Kothen, l’AfD est déjà le 2e parti à l’assemblée locale depuis 2016, où la CDU n’a conservé le pouvoir que par 1 « grande alliance » contre nature avec SPD et Verts. Autre indice de la myopie « merkélienne » de beaucoup de chancelleries européennes
— Corentin Sellin (@CorentinSellin) 9 septembre 2018
Il est temps, en France, de rompre avec le ton feutré qui a cours jusqu’à présent.
Mais je reconnais aussi que l’Etat Français est en voie de bolchevisation avancée sous l’impulsion des juifs et qu’à ce titre, la répression sera nettement plus féroce qu’en Allemagne.
La juiverie contrôle directement la France grâce à son demi-million de terroristes juifs infiltrés à tous les niveaux, surtout politiquement, judiciairement et médiatiquement. Elle a pu constituer des bataillons de millions d’auxiliaires extra-européens sur le territoire français et la maçonnerie lui offre un appui massif grâce au contrôle qu’elle exerce sur les administrations stratégiques que sont police, armée et justice.
L’évolution en Allemagne ne peut avoir qu’un effet vertueux qu’il faut exploiter à outrance pour remporter la guerre raciale.