Captain Harlock
Démocratie Participative
02 mars 2019
On peut toujours compter sur Konbini pour promouvoir le programme de dégénérescence voulu par les juifs.
Cette fois, c’est l’histoire de ce lycéen qui se maquille et qui s’est fait trasher par les autres élèves.
La propagande juive suit toujours le même plan
Les juifs utilisent une propagande de facture victimaire pour parvenir à leur but : le renversement de l’ordre social au sein de la société qu’ils infiltrent.
Cette propagande est la traduction de la psychologie profonde des juifs qui est celle d’un parasite qui accuse le groupe qu’il veut infiltrer des conséquences de son propre parasitisme. Victimisation et révolution sont les deux axes de la propagande juive.
C’est en raison de cet usage systématique de la victimisation pour dissimuler leur volonté prédatrice que les juifs savent exciter chez les autres asociaux et les ratés la frustration qu’ils possèdent également en eux-mêmes. Le but est de la retourner contre les piliers de l’harmonie sociale qu’ils veulent détruire.
En Occident : l’homme blanc hétérosexuel dominant.
Première phase
La première phase de toute opération de propagande juive consiste à susciter artificiellement chez les masses ennemies – blanches donc – de l’empathie pour une catégorie d’asociaux que les juifs veulent militariser contre ces mêmes masses. Ici, les travelos.
Il est fondamental de comprendre que la propagande juive vise à paralyser les défenses immunitaires de l’ennemi désign afin qu’aucune réaction de défense n’empêche plus virus inoculé d’agir. Ici, les travelos.
Pour ce faire, ils recherchent un cas particulier, le dramatisent médiatiquement à outrance en le disant victime de pseudo « persécutions ». Le public – le corps sain – s’identifie inconsciemment à cette pseudo victime – le virus – car les juifs savent que l’empathie est un trait fondamental des Aryens.
Une nouvelle fois, on retrouve l’art du mensonge juif à l’oeuvre : seul le recours au mensonge peut rendre une menace amicale. Seul le juif peut vouloir empoisonner un peuple de cette manière.
Une fois que les masses se sont identifiées à cette pseudo victime, elles exigent toujours un « happy end ». Cette attente créée de toutes pièces par la propagande juive permet alors à cette dernière de proposer comme solution la normalisation des dégénérés promus.
« Xénophobie », « islamophobie », « racisme », « homophobie », etc., tout suit toujours ce schéma élémentaire.
Seconde phase
La seconde phase ne tarde pas à suivre. Car la normalisation de la catégorie d’asociaux – le virus donc – n’a qu’un but : donner une totale liberté d’action à ceux-ci pour attaquer les piliers de l’ordre social.
Très vite, la propagande juive, en utilisant le même schéma, fait passer pour une oppression intolérable moralement le fait que le comportement des asociaux ne soit pas la règle obligatoire pour tous. Autrement dit, que les cellules saines du corps ne deviennent pas des cellules malades à leur tour.
En peu de temps, la promotion active et systématique du virus devient la règle. Il n’est plus question de seulement « tolérer » l’asocial promu, mais d’en faire le nouveau maître. En réalité, un proxy juif.
Divorce, avortement, traveloïsme, homosidaïsme, usage de came, etc., toutes ces opérations de guerre psychologiques et biologiques contre l’homme blanc ont suivi ce procédé de propagande juive.
Propagande aryenne
La réponse face aux attaques de la propagande juive ne peuvent pas être, pour les Blancs, un décalque. Car l’homme blanc n’a pas une psychologie d’esclaves révolutionnaires mais de bâtisseurs garants de l’ordre et de la justice.
Toutes les tentatives de ce type sont des créations juives elles-mêmes, le juif ne reculant devant rien pour parvenir à ses fins.
S’il excite les nègres et les musulmans contre les Blancs d’un côté par des associations spécifiques comme la LICRA, etc., il n’hésite pas à tenter de contrôler la frustration engendrée chez les Blancs pour maintenir dominante la mentalité victimaire hébraïque et jouer un camp contre l’autre, dans un jeu sans fin.
« Le racisme anti-Blancs ne se traduit pas seulement par de la violence, il s’accompagne aussi d’une rationalisation intellectuelle »
Retrouvez l’interview de @LdeBechade pour France Ô sur le site de l’ @OLRA_asso : https://t.co/BxHr1SQHqa pic.twitter.com/bKH64d7Umy— Association OLRA (@OLRA_asso) 12 juin 2018
? Insultes racistes et antisémites: un restaurateur insulté de « sale youpin » et sa clientèle de « sales blancs de merde » ?https://t.co/oINCKNVYty
— Association OLRA (@OLRA_asso) 1 mars 2019
C’est le but du juif que d’infecter une culture aryenne de son bolchevisme mental, disséminateur éternel de la guerre civile et de la division au sein d’un peuple.
Cet être vil, lâche et moralement dépravé ne peut régner que sur des gens qui l’imitent dans sa perversion.
C’est son évangélisme.
Des Blancs infectés par le virus sémitique de la suprématie morale des faibles n’ont plus d’avenir. Leur mort psychique est le prélude à leur mort physique car ils sont la victime expiatoire logique, comme force créatrice et ordonnatrice, des faibles.
Pour survivre, le Blanc doit devenir immune au virus juif de la suprématie morale des faibles et redevenir un être fort, dominateur, sans aucune forme d’empathie pour ce qui n’est pas lui.
Tout message authentiquement aryen, débarrassé de la pollution hébraïque, doit appeler à la force, à l’intolérance, à la domination et doit attaquer sans cesse toutes les manifestations de faiblesse. Et par dessus tout, attaquer l’esprit juif qui est le chef d’orchestre de cette religion démoniaque du culte des esclaves révoltés.