Capitaine Harlock
Démocratie Participative
27 juin 2017
Ha ha ha !
C’est ce mardi que s’achève le procès d’un père de famille, jugé pour avoir porté des coups de couteau et des coups de chaîne à sa compagne, en 2015.
L’avocate générale Dominique Laurens a requis quinze ans de réclusion criminelle, ce lundi soir, à l’encontre de Yahia Rahmani. Ce père de famille de 45 ans est jugé depuis vendredi par la cour d’assises de Seine-et-Marne, à Melun, pour tentative de meurtre sur sa conjointe.
Dans la nuit du 31 août au 1er septembre 2015, Yahia Rahmani a porté sept coups de couteau à sa compagne Jennyfer, dans leur maison de Pierre-Levée. L’avocate générale, qui lui reprochait également d’avoir frappé la victime à la tête avec une chaîne de portail et d’avoir tenté de l’écraser avec sa voiture, a requis un suivi socio-judiciaire d’une durée de quinze ans.
L’avocate générale est revenue sur l’état d’esprit de l’accusé qui, quelques heures plus tôt, n’avait pas hésité à lancer à l’audience : «J’ai souffert, moi, avec ma femme. J’ai tout fait pour que ça aille mieux». Commentaire de la magistrate : «Il n’a pas évolué. Il reporte complètement la responsabilité sur sa compagne».
Du fond de son box, Yahia Rahamani – très excité – a nié avoir frappé Jennyfer cette nuit-là parce qu’elle voulait le quitter. Se plaignant que personne ne l’écoute et provoquant parfois la colère du président Jean-Louis Périès, l’accusé a sorti tout un tas de justifications : le rapprochement de sa compagne avec son cousin au Maroc, alors que ce dernier n’était qu’une oreille attentive, les insultes et les « tapements » d’enfants reprochés à Jennyfer, ce dont personne n’a jamais parlé, les cachets qui la défonçaient, alors que lui fumait entre dix et vingt joints par jour…
En revanche, lorsque la cour l’a interrogé sur la nuit du drame, les mots sortaient plus difficilement. Yahia Rahmani ne se rappelait plus : «Je n’ai pas réfléchi. Je suis devenu fou furieux. Ça bouillait à l’intérieur. C’est la haine de tout accumulé». L’accusé a assuré avoir seulement voulu «blesser» la victime. Pas vraiment l’analyse de l’avocate générale : «Le premier coup de couteau dans le dos était potentiellement mortel. Cette femme a lutté pour sa survie. Elle a couru pour éviter de terminer sous les roues d’une voiture».
L’avocat de Jennyfer, Me Thibaud Cotta, l’a rappelé : «Deux des filles du couple ont sauvé la vie de leur mère. Une seule est partie civile dans ce procès car elle estime être une victime indirecte. Malgré leurs choix différents, ce sont des sœurs soudées. L’enjeu pour les trois, maintenant, c’est de se reconstruire». La plaidoirie de la défense et le verdict sont prévus mardi.
Un bougnoule défoncé au shit devenu fou tandis que l’immonde truie qui lui sert de femme tournait autour d’un autre crouille, en l’occurrence son cousin.
Et cette pute à ratons a eu le temps d’engendrer une série de rejetons.
Je n’aurais qu’un seul commentaire, celui de Léon Degrelle : « Je n’ai qu’un regret, regret que Yahia n’ait pas réussi ».