Captain Harlock
Démocratie Participative
17 novembre 2020
Karl Schwab a peut-être un ancêtre qui s’exprimait en yiddish
Karl Schwab est le fondateur du Forum Economique Mondial de Davos, en Suisse. Il est officiellement de nationalité allemande même s’il a un faciès extrêmement suspect. Schwab est un universitaire, c’est-à-dire un pur idéologue, qui a fait de ce forum le centre névralgique du communisme 2.0 qui est en cours de déploiement sous bannière sanitaire.
Ce qui se déroule dans le monde occidental autour de la pandémie imaginaire de Covid19 est le fruit d’un plan patiemment pensé par Schwab avec l’aide des plus puissants milliardaires occidentaux, comme Bill Gates, Mark Zuckerberg ou George Soros. Leur but, avec l’aide des gouvernements, est de créer un système ou l’économie privée n’existera plus. En Europe, elle sera remplacée par un système économique fermé où les capitaux seront digitalisés puis collectivisés sous le contrôle de la Banque Centrale Européenne que dirige Christine Lagarde.
Ce qui pousse ces gens à agir ainsi est la désintégration du système stato-socialiste occidental sous le poids des dettes souveraines. Si cette désintégration va à son terme, une révolution populaire renversera l’hyperclasse.
Les membres de l’élite ne sont cependant pas aveugles au point d’ignorer qu’une très violente résistance se manifestera de la part du secteur économique privé s’ils tentent de mettre en place ce plan. C’est la raison pour laquelle ils ont décidé d’utiliser l’arme de la terreur virale pour enclencher cette révolution néo-communiste et anéantir la principale catégorie ennemie du marxisme : les petits propriétaires de la classe moyenne, c’est-à-dire la classe qui se tient derrière le populisme occidental.
Il semble que Schwab se soit ménagé d’autres options pour parvenir à ce qu’il appelle le « Great Reset », le « Grand Redémarrage » : des cyber-attaques à grande échelle contre les infrastructures occidentales.
Il voit ça comme un bouton on/off.
La voix de ce type suffit pour comprendre que nous avons face à nous un authentique sociopathe.
« Nous savons tous qu’une cyber-attaque globale pourrait entraîner l’arrêt complet de l’approvisionnement en électricité, des transports, des hôpitaux, de notre société dans son ensemble. Le COVID-19 serait considéré à cet égard comme une petite perturbation par rapport à une cyber-attaque majeure. Utiliser la crise du COVID19 comme une opportunité qui tombe à point nommé pour réfléchir sur les leçons que la cybersécurité et les communautés peuvent tirer pour améliorer notre préparation pour une cyber-pandémie potentielle. »
« We all know a comprehensive cyber attack could bring a complete halt to the power supply, transportation, hospitals, our society as a whole. COVID-19 would be seen in this respect as a small disturbance in comparison to a major cyberattack. » Klaus Schwab pic.twitter.com/f2u88SShpv
— Darren of Plymouth 🇬🇧 (@DarrenPlymouth) November 17, 2020
Ce fou a un pouvoir de destruction que peu de gens soupçonnent encore.
D’ici peu de temps, vous verrez la division propagande des médias du système entreprendre une contre-offensive sous forme de « Fact-Checking » pour désinformer activement les masses à propos de Schwab pour le présenter en philanthrope bienveillant victime de « conspirationnistes » antisémites.
Les ordres ont probablement déjà été donnés par le politburo de l’Etat-Parti.
L’opération de fraude de masse menée contre les Etats-Unis le 3 novembre, lors des élections présidentielles, était une cyber-attaque de type militaire.
Si jamais Trump parvient à neutraliser Biden et Harris au sein du collège électoral mi-décembre, il reviendra à la Chambre des Représentants – l’équivalent de l’Assemblée Nationale française – de désigner le futur président des USA. Le vote ne se fait pas par parlementaire mais par état. Les Républicains contrôlent 26 états et les Démocrates 23. Donald Trump est donc en mesure de l’emporter.
Si c’est le cas, Schwab et ses associés utiliseront des moyens radicaux pour passer l’obstacle. Ce qui peut comporter des cyber-attaques de masse, la diffusion d’un virus beaucoup plus létal, une gigantesque insurrection raciale avec carte blanche pour des assassinats ciblés d’hommes politiques, d’animateurs de médias alternatifs ou d’intellectuels de l’opposition à ce « Great Reset ».
Tout comme le confinement a été décrété en quelques jours en février 2020, la prochaine offensive sera soudaine et imprévue.
N’attendez pas de vous retrouver piégé dans une ville sans électricité et sous rationnement qui se transformera du jour au lendemain en poudrière ethnique. Quittez les centres urbains. C’est maintenant une question de survie.
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