Capitaine Harlock
Démocratie Participative
12 avril 2017
Assange s’est exprimé contre le dernier mensonge de la presse juive pour mener une guerre au Moyen-Orient.
Lors d’un entretien avec la journaliste Laura Ingraham, le lanceur d’alerte et fondateur du site Wikileaks est revenu sur l’attaque chimique présumée en Syrie imputée par Washington à Bachar el-Assad. Pour lui, le manque de preuves est criant.
«Lorsqu’on se demande à qui profite le crime, cette histoire ne sent pas bon», a déclaré Julian Assange, le 11 avril, lors d’une émission de radio animée par la célèbre journaliste américaine Laura Ingraham.
Le fondateur du site Wikileaks s’exprimait ainsi sur les récentes attaques chimiques en Syrie du 4 avril, que les Etats-Unis attribuent sans preuves à Bachar el-Assad, et qui ont servi de motif officiel au bombardement américain contre la base militaire syrienne d’al-Chaayrate du 7 avril.
«Ceci dit, les gens font parfois des choses stupides. Il est donc théoriquement possible qu’Assad l’ait fait. Mais […] la CIA n’a aucune crédibilité en la matière», a poursuivi Julian Assange.
«Jusqu’à ce que nous ayons accès à des preuves publiques, nous devons simplement parler [d’attaque chimique] « présumée ». Je suis assez gêné par le fait que de nombreux journalistes du New York Times ou d’ailleurs affirment qu’il y a eu une attaque. C’est une chose que l’administration américaine prétend, mais nous ne savons pas où se trouvent les preuves», a-t-il conclu.
Il n’y a aucune raison d’être « gêné ». Le New York Times ment, comme il a menti durant toute la campagne présidentielle au point de le reconnaître après la défaite de Clinton. Ce journal est un journal intégralement juif qui s’est donné pour mission de lancer une nouvelle guerre au Moyen-Orient. Comme tout le reste de la presse juive américaine.