Capitaine Harlock
Démocratie Participative
10 février 2018
Ces juifs sont en guerre permanente contre nous.
Malgré un arsenal répressif gigantesque, ils exigent un renforcement drastique de la chasse à tous ceux qui refusent de se soumettre au kahal. L’idée qu’ils puissent être à l’origine de l’antisémitisme ne les effleure jamais.
« Il faut absolument continuer de nommer les choses. Ne plus perdre de temps. On a perdu plus de 10 ans pour dire que l’islamisme radical était à la source du terrorisme et d’une forme d’antisémitisme. Puisque les plus hautes sphères de l’Etat reconnaissent enfin que l’antisionisme et l’antisémitisme correspondent à une même réalité, il faut se donner les moyens de lutter concrètement contre l’antisionisme.
L’arsenal juridique de lutte contre l’antisionisme n’est pas à la hauteur. Combattre l’antisionisme doit entrer dans le combat de toutes les haines (raciales, xénophobes, homophobes). C’est un délit spécifique qui participe de la banalisation de l’antisémitisme. J’ai demandé au président de la République que l’antisionisme soit reconnu juridiquement. Aujourd’hui, il n’y a plus débat sur une insulte comme « sale juif » – et la société admet globalement que lorsque l’antisémitisme avance, c’est la démocratie qui recule – mais ce n’est pas le cas avec la parole antisioniste.
Il y a un combat de tous les instants à mener sur les réseaux sociaux. L’antisémitisme d’internet n’est pas assez pris en compte dans les statistiques. Le travail scolaire de lutte contre l’antisémitisme/antisionisme est également très insuffisant. Il est tout à fait inacceptable que des enfants juifs soient contraints de se retirer de l’école publique. Il ne peut plus exister de zone de non-droit. Sur le plan judiciaire, la réaction des autorités doit être plus immédiate. Il faut également alourdir les peines déjà existantes. Enfin, point important, lorsque l’antisémitisme est évident, il devrait être beaucoup plus simple d’obtenir la qualification d’antisémitisme. L’affaire de Sarah Halimi est à cet égard édifiante : pourquoi la juge n’a pas retenu le caractère antisémite du meurtre ? »
On apprend que le gouvernement français est déjà acquis à ce projet.
La juiverie entend faire de l’état israélien l’épicentre du dispositif répressif antiraciste. Au dessus des fiottes, des métèques et autres musulmans doit trôner, intouchable, le siège de la juiverie mondiale.
Le projet dont il est question n’est ni plus ni moins qu’une annexion du code pénal français par Israël.
Le point positif du renforcement de cette inquisition juive, c’est que cela va viser essentiellement les bougnoules et les communistes pro-palos. Et cela va rapidement produire l’effet inverse de celui escompté : la délégitimation de la législation antiblanche dite « antiraciste ».