Judea declares war on Mélenchon

Captain Harlock
Démocratie Participative
20 octobre 2018

 

Les juifs sont une race dénuée de scrupules et il ne fait pas l’ombre d’un doute que, du point de vue des juifs, l’agitation de Mélenchon est suffisamment problématique pour fragiliser leur larbin en chef : Macron.

Soudainement, vous avez toutes ces informations qui sont livrées par la police à la salope Plenel, lequel les diffuse immédiatemment, moins de 48 heures après la vague de perquisitions qui a eu lieu.

Et ce dernier doit faire face à une presse juive totalement déchaînée.

Le youtre Arfi se répand partout sur la vie amoureuse de Mélenchon.

Effectivement, Mélenchon baise cette algérienne. Nous en avons parlé nous-mêmes.

Cela n’a rien d’un secret.

Mais c’est devenu subitement un sujet depuis que la presse juive l’a décidé.

Cette presse sémitique était moins empressée d’expliquer que le youpin sodomite Gabriel Attal avait été nommé Secrétaire d’Etat parce qu’il aime se faire enculer par le conseiller de Macron.

L’origine sémitique de cette opération ne fait aucun doute.

Les juifs ont déclaré la guerre à Mélenchon.

Je dois dire que, en faisant abstraction de nos différences politiques fondamentales, j’ai un peu d’empathie à la vue de ce spectacle où il doit affronter cette presse hébraïque fanatisée.

D’une manière générale, j’ai toujours au moins un soupçon d’empathie pour n’importe quelle personne qui se fait persécuter par les juifs.

Et ces gauchistes de la France Insoumise, composée de vieux profs et de syndicalistes de la fonction publique, lessivés par 50 ans d’antifascisme dogmatique et de soumission à la juiverie, ne peuvent bien évidemment pas le comprendre et encore moins l’accepter.

Ils sont condamnés à se faire bolosser par ces youpins sans même pouvoir rendre un seul coup, de crainte d’être traités de neons-nazis.

Mélenchon n’est bien évidemment pas antisémite et n’a jamais eu l’intention d’attaquer le pouvoir juif.

Mais dans une relation amoureuse, il faut être deux. Or, du point de vue de la finance juive, la situation européenne est de plus en plus précaire. Merkel est en sursis et leur dernier véritable bastion se situe en France, sous la direction du laquais des juifs Emmanuel Macron.

Au moment où nous parlons, toute volatilité dans le système politique français déstabiliserait le continent, notamment avec ce qui se passe en Italie, en Allemagne, etc.

Si Macron ne parvient pas à drainer les voies de gauche lors des élections européennes, il pourrait bien finir deuxième derrière Marine Le Pen.

Le Figaro :

Les mauvaises nouvelles s’accumulent. Alors qu’Emmanuel Macron traverse un trou d’air dans les sondages d’opinion, la liste de la majorité pour les européennes est elle aussi donnée en baisse. Si elle est toujours en tête dans le dernier sondage Ifop commandé par Paris Match, Sud Radio et CNews, elle perd trois points auprès des électeurs, en moins de deux mois. En juin 2018, 23% des sondés étaient prêts à donner leur voix au parti présidentiel, associé au MoDem pour ce scrutin. À la fin du mois d’août, comme l’indique le nouveau sondage, ils ne sont plus que 20% à se prononcer en faveur de la liste LaREM-MoDem.

Du côté des Insoumis, on note en revanche une progression. Le parti créé par Jean-Luc Mélenchon a déjà fait savoir qu’il enverrait le tandem Charlotte Girard et Manuel Bompard devant les urnes. La liste insoumise est créditée de 14% d’intention de vote, soit une progression de 3 points depuis juin 2018.

L’incompétence de Macron, si elle se traduit par une foirade lors des élections européennes de 2019, génèrera une forte incertitude qui ferait fuir les capitaux. Inévitablement, cela aurait pour effet de faire augmenter les taux d’intérêts.

Macron devrait consentir à de nouvelles coupes claires dans les budgets sociaux d’ici à deux ans pour maintenir le système.

Macron a prévu de claquer un max de blé sur cette période pour se faire réélire.

Contribuables Associés :

Emmanuel Macron et son gouvernement ont plus d’un (mauvais) tour dans leur sac. À grand renfort de com’, ils veulent faire accroire aux Français que tout va beaucoup mieux. À lire le projet de loi de finances pour 2019, on voit qu’il n’en est rien.

Le déficit de l’État, déjà abyssal, ne cesse de se creuser : 69 milliards d’euros en 2016, 76 milliards en 2017, 83 milliards en 2018, 98,7 milliards d’euros prévus en 2019.

Concrètement, quand l’État prend 100 aux contribuables, il dépense 130.

À mi-mandat (fin 2019), la dépense publique aura augmenté de 51 milliards contre 37,1 milliards pour la même période sous François Hollande, et c’est le rapporteur macroniste du Budget à l’Assemblée, Joël Giraud, qui le dit…

Conséquence, les impôts explosent : 1 057 milliards d’euros de prélèvements obligatoires en 2018, 1 070 milliards en 2019… En 2002, le montant n’était « que » de 670 milliards.

Pour maintenir leur poulain en place et financer sa réélection, les juifs ont besoin de capitaux suffisants, donc de taux d’intérêts stables. Il faut un maximum de stabilité politique pour que leur shabbat-goy puisse maintenir le statu quo financier, c’est-à-dire le racket bancaire juif de l’Europe.

Si Macron ne parvient pas à contenir la volatilité politique en France, notamment à cause de Mélenchon, il deviendra extrêmement difficile pour lui d’assumer l’austérité exigée par la banque juive.

Et si la France devenait paralysée budgétairement, en plus de l’Italie et de l’Espagne, l’Eurozone serait dans une situation critique.

Donc la presse juive a déclenché cette campagne contre Mélenchon, pour dire à la plèbe de gauche : « Vous voyez, il faut être sérieux et voter pour le moindre mal. »

C’est-à-dire pour Macron.

Ce sont les juifs qui décident de qui est antisémite de qui ne l’est pas et ils le déterminent très simplement en jugeant si le goy concerné se soumet ou non.

Il est toujours infiniment préférable d’être antisémite par conviction.

Cela évite de se faire bolosser par les youpins.