JR Rowling effacée de l’épisode HBO spécial Harry Potter pour avoir fait l’apologie des vagins biologiques contre les travelos

Captain Harlock
Démocratie Participative
18 novembre 2021

JK Rowling vient d’être effacée, purement et simplement.

BFMTV :

Le casting de la saga cinématographique Harry Potter sera réuni le 1er janvier prochain sur la plateforme HBO Max pour un épisode spécial, façon Friends, où ils évoqueront avec émotion leurs souvenirs de tournage.

Diffusé à l’occasion du vingtième anniversaire de la sortie de Harry Potter à l’école des sorciers, Return to Hogwarts réunira pour la première fois depuis une décennie Daniel Radcliffe, Emma Watson et Rupert Grint, alias Harry, Hermione et Ron.

J.K. Rowling, la créatrice de l’univers, ne participera pas à l’évènement. La romancière, qui écrit aussi la saga des Animaux fantastiques, est mise à l’écart depuis des déclarations jugées transphobes sur les réseaux sociaux.

Seront aussi présents Helena Bonham Carter (Bellatrix Lestrange), Robbie Coltrane (Hagrid), Ralph Fiennes (Voldemort), Jason Isaacs (Lucius Malefoy), Gary Oldman (Sirius Black), Imelda Staunton (Dolores Ombrage), Tom Felton (Drago Malefoy), James et Oliver Phelps (Fred et George Weasley), Mark Williams (Arthur Weasley), Bonnie Wright (Ginny Weasley), Alfred Enoch (Dean Thomas), Matthew Lewis (Neville Londubat), Evanna Lynch (Luna Lovegood) et Ian Hart (Quirinus Quirrell).

Le casting reviendra sur les huit films de la franchise au cours de cet épisode qui comprendra des interviews exclusives, mais aussi des conversations approfondies entre les acteurs. « Cette rétrospective est un hommage à toutes celles et tous ceux dont la vie a été touchée par ce phénomène culturel », a déclaré Tom Ascheim, président de Warner Bros, à Deadline.

Le concept derrière cet épisode spécial est de faire un maximum de cash avec un minimum d’efforts en surfant sur la nostalgie des millenials. Il n’y a rien à faire de particulier, une sorte de « Make of » deux décennies après suffit. Ce concept est très rentable et ne nécessite aucun aspect créatif.

Autant que je me souvienne, à l’époque le lecteur type de Harry Potter était une femme blanche célibataire aux cheveux courts avec des problèmes d’obésité et d’anxiété. On les voyait aller et venir avec un de ces pavés pour seul ami. L’autre caractéristique de ces lecteurs, c’est que des gens de 20 ou 25 ans qui lisent des livres pour enfants sont des gens qui ont des problèmes avec le fait de grandir et d’assumer des responsabilités. Il est généralement admis aujourd’hui que les millenials sont souvent des attardés désocialisés qui sont restés bloqués à l’adolescence.

C’est sur ce terreau psycho-sociologique que Rowling est devenue une véritable icône des femmes blanches à problème de cette génération. Il n’y a pratiquement pas un élément de la doxa gauchiste dominante que Rowling ne promouvait sur Twitter avec un énorme succès d’audience.

Cette politisation s’est vraiment accélérée lors de l’élection de Trump.

C’est au même moment que nous avons vu tout l’établissement culturel occidental se radicaliser pour finalement sombrer dans le néo-stalinisme actuel.

Rowling s’est ensuite mise à réécrire ses romans en temps réel sur les réseaux sociaux pour violer analement ses lecteurs.

Elle a par exemple proclamé que Dumbledore se masturbait jusqu’à l’éjaculation dans l’anus de Grindelwald.

Gardez à l’esprit que tous ceux qui lisaient ses livres le faisaient parce qu’ils étaient restés des enfants et que c’est pour leur implanter rétrospectivement des scènes de sodomie masculine dans leurs souvenirs d’enfance que cette femme s’est mise à faire ça. Cette femme dérangée prenait un plaisir sadique à torturer psychologiquement ses lecteurs de cette façon sous les applaudissements du système.

A ce moment-là, Rowling était à l’avant-garde de la gauche anale globale.

Jusqu’à ce qu’elle percute une réalité qu’elle n’avait pas identifié : les travelos. A partir de là, tout a vraiment pris une très mauvaise tournure pour cette femme.

Rowling est une post-boomeuse de 56 ans. Elle fonctionnait encore sur l’idée conformiste que les femmes doivent gouverner le monde. Son soutien au LGBTisme n’était qu’un moyen d’attaquer l’homme blanc pour le remplacer par des femmes fortes et indépendantes.

Rowling n’avait pas identifié la rupture en cours entre l’anti-réalité et la réalité objective.

L’anti-réalité est une fiction fabriquée par la bourgeoisie judéo-LGBT globale qui détient les moyens de faire adhérer la masse des gens à ses conceptions, peu importe ce qu’elles sont.

Il s’agit de croire, pas de savoir.

Cette transformation religieuse se manifestait déjà avec l’antiracisme. Quand on disait que l’immigration non-blanche mènerait à la catastrophe parce que les noirs ou les arabes étaient des créatures stupides et violentes à cause de leur génétique, les médias de l’oligarchie disaient que c’était faux en affirmant gratuitement que les races n’existent pas.

C’est le point de départ de tout ça : dans la réalité objective, les races se distinguent par leur inégalité biologique, mais comme les élites globalistes ont besoin d’une société multiraciale configurée pour s’adapter à leurs intérêts financiers et sociaux, la réalité objective est effacée et tout le monde est rééduqué par les médias pour croire que les races n’existent pas.

Dans l’anti-réalité, les races n’existent donc pas même si au quotidien dans chaque ville occidentale grand-remplacée la réalité objective démontre que les races existent.

Tout ça pour dire que la réalité objective est déterminée par des phénomènes matériels observables et mesurables et que cette réalité était encore il y a peu accessible à n’importe qui. Pour éradiquer toute forme d’opposition, les élites globales ont détruit cette capacité cognitive à discerner le réel pour la remplacer par une illusion collective produite par leurs appareil médiatique.

Faire éclater la réalité en une myriade d’anti-réalités parallèles que le système peut agencer en permanence fait partie de ce programme de conditionnement des masses.

Saviez-vous qu’il y a plus de 6,000 « genres » dont le genre Petit Garçon Châton ?

Genre Petit Garçon Châton est un xénogenre et un neurogenre, créé pour les personnes qui s’identifient comme mi-humaines et mi-félines. Il s’adresse plus particulièrement aux autistes et aux personnes qui souffrent d’illusions liées à l’autisme. Même si le mot « garçon » figure dans son titre, un individu s’identifiant comme Petit Garçon Châton n’a pas besoin de s’identifier à un garçon.

Toute la société doit être découplée de la réalité matérielle pour que toutes les décisions de la bourgeoisie globale soient considérées comme justes et légitimes. Il suffit au système de marteler le même message et d’effacer tous ceux qui s’opposent pour que l’écrasante majorité de la masse soit convaincue de vivre dans cette antiréalité.

Le Covidisme repose sur ce dispositif, tout comme l’illusion climatique.

Tout retour à un ancrage objectif que le quidam pourrait mesurer empiriquement constitue une menace existentielle pour l’oligarchie. Du jour au lendemain, ce nouvel ordre mondial fémo-multiracial climato-covidiste s’effondrerait si la réalité objective était à nouveau la base de toute réflexion sociale.

Avec son féminisme biologique, Rowling est donc devenue une figure de la droite radicale vaginiste et à ce titre, elle a été effacée par l’avant-garde culturelle wokiste. Et maintenant les gens qui ont généré des milliards de dollars de revenus avec ses livres sont parfaitement à l’aise avec son effacement pendant qu’ils exploitent son œuvre lors d’évènements mondains globaux.

La conclusion de tout ça, c’est que si une femme comme Rowling peut être effacée aussi facilement en Occident, n’importe qui peut être effacé en Occident.

Je trouve ça ironique. Jusqu’à il n’y a pas si longtemps, seuls les suprémacistes blancs hardcore subissaient ce châtiment sur demande de femmes blanches comme Rowling.

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