Captain Harlock
Démocratie Participative
11 mai 2022
Il y a beaucoup d’antillais en France. Leur caractéristique, c’est qu’ils sont imprévisibles.
Ce mardi 10 mai s’est ouvert le procès d’un ancien militaire de 24 ans, jugé pour le meurtre d’une jeune femme en 2019
Une ancienne petite amie étranglée, frappée puis abandonnée sur un chemin : le procès d’un ancien militaire de 24 ans, jugé pour le meurtre d’une jeune femme en 2019, s’est ouvert ce mardi 10 mai devant la cour d’assises de Seine-et-Marne.
L’histoire commence donc sur la qualité « d’ancien militaire » du meurtrier.
Ce n’est pas la qualité la plus pertinente pour comprendre l’affaire.
C’était un dimanche après-midi, le 6 janvier 2019. Jonathan Mixtur était allé chercher Taïna, 20 ans, à la gare RER de banlieue parisienne près de son domicile situé à Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis).
Mixtur est un nom tellement bizarroïde qu’il est forcément antillais.
Ce qui est le cas.
La différence avec 1915, c’est que les Mixtur sont désormais dans la campagne profonde des Pyrénées ou de Vendée.
Plus l’IDF, évidemment.
Donc, nous y voilà.
La jeune femme voulait récupérer des affaires laissées chez cet homme avec lequel elle avait été en couple pendant trois mois fin 2018. Tous deux avaient désormais de nouvelles relations.
Mais trois heures après leurs retrouvailles, des riverains alertent la police : une femme allongée sur le dos, le pantalon partiellement baissé et le visage tuméfié, gît au bord d’une voie sans issue à Saint-Thibault-des-Vignes, à deux pas de la Francilienne.
Malgré l’intervention des secours, Taïna décède. L’autopsie conclut à un décès « consécutif à un traumatisme crânien grave par mécanisme contondant, à l’origine d’une fracture du crâne et d’une hémorragie ».
Cet individu de race négroïde a enfoncé la boîte crânienne de sa dulcinée comme une canette.
Placé en détention provisoire, Jonathan Mixtur, qui n’a jamais été condamné auparavant, a reconnu son implication dans les faits, mais a livré des versions évolutives lors de ses auditions.
Crâne rasé, vêtu d’un polo blanc, l’accusé a écouté attentivement sa tante et sa cousine, le décrire comme « calme » et « discret ».
La tante du mis en cause a expliqué que son neveu avait été élevé « sans père » et avait eu « un parcours difficile ». Lors de son audition, l’expert psychiatrique a qualifié Jonathan Mixtur de « caractériel, d’impulsif » lors de l’audience ce mardi.
On peut dire ça des noirs, en effet.
Ils sont également stupides et violents.
Au cours de l’enquête, l’accusé a expliqué avoir eu une relation sexuelle avec la victime à l’arrière de sa voiture, dans un parking. Alors que la jeune femme exprimait des regrets, il a perdu son sang-froid, selon son récit, et l’a étranglée, puis frappée à plusieurs reprises au sol avec l’antivol de son véhicule.
Après l’avoir allongée dans le coffre, le jeune homme a déclaré avoir pris la route, puis avoir déposé son corps à l’abri des regards. Puis il a nettoyé les traces de sang au sol ainsi que sa voiture, avant de passer plusieurs appels à la victime pour faire croire qu’il la cherchait.
Son récit a ensuite évolué vers celui d’une dispute violente, où il dit avoir agi pour riposter aux coups de la jeune femme.
Taïna était joviale et insouciante, selon sa famille.
De son côté Jonathan Mixtur, né en Guadeloupe, appartenait au 92e régiment d’infanterie à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Il avait intégré l’armée en 2017, désirant devenir gendarme.
Son ancien chef de groupe l’a qualifié de « soldat moyen » et « fainéant », lors de son témoignage par visioconférence.
Un noir fainéant qui bascule dans le meurtre de pétasses, on avait encore jamais vu ça.